37.Bandō Sanjūsankasho |
Le Bandō Sanjūsankasho (坂東三十三箇所?) (« les trente-trois temples Bandō ») désigne une succession des trente-trois temples bouddhistes dans l'est du Japon dédiés à la déesse Kannon[1]. Bandō est l'ancien nom de ce qui est à présent la région de Kantō[2], nom utilisé en la circonstance parce que les temples sont tous situés dans les préfectures de Kanagawa, Saitama, Tokyo, Gunma, Ibaraki, Tochigi et Chiba[1]. Comme c'est le cas avec tous ces circuits, chaque site a un rang et les pèlerins croient que la visite de tous les temples dans un ordre déterminé est un acte de grand mérite religieux[2].
|
Wikipedia détail |
38.Enpuku-ji |
L'Enpuku-ji (円福寺?) est un temple bouddhiste situé dans la ville de Chōshi, préfecture de Chiba. Selon la tradition, le temple est fondé par Kūkai entre 810 et 824 et peut-être sur le site d'un ancien temple appelé Iinuma-ji. La tradition veut qu'à cette époque Kūkai construit un dōu (堂宇?) bâtiment principal et dirige des services au temple[1]. L'Enpuku-ji est la 27e station du Bandō Sanjūsankasho, circuit de temples dans l'est du Japon, consacrés à la déesse Kannon. La majorité des bâtiments dans le complexe du temple sont détruits pendant les bombardements de la Seconde Guerre mondiale.
|
Wikipedia détail |
39.Enmyō-in |
L' Enmyō-in (圓明院?) est un temple bouddhiste de l'école Shingon appartenant à la secte Chizan-ha situé à Kisarazu dans la préfecture de Chiba. Son go-honzon, principal objet de vénération, est une statue d'Acala, connue au Japon sous le nom « Fudō Myōō », ou « roi de la sagesse immobile ». Un kaya bien connu de presque 5,4 m de circonférence se trouve sur le site du temple. Une petite salle a été construite à Enmyō-in en 1989 consacrée à la prière pour la sécurité routière.
|
Wikipedia détail |
40.Kasamori-ji |
Le Kasamori-ji (笠森寺?) est un temple bouddhiste situé dans la ville de Chōnan, préfecture de Chiba au Japon. Le temple est également appelé Kasamori-dera par l'emploi d'une prononciation alternative du sinogramme pour temple (tera). Le Kasamori-ji est le 31e temple du Bandō Sanjūsankasho, circuit de 33 temples bouddhistes à l'est du Japon consacrés à la déesse Kannon. La Kannon aux onze visages du Kasamori-ji n'est montrée au public que pendant les années du buffle et du cheval dans le cycle de douze ans du zodiaque chinois.
|
Wikipedia détail |
41.Kanpuku-ji |
Le Kanpuku-ji (観福寺?) est un temple bouddhiste du Bouddhisme Shingon de la secte Buzan situé à Yamakura, dans la ville de Katori, préfecture de Chiba. Le temple est l'un des deux temples à Katori portant le même nom, l'autre étant le Makinosan Kanpuku-ji.
|
Wikipedia détail |
42.Kyōnin-ji |
Le Kyōnin-ji, (nom officiel Komatsubara-zan Kyōnin-ji (小松原山鏡忍寺), situé dans la ville de Kamogawa, préfecture de Chiba, et fondé le 5 mars 1281, est un des temples historiques les plus importants du Nichiren Shū, plus ancienne école du Bouddhisme Nichiren.
Le 11 novembre 1264, à la suite d'une invitation de Kudō Yoshitaka, seigneur d'Amatsu, Nichiren est attaqué par des fidèles du Nembutsu alors qu'il se rend à la résidence du Seigneur. Kyōninbō Nichigyō et Kudō Yoshitaka qui se précipitent à son secours sont tués tandis que deux autres compagnons de Nichiren sont blessés. La légende veut que le chapelet de Nichiren l'a protégé de graves blessures. En souvenir de ces événements, Nichiryū, disciple de Nichiren et fils de Kudō Yoshitaka, fonde le temple en 1281.
|
Wikipedia détail |
43.Kiyomizu-dera (Isumi, Chiba) |
Le Kiyomizu-dera (清水寺?) est un temple bouddhiste situé dans la ville d'Isumi, préfecture de Chiba au Japon. Selon une autre valeur du nom en japonais, le temple, également appelé « Seisui-ji », est communément connu sous le nom « Kannon Kiyomizu ». Le Kiyomizu-dera est le 82e temple du Bandō Sanjūsankasho, ou circuit des trente-trois temples à l'est du Japon consacrés au bodhisattva Kannon.
