Ōtani Hongan-ji Hakodate Betsu-in (大谷派本願寺函館別院?) est un temple bouddhiste mineur associé au Higashi Hongan-ji de Hakodate, Hokkaidō au Japon. Reconstruit après un incendie en 1907, c'est le premier temple au Japon construit en béton armé[1]. Le hon-dō (1915), le shōrō (1912-1925) et le shōmon (1912-1925) ont tous été désignés bien culturel important du Japon[2],[3],[4]. | ||||||
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Le mont Osore (恐山, Osorezan?, littéralement « Mont de la peur ») est une région située au centre de la péninsule de Shimokita dans la préfecture d'Aomori au Japon. Selon la mythologie japonaise, le mont Osore marque l'entrée des Enfers, avec un petit ruisseau du lac voisin d'Usoriko (宇曽利湖) qui est assimilé à la Sanzu-no-kawa, l'équivalent japonais du Styx. Cette réputation n'est pas étonnante, étant donné que la région est très volcanique et que le paysage est carbonisé avec des vapeurs nocives et des roches aux couleurs surnaturelles. | ||||||
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Seiryū-ji (青龍寺?) est un « betsuin » (temple affilié) Kōyasan situé dans la ville d'Aomori, préfecture d'Aomori. le temple a été fondé par un Grand Acharya Ryūkou Oda (織田隆弘?), qui a plus tard construit Shōwa Daibutsu (昭和大仏?) en 1984. D'une hauteur d'environ 21,35 m, c'est la plus grande figure assise en bronze du Bouddha au Japon. | ||||||
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Le Chūson-ji (中尊寺?) est un temple bouddhiste situé à Hiraizumi, préfecture d'Iwate au Japon. C'est le premier temple de la secte Tendai de Tōhoku (nord-est du Japon). | ||||||
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Le nom Mōtsū-ji (毛越寺?) désigne un temple bouddhiste de la secte Tendai situé à Hiraizumi ainsi que la zone historique avoisinante, qui contient les ruines de deux autres temples plus anciens, l'Enryū-ji (圓隆寺) et le Kashō-ji (嘉祥寺) dans un jardin Jōdo (Terre pure). L'actuel temple, construit au XVIIIe siècle, est sans relation avec les anciens temples situés à cet emplacement. En juin 2011, le Mōtsū-ji est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO au titre de « sites et monuments historiques de Hiraizumi ». | ||||||
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Le Entsū-in (円通院?) est un temple de l'école Myōshin-ji du bouddhisme zen Rinzai situé dans la ville de Matsushima, préfecture de Miyagi au Japon. Il est fondé près du Zuigan-ji en l'honneur du petit-fils de Date Masamune. Son mausolée de 1647, décoré de motifs inspirés par les contacts avec l'Occident est désigné bien culturel important. Il existe également un jardin japonais attribué à Kobori Enshū[1]. | ||||||
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Le Kōzō-ji (高蔵寺?) est un temple bouddhiste fondé en 819 à Kakuda, préfecture de Miyagi au Japon[1]. Érigé par la femme de Fujiwara Shuei en 1177, l'amida-dō est la plus ancienne construction de la préfecture[2],[3]. Il est désigné bien culturel important en 1908[4]. La statue en bois de 273 cm de haut d'Amida Nyorai assis sur un trône de lotus (1177) et créée selon la technique yoseki-zukuri, est désignée bien culturel important en 1927[5],[6]. | ||||||
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Le Zuigan-ji est un temple bouddhiste zen de l'école Rinzai situé dans la ville de Matsushima, préfecture de Miyagi au Japon. Branche du Myōshin-ji, le temple a été endommagé par le séisme de 2011[1]. | ||||||
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Le Chūson-ji (中尊寺?) est un temple bouddhiste situé à Hiraizumi, préfecture d'Iwate au Japon. C'est le premier temple de la secte Tendai de Tōhoku (nord-est du Japon). | ||||||
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Le nom Mōtsū-ji (毛越寺?) désigne un temple bouddhiste de la secte Tendai situé à Hiraizumi ainsi que la zone historique avoisinante, qui contient les ruines de deux autres temples plus anciens, l'Enryū-ji (圓隆寺) et le Kashō-ji (嘉祥寺) dans un jardin Jōdo (Terre pure). L'actuel temple, construit au XVIIIe siècle, est sans relation avec les anciens temples situés à cet emplacement. En juin 2011, le Mōtsū-ji est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO au titre de « sites et monuments historiques de Hiraizumi ». | ||||||
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Sendai Daikannon (仙台 大観音?) est une statue de 100 m de haut représentant Nyoirin Kannon (如意輪 観音?) située dans la municipalité de Sendai au Japon[1]. Il s'agit de la plus grande statue de Nyoirin Kannon (如意輪 観音?) au monde, et la plus grande statue représentant une déesse au Japon. En 2018, c'est la sixième plus grande statue au monde, et fut la première lors de sa construction en 1991, mais a été largement dépassée depuis cette date. | ||||||
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Le Mutsu Kokubun-ji (陸奥国分寺?) à Sendai est un temple provincial de l'ancienne province de Mutsu au Japon. Le Yakushi-dō (薬師堂?) ultérieur est un bien culturel important du Japon. | ||||||
