1.Kyōnin-ji |
Le Kyōnin-ji, (nom officiel Komatsubara-zan Kyōnin-ji (小松原山鏡忍寺), situé dans la ville de Kamogawa, préfecture de Chiba, et fondé le 5 mars 1281, est un des temples historiques les plus importants du Nichiren Shū, plus ancienne école du Bouddhisme Nichiren.
Le 11 novembre 1264, à la suite d'une invitation de Kudō Yoshitaka, seigneur d'Amatsu, Nichiren est attaqué par des fidèles du Nembutsu alors qu'il se rend à la résidence du Seigneur. Kyōninbō Nichigyō et Kudō Yoshitaka qui se précipitent à son secours sont tués tandis que deux autres compagnons de Nichiren sont blessés. La légende veut que le chapelet de Nichiren l'a protégé de graves blessures. En souvenir de ces événements, Nichiryū, disciple de Nichiren et fils de Kudō Yoshitaka, fonde le temple en 1281.
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2.Seichō-ji |
Le Seichō-ji (清澄寺?), également appelé Kiyosumi-dera à partir d'une prononciation alternative d'un kanji dans son nom, est un temple bouddhiste de la secte Nichiren Shū[1],[2], situé dans la ville de Kamogawa, préfecture de Chiba au Japon. Avec le Kuon-ji dans la préfecture de Yamanashi, le Honmon-ji au sud de Tokyo et le Tanjō-ji également à Kamogawa, le Seichō-ji est un des « Quatre sites sacrés du Nichiren Shū.»
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3.Tanjō-ji |
Le Tanjō-ji (誕生寺?), est un temple bouddhiste du Nichiren Shū situé dans la ville de Kamogawa, préfecture de Chiba au Japon. Avec le Kuon-ji, préfecture de Yamanashi, le Honmon-ji au sud de Tokyo et le Seichō-ji également dans la ville de Kamogawa, le Tanjō-ji est un des « quatre endroits sacrés du Nichiren Shū ».
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