|
Wikipedia détail |
44.Kōzō-ji (Kisarazu, Chiba) |
Le Kōzō-ji (高蔵寺?) est un temple bouddhiste situé dans la ville de Kisarazu, préfecture de Chiba au Japon. Il est également connu sous le nom Takazō Kannon. Le Kiyomizu-dera est le 30e temple du pèlerinage Bandō Sanjūsankasho, circuit de 33 temples bouddhistes de l'est du Japon consacrés à la Bodhisattva Kannon. Les amulettes délivrées par le temple sont très appréciées dans tout le Japon[1].
|
Wikipedia détail |
45.Jindai-ji |
Le Jindai-ji (甚大寺?) est un temple bouddhiste situé dans la ville de Sakura, préfecture de Chiba au Japon. Le temple se trouve à l'origine dans la préfecture de Yamagata mais lorsque le clan Hotta se voit attribuer le domaine de Sakura, Hotta Masasuke transfère le temple en 1746 pour qu'il serve de bodaiji (菩提寺?) (temple funéraire) du clan, c'est-à-dire qu'il en soit le temple familial. L'indicateur historique des tombes du clan Hotta se trouve au Jindai-ji, comme le sont les pierres tombales de Hotta Masatoshi, Hotta Masayoshi et Hotta Masatomo, qui sont tous désignés comme lieux historiques préfectoraux de Chiba. La statue de bronze de Kannon aux onze visages, le principal objet de vénération du Jindai-ji est de l'artiste Tsuda Shinobu (1875-1946).
|
Wikipedia détail |
46.Seichō-ji |
Le Seichō-ji (清澄寺?), également appelé Kiyosumi-dera à partir d'une prononciation alternative d'un kanji dans son nom, est un temple bouddhiste de la secte Nichiren Shū[1],[2], situé dans la ville de Kamogawa, préfecture de Chiba au Japon. Avec le Kuon-ji dans la préfecture de Yamanashi, le Honmon-ji au sud de Tokyo et le Tanjō-ji également à Kamogawa, le Seichō-ji est un des « Quatre sites sacrés du Nichiren Shū.»
|
Wikipedia détail |
47.Daifuku-ji |
Le Daifuku-ji (大福寺?) est un temple bouddhiste situé dans la ville de Tateyama, préfecture de Chiba au Japon. Il appartient à la secte Chizen du Bouddhisme Shingon.
Selon la tradition, le temple est fondé par Gyōki (668 - 749) en 717 au début de l'époque de Nara. Il connaît plus tard une seconde vie après une visite d'Ennin (794 - 864), un prêtre bouddhiste Tendai, au début de l'époque de Heian.
|
Wikipedia détail |
48.Tanjō-ji |
Le Tanjō-ji (誕生寺?), est un temple bouddhiste du Nichiren Shū situé dans la ville de Kamogawa, préfecture de Chiba au Japon. Avec le Kuon-ji, préfecture de Yamanashi, le Honmon-ji au sud de Tokyo et le Seichō-ji également dans la ville de Kamogawa, le Tanjō-ji est un des « quatre endroits sacrés du Nichiren Shū ».
|
Wikipedia détail |
49.Tōkai-ji |
Le Tōkai-ji (東海寺?), anciennement appelé Kōryūzan Fuse Benten Tōkai-ji (紅龍山布施弁天東海寺?), est un temple bouddhiste de la secte Shingon-shu Buzan-ha, situé dans la ville de Kashiwa (préfecture de Chiba) au Japon. Il aurait été fondé par Kūkai en 807. Il est consacré au culte de la déesse Benzaiten.
(ja) Site officiel
|
Wikipedia détail |
50.Nago-dera |
Le Nago-dera (那古寺?) est un temple bouddhiste situé dans la ville de Tateyama au sud de la préfecture de Chiba au Japon. Il est également appelé « Nago-ji » en usant de la prononciation alternative du denier kanji de son nom, ou encore « Nago Kannon » (古寺観音?), d'après son objet principal de vénération.
|
Wikipedia détail |
51.Narita-san |
Le Narita-zan (成田山?, litt. « montagne de Narita »), ou Narita-san shinshō-ji (成田山新勝寺?, litt. « nouveau temple de la victoire »), est un temple bouddhiste Shingon situé au centre de Narita, dans la préfecture de Chiba, au Japon. Il est fondé en 940 par Kanchō Daisōjō, un disciple de Kōbō Daishi. C'est un temple de tête de la branche Chisan du nouveau Shingon (Shingi Shingon (ja)), qui comprend un grand complexe de terres et de bâtiments et c'est un des temples les plus connus de la région de Kantō. Il est consacré à Fudō myōō (« roi de la sagesse imperturbable »), connu sous le nom Ācala en sanskrit), généralement représenté portant une épée et une corde et entouré de flammes. Souvent appelé un dieu du feu, il est associé à des rituels de feu[1].