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Le Yama-dera (山寺?, litt. « temple de la montagne ») est un temple bouddhique situé à Yamagata, dans la préfecture de Yamagata au nord de l'île de Honshu au Japon. Son nom officiel est le temple Risshaku (立石寺, Risshaku-ji?). | ||||||
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Shōjō-ji (勝常寺?) est un temple bouddhiste de la secte Shingon-shu Buzan-ha, situé dans la ville de Yugawa, district de Kawanuma dans la préfecture de Fukushima au Japon[1] | ||||||
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Le Zuigan-ji est un temple bouddhiste zen de l'école Rinzai situé dans la ville de Matsushima, préfecture de Miyagi au Japon. Branche du Myōshin-ji, le temple a été endommagé par le séisme de 2011[1]. | ||||||
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Shiramizu Amidadō (白水阿弥陀堂?), ou Ganjō-ji (願成寺?), est un temple bouddhiste situé à Iwaki, préfecture de Fukushima au Japon. L'amida-dō est un trésor national et le temple, accompagné de son jardin japonais, est désigné « site historique du Japon »[1]. | ||||||
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Le Bandō Sanjūsankasho (坂東三十三箇所?) (« les trente-trois temples Bandō ») désigne une succession des trente-trois temples bouddhistes dans l'est du Japon dédiés à la déesse Kannon[1]. Bandō est l'ancien nom de ce qui est à présent la région de Kantō[2], nom utilisé en la circonstance parce que les temples sont tous situés dans les préfectures de Kanagawa, Saitama, Tokyo, Gunma, Ibaraki, Tochigi et Chiba[1]. Comme c'est le cas avec tous ces circuits, chaque site a un rang et les pèlerins croient que la visite de tous les temples dans un ordre déterminé est un acte de grand mérite religieux[2]. | ||||||
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Ushiku Daibutsu (牛久大仏?) est une statue représentant le Bouddha Amitābha, située à Ushiku, municipalité de la préfecture d'Ibaraki, au Japon. Ushiku Daibutsu est la cinquième plus grande statue du monde. Haute de 100 mètres, elle repose sur un socle de dix mètres de haut, ainsi que sur une plateforme de lotus, de 10 mètres également. Elle est inaugurée en 1993 dans la ville d'Ushiku, à une cinquantaine de kilomètres au nord-est de Tokyo. | ||||||
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Le Bandō Sanjūsankasho (坂東三十三箇所?) (« les trente-trois temples Bandō ») désigne une succession des trente-trois temples bouddhistes dans l'est du Japon dédiés à la déesse Kannon[1]. Bandō est l'ancien nom de ce qui est à présent la région de Kantō[2], nom utilisé en la circonstance parce que les temples sont tous situés dans les préfectures de Kanagawa, Saitama, Tokyo, Gunma, Ibaraki, Tochigi et Chiba[1]. Comme c'est le cas avec tous ces circuits, chaque site a un rang et les pèlerins croient que la visite de tous les temples dans un ordre déterminé est un acte de grand mérite religieux[2]. | ||||||
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Le Saimyō-ji (西明寺?) est un temple bouddhiste Shingon de la secte Shingon-shu Buzan-ha, situé à mi-hauteur d'une montagne, dans le bourg de Mashiko, préfecture de Tochigi au Japon. Construit en 737 et reconstruit en 1492, c'est l'un des quatre plus anciens temples de l'est du Japon. Il est le seul temple où l'on peut voir une statue d'Enma, le juge de l'enfer, riant. Le temple possède également une plantation de shikeidake, un bambou décoratif originaire de Chine avec des tiges à quatre côtés plutôt que rondes et qui poussent à 10 m de hauteur. | ||||||
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Le Senju-ji (専修寺), également connu sous le nom Takadayama (高田山), est le principal temple de la branche Takada du Jōdo Shinshū, secte japonaise du bouddhisme. | ||||||
Le Chūzen-ji (中禅寺?) est un temple bouddhique de la ville de Nikkō dans la préfecture de Tochigi, au Japon. | ||||||
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Le Banna-ji (鑁阿寺, bannaji?) est un temple bouddhiste (寺, ji) de la ville d'Ashikaga, préfecture de Tochigi. Son nom complet est kongousan niouin hokkebou Bannaji (金剛山 仁王院 法華坊 鑁阿寺?). Il appartient à l'école bouddhiste Shingon. On y vénère Vairocana. Sa construction débute en 1196 sous l'égide d'Ashikaga Yoshikane. | ||||||
Le Rinnō-ji (輪王寺, Rinnōji?) est un temple bouddhiste (寺, ji?) de la ville de Nikkō dans la préfecture de Tochigi. Il se situe dans le parc national de Nikkō au pied du mont Nantai. Le site est composé d'un ensemble de 15 bâtiments et accueille le mausolée du shogun Iemitsu Tokugawa. | ||||||
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Le Ōya-ji (大谷寺?) est un temple bouddhiste de la secte Tendai situé dans la ville d'Utsunomiya, préfecture de Tochigi, au Japon. La légende prétend, sans assise historique, que le temple a été fondé par Kūkai, fondateur de la secte Shingon, en 810. Le temple a été reconstruit dans les années 1615 à 1624. Il est bâti de roches de tuf et dispose d'une figure sculptée de la Bodhisattva Kannon aux mille bras avec un autel autour d'elle. À côté de l'autel, une autre paroi de la grotte porte une sculpture de la trinité bouddhique des Bodhisattvas Amida Buddha, Kannon et Seishi. | ||||||
Le Bandō Sanjūsankasho (坂東三十三箇所?) (« les trente-trois temples Bandō ») désigne une succession des trente-trois temples bouddhistes dans l'est du Japon dédiés à la déesse Kannon[1]. Bandō est l'ancien nom de ce qui est à présent la région de Kantō[2], nom utilisé en la circonstance parce que les temples sont tous situés dans les préfectures de Kanagawa, Saitama, Tokyo, Gunma, Ibaraki, Tochigi et Chiba[1]. Comme c'est le cas avec tous ces circuits, chaque site a un rang et les pèlerins croient que la visite de tous les temples dans un ordre déterminé est un acte de grand mérite religieux[2]. | ||||||
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Le Bandō Sanjūsankasho (坂東三十三箇所?) (« les trente-trois temples Bandō ») désigne une succession des trente-trois temples bouddhistes dans l'est du Japon dédiés à la déesse Kannon[1]. Bandō est l'ancien nom de ce qui est à présent la région de Kantō[2], nom utilisé en la circonstance parce que les temples sont tous situés dans les préfectures de Kanagawa, Saitama, Tokyo, Gunma, Ibaraki, Tochigi et Chiba[1]. Comme c'est le cas avec tous ces circuits, chaque site a un rang et les pèlerins croient que la visite de tous les temples dans un ordre déterminé est un acte de grand mérite religieux[2]. | ||||||
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Le Seiya-san Muryōshuji Kita-in (星野山無量寿寺喜多院?) est un temple bouddhiste Tendai situé dans la ville de Kawagoe, préfecture de Saitama au Japon. Il est connu pour son bâtiment principal, qui faisait partie du château d'Edo original ainsi que pour les statues de 540 Rakan, disciples de Bouddha. | ||||||
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Le Heirin-ji (平林寺?) est un temple bouddhique japonais situé dans la ville de Niiza, aux alentours de Tōkyō. C'est le plus grand temple du bouddhisme zen de l'école Rinzai dans la région du Kantō. Il fut construit en 1375 par Sekishitsu Zenkyu, le fondateur d'autres temples tels que l'Engaku-ji et le Tenryu-ji. Comme beaucoup d'autres temples zen, les bâtiments principaux sont disposés en ligne droite. | ||||||
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Kawasaki Daishi (川崎大師, Kawasaki Daishi?) est le nom informel du Heiken-ji (平間寺, Heiken-ji?) à Kawasaki au Japon. Fondé en 1128, c'est le siège de la secte Chisan de l'école bouddhiste Shingon. Kawasaki Daishi est un temple populaire pour Hatsumōde (la première visite au sanctuaire shintō ou au temple bouddhiste du Nouvel An japonais). En 2006, 2,72 millions de personnes sont venues ici pour Hatsumōde, la troisième plus grande fréquentation au Japon et la plus importante dans la préfecture de Kanagawa. Keihin Electric Express Railway, la plus ancienne compagnie de chemin de fer de la région du Kantō, a commencé dès janvier 1899 à relier Kawasaki Daishi à Tokyo. | ||||||
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Le Shōfuku-ji (正福寺?, lit. « Temple de la bonne chance ») est un temple bouddhiste Rinzai situé dans la ville de Higashimurayama, préfecture de Tokyo au Japon. Son bâtiment Jizō du début du XVe siècle est classé Trésor national du Japon. Il est considéré comme le plus ancien bâtiment intact dans Tokyo et un exemple unique de l'architecture de Kamakura. | ||||||
Zenkō-ji (善光寺?, Temple de la bonne lumière)[1] est un temple bouddhiste situé dans la ville de Nagano au Japon, dont il constitue le principal ensemble religieux[1]. Fondé au VIIe siècle, en 642[2] par Yoshimitsu Honda, il fait partie des trésors nationaux du Japon. Bien plus tard, la ville de Nagano, fondée en 1897, fut initialement construite autour du temple. Actuellement, le Zenkō-ji est un des derniers sites de pèlerinage au Japon. | ||||||
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Le Bandō Sanjūsankasho (坂東三十三箇所?) (« les trente-trois temples Bandō ») désigne une succession des trente-trois temples bouddhistes dans l'est du Japon dédiés à la déesse Kannon[1]. Bandō est l'ancien nom de ce qui est à présent la région de Kantō[2], nom utilisé en la circonstance parce que les temples sont tous situés dans les préfectures de Kanagawa, Saitama, Tokyo, Gunma, Ibaraki, Tochigi et Chiba[1]. Comme c'est le cas avec tous ces circuits, chaque site a un rang et les pèlerins croient que la visite de tous les temples dans un ordre déterminé est un acte de grand mérite religieux[2]. | ||||||
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L'Enpuku-ji (円福寺?) est un temple bouddhiste situé dans la ville de Chōshi, préfecture de Chiba. Selon la tradition, le temple est fondé par Kūkai entre 810 et 824 et peut-être sur le site d'un ancien temple appelé Iinuma-ji. La tradition veut qu'à cette époque Kūkai construit un dōu (堂宇?) bâtiment principal et dirige des services au temple[1]. L'Enpuku-ji est la 27e station du Bandō Sanjūsankasho, circuit de temples dans l'est du Japon, consacrés à la déesse Kannon. La majorité des bâtiments dans le complexe du temple sont détruits pendant les bombardements de la Seconde Guerre mondiale. | ||||||