|
Wikipedia détail |
52.Nihon-ji |
Le Nihon-ji (日本寺?) est un temple bouddhiste situé dans la ville de Kyonan, préfecture de Chiba au Japon. Le temple, situé sur les pentes du mont Nokogiri, est renommé pour son daibutsu. Le Nihon-ji, établi comme temple de la secte Hossō, est transféré à la secte Tendai. Il est maintenant réservé à la secte Sōtō zen. Depuis sa fondation, le temple est tombé en ruines et a connu plusieurs renaissances.
|
Wikipedia détail |
53.Nyoirin-ji |
Le Nyoirin-ji (如意輪寺?) est un temple bouddhiste situé dans la ville de Mobara, préfecture de Chiba au Japon. C'est un temple de l'école Nichiren, renommé pour ses anciens ginkgos. Le temple se trouve près des restes du château de Tonoyatsu.
|
Wikipedia détail |
54.Myōhōshō-ji |
Le Myōhōshō-ji (妙法生寺?) est un temple bouddhiste situé dans la ville de Ōtaki, préfecture de Chiba au Japon. Il appartient à la secte Nichiren du bouddhisme japonais. Le temple reçoit en 1253 son nom qui fait référence à la première ligne du Sūtra du Lotus. Le Myōhōshō-ji se trouve au fond de la chaîne des collines de Bōsō au centre de la péninsule de Bōsō. Le temple, presque entièrement tombé en ruines en 1904, est progressivement reconstruit par les fidèles Nichiren à partir de 1931.
|
Wikipedia détail |
55.Kawasaki Daishi |
Kawasaki Daishi (川崎大師, Kawasaki Daishi?) est le nom informel du Heiken-ji (平間寺, Heiken-ji?) à Kawasaki au Japon. Fondé en 1128, c'est le siège de la secte Chisan de l'école bouddhiste Shingon. Kawasaki Daishi est un temple populaire pour Hatsumōde (la première visite au sanctuaire shintō ou au temple bouddhiste du Nouvel An japonais). En 2006, 2,72 millions de personnes sont venues ici pour Hatsumōde, la troisième plus grande fréquentation au Japon et la plus importante dans la préfecture de Kanagawa. Keihin Electric Express Railway, la plus ancienne compagnie de chemin de fer de la région du Kantō, a commencé dès janvier 1899 à relier Kawasaki Daishi à Tokyo.
|
Wikipedia détail |
56.Kamei-in |
Le Kamei-in (亀井院?) est un temple bouddhiste de l'école Nichiren situé dans la ville de Ichikawa, préfecture de Chiba au Japon. Il est surtout connu pour son puits Mama.
Le Kamei-in est construit au début de l'époque d'Edo en 1635 comme temple de retraite pour le 11e abbé du proche Guhō-ji. Le Kamei-in se trouve directement au sud-est du Guhō-ji duquel il reste un sous-temple. À l'origine il s'appelle Bin'i-bō. En 1705, Nagayori Suzuki, un administrateur du shogunat Tokugawa, commence la restauration du Kamei-in en employant des pierres du Nikkō Tōshō-gū de Nikkō, préfecture de Tochigi. Les pierres sont utilisées pour construire les marches du Kamei-in. Suzuki est censuré par le shogunat et en conséquence commet le seppuku. Pendant cette période, le temple est connu sous le nom de Suzuki-i, mais après la mort de Nagayori le nom tombe en désuétude. Après l'apparition d'une mystérieuse tortue au Kamei-in, le temple est connu sous le nom qu'il porte à présent, combinaison des kanji pour tortue (亀) et puits (井). Hakushū Kitahara (1885 – 1942), le réputé poète de tanka du début du XXe siècle, séjourne dans les quartiers des moines du Kamei-in en 1916.
|
Wikipedia détail |
57.Hokekyō-ji |
Hokekyō-ji (法華経寺?) est un temple bouddhiste japonais de l'école Nichiren Shū[1] fondé en 1260 à l'époque de Kamakura à Ichikawa, préfecture de Chiba au Japon. Il est issu de la fusion des temples Kakayama Hommyo-ji et Wakayama Hokke-ji[2].
|
Wikipedia détail |
58.Chiba-dera |
Le Chiba-dera (千葉寺, Chiba-dera?), aussi connu sous le nom Senyō-ji (千葉寺?)[1], est un temple bouddhiste situé dans l'arrondissement de Chūō de la ville de Chiba, dans la préfecture de Chiba au Japon. Le Chiba-dera est un des nombreux temples bouddhistes de la région, établi selon la tradition par le prêtre Gyōki (668 - 749)[2]. Le Chiba-dera, qui appartient à la secte Buzan du bouddhisme shingon, est le 29e temple du Bandō Sanjūsankasho, circuit de trente-trois temples bouddhistes de l'est du Japon consacrés à la déesse Kannon aux onze visages[3].
|
Wikipedia détail |
59.Ichigatsu-ji |
L'Ichigatsu-ji (一月寺?) est un temple bouddhiste situé dans la ville de Matsudo, préfecture de Chiba au Japon.