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L' Enmyō-in (圓明院?) est un temple bouddhiste de l'école Shingon appartenant à la secte Chizan-ha situé à Kisarazu dans la préfecture de Chiba. Son go-honzon, principal objet de vénération, est une statue d'Acala, connue au Japon sous le nom « Fudō Myōō », ou « roi de la sagesse immobile ». Un kaya bien connu de presque 5,4 m de circonférence se trouve sur le site du temple. Une petite salle a été construite à Enmyō-in en 1989 consacrée à la prière pour la sécurité routière. | ||||||
Le Kasamori-ji (笠森寺?) est un temple bouddhiste situé dans la ville de Chōnan, préfecture de Chiba au Japon. Le temple est également appelé Kasamori-dera par l'emploi d'une prononciation alternative du sinogramme pour temple (tera). Le Kasamori-ji est le 31e temple du Bandō Sanjūsankasho, circuit de 33 temples bouddhistes à l'est du Japon consacrés à la déesse Kannon. La Kannon aux onze visages du Kasamori-ji n'est montrée au public que pendant les années du buffle et du cheval dans le cycle de douze ans du zodiaque chinois. | ||||||
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Le Kanpuku-ji (観福寺?) est un temple bouddhiste du Bouddhisme Shingon de la secte Buzan situé à Yamakura, dans la ville de Katori, préfecture de Chiba. Le temple est l'un des deux temples à Katori portant le même nom, l'autre étant le Makinosan Kanpuku-ji. | ||||||
Le Kyōnin-ji, (nom officiel Komatsubara-zan Kyōnin-ji (小松原山鏡忍寺), situé dans la ville de Kamogawa, préfecture de Chiba, et fondé le 5 mars 1281, est un des temples historiques les plus importants du Nichiren Shū, plus ancienne école du Bouddhisme Nichiren. Le 11 novembre 1264, à la suite d'une invitation de Kudō Yoshitaka, seigneur d'Amatsu, Nichiren est attaqué par des fidèles du Nembutsu alors qu'il se rend à la résidence du Seigneur. Kyōninbō Nichigyō et Kudō Yoshitaka qui se précipitent à son secours sont tués tandis que deux autres compagnons de Nichiren sont blessés. La légende veut que le chapelet de Nichiren l'a protégé de graves blessures. En souvenir de ces événements, Nichiryū, disciple de Nichiren et fils de Kudō Yoshitaka, fonde le temple en 1281. | ||||||
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Le Kiyomizu-dera (清水寺?) est un temple bouddhiste situé dans la ville d'Isumi, préfecture de Chiba au Japon. Selon une autre valeur du nom en japonais, le temple, également appelé « Seisui-ji », est communément connu sous le nom « Kannon Kiyomizu ». Le Kiyomizu-dera est le 82e temple du Bandō Sanjūsankasho, ou circuit des trente-trois temples à l'est du Japon consacrés au bodhisattva Kannon. | ||||||
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Le Kōzō-ji (高蔵寺?) est un temple bouddhiste situé dans la ville de Kisarazu, préfecture de Chiba au Japon. Il est également connu sous le nom Takazō Kannon. Le Kiyomizu-dera est le 30e temple du pèlerinage Bandō Sanjūsankasho, circuit de 33 temples bouddhistes de l'est du Japon consacrés à la Bodhisattva Kannon. Les amulettes délivrées par le temple sont très appréciées dans tout le Japon[1]. | ||||||
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Le Jindai-ji (甚大寺?) est un temple bouddhiste situé dans la ville de Sakura, préfecture de Chiba au Japon. Le temple se trouve à l'origine dans la préfecture de Yamagata mais lorsque le clan Hotta se voit attribuer le domaine de Sakura, Hotta Masasuke transfère le temple en 1746 pour qu'il serve de bodaiji (菩提寺?) (temple funéraire) du clan, c'est-à-dire qu'il en soit le temple familial. L'indicateur historique des tombes du clan Hotta se trouve au Jindai-ji, comme le sont les pierres tombales de Hotta Masatoshi, Hotta Masayoshi et Hotta Masatomo, qui sont tous désignés comme lieux historiques préfectoraux de Chiba. La statue de bronze de Kannon aux onze visages, le principal objet de vénération du Jindai-ji est de l'artiste Tsuda Shinobu (1875-1946). | ||||||
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Le Seichō-ji (清澄寺?), également appelé Kiyosumi-dera à partir d'une prononciation alternative d'un kanji dans son nom, est un temple bouddhiste de la secte Nichiren Shū[1],[2], situé dans la ville de Kamogawa, préfecture de Chiba au Japon. Avec le Kuon-ji dans la préfecture de Yamanashi, le Honmon-ji au sud de Tokyo et le Tanjō-ji également à Kamogawa, le Seichō-ji est un des « Quatre sites sacrés du Nichiren Shū.» | ||||||
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Le Daifuku-ji (大福寺?) est un temple bouddhiste situé dans la ville de Tateyama, préfecture de Chiba au Japon. Il appartient à la secte Chizen du Bouddhisme Shingon. Selon la tradition, le temple est fondé par Gyōki (668 - 749) en 717 au début de l'époque de Nara. Il connaît plus tard une seconde vie après une visite d'Ennin (794 - 864), un prêtre bouddhiste Tendai, au début de l'époque de Heian. | ||||||
Le Tanjō-ji (誕生寺?), est un temple bouddhiste du Nichiren Shū situé dans la ville de Kamogawa, préfecture de Chiba au Japon. Avec le Kuon-ji, préfecture de Yamanashi, le Honmon-ji au sud de Tokyo et le Seichō-ji également dans la ville de Kamogawa, le Tanjō-ji est un des « quatre endroits sacrés du Nichiren Shū ». | ||||||
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Le Tōkai-ji (東海寺?), anciennement appelé Kōryūzan Fuse Benten Tōkai-ji (紅龍山布施弁天東海寺?), est un temple bouddhiste de la secte Shingon-shu Buzan-ha, situé dans la ville de Kashiwa (préfecture de Chiba) au Japon. Il aurait été fondé par Kūkai en 807. Il est consacré au culte de la déesse Benzaiten. (ja) Site officiel | ||||||
Le Nago-dera (那古寺?) est un temple bouddhiste situé dans la ville de Tateyama au sud de la préfecture de Chiba au Japon. Il est également appelé « Nago-ji » en usant de la prononciation alternative du denier kanji de son nom, ou encore « Nago Kannon » (古寺観音?), d'après son objet principal de vénération. | ||||||
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Le Narita-zan (成田山?, litt. « montagne de Narita »), ou Narita-san shinshō-ji (成田山新勝寺?, litt. « nouveau temple de la victoire »), est un temple bouddhiste Shingon situé au centre de Narita, dans la préfecture de Chiba, au Japon. Il est fondé en 940 par Kanchō Daisōjō, un disciple de Kōbō Daishi. C'est un temple de tête de la branche Chisan du nouveau Shingon (Shingi Shingon (ja)), qui comprend un grand complexe de terres et de bâtiments et c'est un des temples les plus connus de la région de Kantō. Il est consacré à Fudō myōō (« roi de la sagesse imperturbable »), connu sous le nom Ācala en sanskrit), généralement représenté portant une épée et une corde et entouré de flammes. Souvent appelé un dieu du feu, il est associé à des rituels de feu[1]. | ||||||
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Le Nihon-ji (日本寺?) est un temple bouddhiste situé dans la ville de Kyonan, préfecture de Chiba au Japon. Le temple, situé sur les pentes du mont Nokogiri, est renommé pour son daibutsu. Le Nihon-ji, établi comme temple de la secte Hossō, est transféré à la secte Tendai. Il est maintenant réservé à la secte Sōtō zen. Depuis sa fondation, le temple est tombé en ruines et a connu plusieurs renaissances. | ||||||
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Le Nyoirin-ji (如意輪寺?) est un temple bouddhiste situé dans la ville de Mobara, préfecture de Chiba au Japon. C'est un temple de l'école Nichiren, renommé pour ses anciens ginkgos. Le temple se trouve près des restes du château de Tonoyatsu. | ||||||
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Le Myōhōshō-ji (妙法生寺?) est un temple bouddhiste situé dans la ville de Ōtaki, préfecture de Chiba au Japon. Il appartient à la secte Nichiren du bouddhisme japonais. Le temple reçoit en 1253 son nom qui fait référence à la première ligne du Sūtra du Lotus. Le Myōhōshō-ji se trouve au fond de la chaîne des collines de Bōsō au centre de la péninsule de Bōsō. Le temple, presque entièrement tombé en ruines en 1904, est progressivement reconstruit par les fidèles Nichiren à partir de 1931. | ||||||
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Le Kamei-in (亀井院?) est un temple bouddhiste de l'école Nichiren situé dans la ville de Ichikawa, préfecture de Chiba au Japon. Il est surtout connu pour son puits Mama. Le Kamei-in est construit au début de l'époque d'Edo en 1635 comme temple de retraite pour le 11e abbé du proche Guhō-ji. Le Kamei-in se trouve directement au sud-est du Guhō-ji duquel il reste un sous-temple. À l'origine il s'appelle Bin'i-bō. En 1705, Nagayori Suzuki, un administrateur du shogunat Tokugawa, commence la restauration du Kamei-in en employant des pierres du Nikkō Tōshō-gū de Nikkō, préfecture de Tochigi. Les pierres sont utilisées pour construire les marches du Kamei-in. Suzuki est censuré par le shogunat et en conséquence commet le seppuku. Pendant cette période, le temple est connu sous le nom de Suzuki-i, mais après la mort de Nagayori le nom tombe en désuétude. Après l'apparition d'une mystérieuse tortue au Kamei-in, le temple est connu sous le nom qu'il porte à présent, combinaison des kanji pour tortue (亀) et puits (井). Hakushū Kitahara (1885 – 1942), le réputé poète de tanka du début du XXe siècle, séjourne dans les quartiers des moines du Kamei-in en 1916. | ||||||
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Hokekyō-ji (法華経寺?) est un temple bouddhiste japonais de l'école Nichiren Shū[1] fondé en 1260 à l'époque de Kamakura à Ichikawa, préfecture de Chiba au Japon. Il est issu de la fusion des temples Kakayama Hommyo-ji et Wakayama Hokke-ji[2]. | ||||||
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Le Chiba-dera (千葉寺, Chiba-dera?), aussi connu sous le nom Senyō-ji (千葉寺?)[1], est un temple bouddhiste situé dans l'arrondissement de Chūō de la ville de Chiba, dans la préfecture de Chiba au Japon. Le Chiba-dera est un des nombreux temples bouddhistes de la région, établi selon la tradition par le prêtre Gyōki (668 - 749)[2]. Le Chiba-dera, qui appartient à la secte Buzan du bouddhisme shingon, est le 29e temple du Bandō Sanjūsankasho, circuit de trente-trois temples bouddhistes de l'est du Japon consacrés à la déesse Kannon aux onze visages[3]. | ||||||
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L'Ichigatsu-ji (一月寺?) est un temple bouddhiste situé dans la ville de Matsudo, préfecture de Chiba au Japon. L'Ichigatsu-ji était le temple principal de la secte Konsen de la secte Fuke-shū du bouddhisme zen, représentée par des moines mendiants (komusō), qui portaient un panier distinct couvrant la tête et jouaient du shakuhachi. Les komusō de la région de Kantō étaient basés essentiellement au Ichigatsu-ji et au Reibō-ji dans l'actuelle Tokyo. Les moines de la secte, autorisés par le shogunat Tokugawa à se déplacer librement dans le pays, servaient souvent d'espions au gouvernement. En raison de ses liens négatifs avec le gouvernement Tokugawa, la secte est dissoute à la fin de l'époque d'Edo et l'Ichigatsu-ji qui cesse de servir comme temple Fuke, est repris par la secte bouddhiste Nichiren shōshū. | ||||||
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Le Manman-ji (万満寺?) est un temple bouddhiste situé dans la ville de Matsudo, préfecture de Chiba au Japon. Le temple est construit par Chiba Yoritane en 1256, d'abord en tant que temple de l'école Shingon appelé Dainichi-ji, puis est renommé Manman-ji en 1312. Entre 1532 et 1555, Takagi Tanetatsu, un dignitaire régional, invite le prêtre Rinzai zen Kinho du Daitoku-ji à Kyoto dans la région. Au cours des années qui suivent, la région gagne de nombreux adeptes au Rinzai zen, et le Manman-ji devient un important lieu de culte. Le Manman-ji possède de nombreux exemples de statues bouddhistes de l'époque Muromachi. | ||||||
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Le Bandō Sanjūsankasho (坂東三十三箇所?) (« les trente-trois temples Bandō ») désigne une succession des trente-trois temples bouddhistes dans l'est du Japon dédiés à la déesse Kannon[1]. Bandō est l'ancien nom de ce qui est à présent la région de Kantō[2], nom utilisé en la circonstance parce que les temples sont tous situés dans les préfectures de Kanagawa, Saitama, Tokyo, Gunma, Ibaraki, Tochigi et Chiba[1]. Comme c'est le cas avec tous ces circuits, chaque site a un rang et les pèlerins croient que la visite de tous les temples dans un ordre déterminé est un acte de grand mérite religieux[2]. | ||||||
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Le Shōfuku-ji (正福寺?, lit. « Temple de la bonne chance ») est un temple bouddhiste Rinzai situé dans la ville de Higashimurayama, préfecture de Tokyo au Japon. Son bâtiment Jizō du début du XVe siècle est classé Trésor national du Japon. Il est considéré comme le plus ancien bâtiment intact dans Tokyo et un exemple unique de l'architecture de Kamakura. | ||||||
Le Seiya-san Muryōshuji Kita-in (星野山無量寿寺喜多院?) est un temple bouddhiste Tendai situé dans la ville de Kawagoe, préfecture de Saitama au Japon. Il est connu pour son bâtiment principal, qui faisait partie du château d'Edo original ainsi que pour les statues de 540 Rakan, disciples de Bouddha. | ||||||
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Le Ekō-in (回向院, Ekōin?), aussi connu sous le nom de Honjo Ekō-in, est un temple bouddhiste de la Terre pure situé à Ryōgoku, Tokyo. Le nom formel du temple est Shoshuzan Muen-ji Ekōin (諸宗山 無縁寺 回向院?), renvoyant au principe fondateur du Pariṇāmanā (en), c'est-à-dire la propagation de la bienveillance du bouddha Amida à toutes les âmes de tous les êtres vivants[1]. | ||||||
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Le Honmonji (本門寺?) est un temple bouddhiste du Nichiren Shū situé dans le quartier de Ikegami (池上?, littéralement : « l'étang du dessus »), de l'arrondissement de Ōta (大田区, Ōta-ku?, littéralement : « quartier de la grande rizière ») dans la ville de Tōkyō. | ||||||
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Le Shibamata Taishakuten (柴又帝釈天?) est un temple bouddhiste situé à Katsushika, Tokyo au Japon. Fondé en 1629, sa principale image de vénération est celle de Taishakuten[1]. En 1996, le ministère japonais de l'Environnement a inscrit le temple et son transbordeur parmi les 100 sons naturels du Japon[2]. En 2009, le temple et le transbordeur ont été choisis pour figurer sur la liste des 100 paysages du Japon (ère Heisei)[3]. | ||||||
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Le Narihira-san Tōsen-ji (業平山東泉寺?) est un temple bouddhiste situé dans l'arrondissement spécial de Katsushika, à Tokyo, près de la maison Yamamoto et du parc de Mizumoto. Ce temple est renommé pour le Jizo lié traité dans l' « affaire de la (statue de) Jizo liée » de Ōoka Tadasuke, célèbre juge d'Edo (Tokyo) durant l'époque d'Edo. | ||||||
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Le Renkō-ji (蓮光寺?) est un temple bouddhiste à Tokyo. Il est supposé être l'emplacement présumé des cendres de Netaji Subhash Chandra Bose, dirigeant indépendantiste indien, qui y sont conservées depuis le 18 septembre 1945[1]. Le petit temple bien conservé a été créé en 1594, inspiré par le Dieu de la richesse et du bonheur. Il appartient à la secte du Bouddhisme Nichiren qui croit que le salut de l'homme ne réside que dans le sūtra du Lotus. | ||||||
Le Zenyōmitsu-ji (善養密寺) est un temple situé dans l'arrondissement spécial de Setagaya à Tokyo. Le temple appartient à l'école Shingon du Bouddhisme Vajrayana qui attache une importance particulière à l'origine du Bouddhisme et à sa manifestation à travers l'histoire. Le Zenyōmitsu-ji possède une riche collection d'objets historiques d'Inde, Asie centrale et de Chine. La plus remarquable est une exceptionnelle collection d'art de Gandhara, recueillie en vingt ans par le chef du Temple. | ||||||
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Le Tōeizan Kan'ei-ji Endon-in (東叡山寛永寺円頓院?, peut aussi s’écrire Kan'eiji, voire Kaneiji) est un temple bouddhiste de la secte Tendai fondé en 1625 par Tenkai lui-même à Tokyo à proximité de l'actuel parc d'Ueno et de la gare d'Uguisudani. Le nom du temple lui vient de l'ère Kan'ei durant laquelle il fut érigé. | ||||||
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Le Sensō-ji (金龍山浅草寺, Kinryū-zan Sensō-ji?) est un temple bouddhiste situé à Tokyo, dans le quartier d'Asakusa (arrondissement de Taitō). C'est le plus vieux temple de la capitale japonaise. Il est dédié à la déesse bodhisattva Kannon. Le temple Sensoji est particulièrement célèbre pour ses lanternes rouges géantes, qui sont exposées à l'extérieur du temple lors de festivals spéciaux[1]. | ||||||
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Le Bairin-ji (梅林寺?, « temple du bosquet de la prune ») est un temple de l'école Sōtō du bouddhisme zen situé dans le quartier Taitō de Tokyo. Dans le cimetière du temple se trouve une des deux tombes du poète de haïku Hekigotō Kawahigashi. L'autre tombe se trouve au Hōtō-ji à Kyoto. | ||||||
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Le Tsukiji Hongan-ji (築地本願寺?), parfois romanisé de façon archaïque en Hongwan-ji, est un temple bouddhiste de l'école Jodo Shinshu situé dans le quartier de Tsukiji de l'arrondissement Chūō-ku à Tokyo. | ||||||
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Le Kisshō-ji, aussi appelé Kichijō-ji (吉祥寺, est un temple bouddhiste situé dans l'arrondissement spécial Bunkyo de Tokyo, fondé en 1458 durant l'époque de Muromachi. En 1592, l'école « Sendan-Rin » pour moine bouddhistes est fondée dans l'enceinte du temple. En 1905, l'école Sendan-Rin est renommée « Université Soto-shu »; en 1925 l'Université Soto-shu devient l'Université de Komazawa (en). | ||||||
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Le Gokoku-ji (護国寺?) est un temple du bouddhisme Shingon situé dans le quartier Bunkyō de Tokyo. | ||||||
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Le Gyoran-ji (魚藍寺?) est un temple bouddhiste situé à 4 Mita, dans l'arrondissement spécial de Minato-ku de Tokyo, au Japon. Il se trouve sur le côté montagneux de Tsuki no Misaki. Le nom officiel est Suigetsu-in Gyoran-ji (水月院魚藍寺). | ||||||
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Le Shūkōzan Chōjuin Saikai-ji (周光山長寿院済海寺?), plus communément appelé Saikai-ji (済海寺?), est un temple du bouddhisme de la Terre pure situé au 4-16-23 de Mita à Minato, Tokyo (sur le Tsuki no Misaki), et dont la principale image est Amitābha. | ||||||
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Le Sengaku-ji (泉岳寺) est un temple sōtō zen bouddhique situé dans le quartier de Takanawa, district Minato-ku, près de la gare de Shinagawa à Tokyo (Japon). À l'origine, ce temple fut construit par Tokugawa Ieyasu à proximité du château d'Edo, dans le quartier de Sotosakurada. En 1612, le shogun tenait en effet à ce qu'un service mémorial fût assuré pour l'âme d'Imagawa Yoshimoto (daimyo de la province de Suruga [1519-1560], dont la nièce, la princesse Tsukiyama, était l'épouse de Tokugawa). Le premier abbé du temple Sengaku fut Monnan Shukan, petit-fils d'Imagawa. La porte Sanmon était l'une des principales de la ville. Durant l'ère Kan'ei, le temple fut détruit par un incendie, puis reconstruit à son emplacement actuel, au cours du XVIIIe siècle, dans ce qui était alors le village de Takanawa. De nombreux moines zen vinrent y étudier, ou pour y être ordonnés. | ||||||
Le Zenpuku-ji (善福寺), aussi connu sous le nom Azabu-san (麻布山), est un temple de l'école Jōdo Shinshū situé dans le district d'Azabu de Tokyo au Japon. C'est l'un des plus anciens temples de Tokyo après le Sensō-ji d'Asakusa. Fondé par Kūkai en 824, le Zenpuku-ji est à l'origine un temple du Bouddhisme Shingon. Shinran, qui le visite au cours de l'époque de Kamakura, lui fait intégrer la secte Jōdo Shinshū. | ||||||
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Le San'en-zan Zōjō-ji (三縁山増上寺?) est un temple bouddhiste situé dans le quartier de Shiba, Minato-ku, à Tokyo au Japon. Il est l’un des deux bodaiji (菩提寺?, (c'est-à-dire temple bodhi, un temple funéraire) du clan Tokugawa, l’autre étant le Kan'ei-ji. | ||||||
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Le Hōtōzan Hōju-in Daishin-ji (宝島山峯樹院大信寺?), abrégé en Daishin-ji, est un temple bouddhiste de la secte Jōdo du Bouddhisme de la Terre Pure situé dans l'arrondissement spécial de Minato-ku à Tokyo au Japon. En 1611, Ryō-kō Shōnin, le fondateur du temple, reçoit du shogunat Tokugawa une terre pour le temple à Minami Hatchōbori. Le Daishin-ji s'appelle d'abord Hōtōzan. En 1635, il est transféré à son actuel emplacement à Mita 4 chōme sur ordre du gouvernement, pour tenir compte de l'expansion continue d'Edo. En 1636, Ishimura Genzaemon, considéré comme le premier artisan de shamisen à Edo, est enterré au temple. Depuis Ishimura Omi, les tombes de onze générations de la famille y ont également été construites et pour cette raison, le temple est parfois surnommé « le temple Shamisen ». | ||||||
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Le Tōzen-ji (東禅寺?) est un temple à Takanawa, près de Tōkyō au Japon. Il appartient à la secte Rinzai-shu, une des écoles du bouddhisme zen qui à son siège au Myoshin-ji à Kyōto[1]. En 1610, Ryonan-zenji le créa à Akasaka et, en 1636, il fut déménagé dans ses locaux actuels. Le temple est situé directement sur la route du Tokaido au-dessus de la mer. Pour cette raison, il est nommé Kaijō zenrin (littéralement « la forêt zen au-dessus de la mer »). Ces mots furent écrits sur le samon ou porte principale. Pendant la période Edo, le Tōzen-ji était considéré comme le temple familial de plusieurs clans dont le clan Date de Sendai, le clan Ikeda de la province d'Ōmi, le clan Inaba du domaine d'Usuki dans la province de Bungo, les Suwo de Shinshu, les Tamura d'Ichinoseki et le clan Mori de Saeki à Bungo[1]. | ||||||
Le Yūten-ji (祐天寺?) est un temple du Bouddhisme de la Terre Pure situé dans le quartier Nakameguro de Meguro à Tokyo. En 1718, troisième année de l'ère Kyōhō, Yūten (祐天, yūten?), le 36e moine bouddhiste de Zōjō-ji meurt. Un de ses disciples, Yumi (祐海, yumi?), construit le Yūten-ji comme son sanctuaire et s'en fait le fondateur. | ||||||
Le Bandō Sanjūsankasho (坂東三十三箇所?) (« les trente-trois temples Bandō ») désigne une succession des trente-trois temples bouddhistes dans l'est du Japon dédiés à la déesse Kannon[1]. Bandō est l'ancien nom de ce qui est à présent la région de Kantō[2], nom utilisé en la circonstance parce que les temples sont tous situés dans les préfectures de Kanagawa, Saitama, Tokyo, Gunma, Ibaraki, Tochigi et Chiba[1]. Comme c'est le cas avec tous ces circuits, chaque site a un rang et les pèlerins croient que la visite de tous les temples dans un ordre déterminé est un acte de grand mérite religieux[2]. | ||||||
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Le Shōfuku-ji (勝福寺?) est un temple bouddhiste de la secte shingon situé dans la partie nord-est de la ville d'Odawara, préfecture de Kanagawa au Japon. Il est plus populairement connu sous le nom Iizumi Kannon (飯泉観音?), d'après son principal objet de culte. Le Shōfuku-ji est le cinquième temple du circuit de pèlerinage Bandō Sanjūsankasho des 33 temples bouddhistes de la région de Kantō à l'est du Japon consacré au Bodhisattva Kannon. | ||||||
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Le Hase-dera, ou Chōkoku-ji (長谷寺?) est un temple bouddhiste de la secte Shingon situé à l'extérieur de la ville d'Atsugi, préfecture de Kanagawa au Japon. Il est aussi connu sous le nom de Iiyama Kannon (飯山観音?), d'après son principal objet de vénération. Ce temple est le 6e de la route du pèlerinage des trente-trois temples Bandō Sanjūsankasho dans la région de Kantō à l'est du japon consacré au Bodhisattva Kannon. | ||||||
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Le Narita-zan (成田山?, litt. « montagne de Narita »), ou Narita-san shinshō-ji (成田山新勝寺?, litt. « nouveau temple de la victoire »), est un temple bouddhiste Shingon situé au centre de Narita, dans la préfecture de Chiba, au Japon. Il est fondé en 940 par Kanchō Daisōjō, un disciple de Kōbō Daishi. C'est un temple de tête de la branche Chisan du nouveau Shingon (Shingi Shingon (ja)), qui comprend un grand complexe de terres et de bâtiments et c'est un des temples les plus connus de la région de Kantō. Il est consacré à Fudō myōō (« roi de la sagesse imperturbable »), connu sous le nom Ācala en sanskrit), généralement représenté portant une épée et une corde et entouré de flammes. Souvent appelé un dieu du feu, il est associé à des rituels de feu[1]. | ||||||
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Kawasaki Daishi (川崎大師, Kawasaki Daishi?) est le nom informel du Heiken-ji (平間寺, Heiken-ji?) à Kawasaki au Japon. Fondé en 1128, c'est le siège de la secte Chisan de l'école bouddhiste Shingon. Kawasaki Daishi est un temple populaire pour Hatsumōde (la première visite au sanctuaire shintō ou au temple bouddhiste du Nouvel An japonais). En 2006, 2,72 millions de personnes sont venues ici pour Hatsumōde, la troisième plus grande fréquentation au Japon et la plus importante dans la préfecture de Kanagawa. Keihin Electric Express Railway, la plus ancienne compagnie de chemin de fer de la région du Kantō, a commencé dès janvier 1899 à relier Kawasaki Daishi à Tokyo. | ||||||
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Le Myōhōkekyōzan Ankokuron-ji (妙法華経山安国論寺?) est un temple bouddhiste de la secte Nichiren Shū situé dans la ville de Kamakura au Japon[1]. C'est l'un d'un groupe de trois construits à proximité du site à Matsubagayatsu (« vallée d'aiguilles de pins » (松葉ヶ谷?)[2] où Nichiren, fondateur de la secte bouddhiste qui porte son nom, est censé avoir eu sa cabane. | ||||||