L'Ichigatsu-ji était le temple principal de la secte Konsen de la secte Fuke-shū du bouddhisme zen, représentée par des moines mendiants (komusō), qui portaient un panier distinct couvrant la tête et jouaient du shakuhachi. Les komusō de la région de Kantō étaient basés essentiellement au Ichigatsu-ji et au Reibō-ji dans l'actuelle Tokyo. Les moines de la secte, autorisés par le shogunat Tokugawa à se déplacer librement dans le pays, servaient souvent d'espions au gouvernement. En raison de ses liens négatifs avec le gouvernement Tokugawa, la secte est dissoute à la fin de l'époque d'Edo et l'Ichigatsu-ji qui cesse de servir comme temple Fuke, est repris par la secte bouddhiste Nichiren shōshū.
|
Wikipedia détail |
60.Manman-ji |
Le Manman-ji (万満寺?) est un temple bouddhiste situé dans la ville de Matsudo, préfecture de Chiba au Japon. Le temple est construit par Chiba Yoritane en 1256, d'abord en tant que temple de l'école Shingon appelé Dainichi-ji, puis est renommé Manman-ji en 1312.
Entre 1532 et 1555, Takagi Tanetatsu, un dignitaire régional, invite le prêtre Rinzai zen Kinho du Daitoku-ji à Kyoto dans la région. Au cours des années qui suivent, la région gagne de nombreux adeptes au Rinzai zen, et le Manman-ji devient un important lieu de culte. Le Manman-ji possède de nombreux exemples de statues bouddhistes de l'époque Muromachi.
|
Wikipedia détail |
61.Bandō Sanjūsankasho |
Le Bandō Sanjūsankasho (坂東三十三箇所?) (« les trente-trois temples Bandō ») désigne une succession des trente-trois temples bouddhistes dans l'est du Japon dédiés à la déesse Kannon[1]. Bandō est l'ancien nom de ce qui est à présent la région de Kantō[2], nom utilisé en la circonstance parce que les temples sont tous situés dans les préfectures de Kanagawa, Saitama, Tokyo, Gunma, Ibaraki, Tochigi et Chiba[1]. Comme c'est le cas avec tous ces circuits, chaque site a un rang et les pèlerins croient que la visite de tous les temples dans un ordre déterminé est un acte de grand mérite religieux[2].
|
Wikipedia détail |
62.Shōfuku-ji (Higashimurayama) |
Le Shōfuku-ji (正福寺?, lit. « Temple de la bonne chance ») est un temple bouddhiste Rinzai situé dans la ville de Higashimurayama, préfecture de Tokyo au Japon. Son bâtiment Jizō du début du XVe siècle est classé Trésor national du Japon. Il est considéré comme le plus ancien bâtiment intact dans Tokyo et un exemple unique de l'architecture de Kamakura.
|
Wikipedia détail |
63.Kita-in |
Le Seiya-san Muryōshuji Kita-in (星野山無量寿寺喜多院?) est un temple bouddhiste Tendai situé dans la ville de Kawagoe, préfecture de Saitama au Japon. Il est connu pour son bâtiment principal, qui faisait partie du château d'Edo original ainsi que pour les statues de 540 Rakan, disciples de Bouddha.
|
Wikipedia détail |
64.Narita-san |
Le Narita-zan (成田山?, litt. « montagne de Narita »), ou Narita-san shinshō-ji (成田山新勝寺?, litt. « nouveau temple de la victoire »), est un temple bouddhiste Shingon situé au centre de Narita, dans la préfecture de Chiba, au Japon. Il est fondé en 940 par Kanchō Daisōjō, un disciple de Kōbō Daishi. C'est un temple de tête de la branche Chisan du nouveau Shingon (Shingi Shingon (ja)), qui comprend un grand complexe de terres et de bâtiments et c'est un des temples les plus connus de la région de Kantō. Il est consacré à Fudō myōō (« roi de la sagesse imperturbable »), connu sous le nom Ācala en sanskrit), généralement représenté portant une épée et une corde et entouré de flammes. Souvent appelé un dieu du feu, il est associé à des rituels de feu[1].
|
Wikipedia détail |
65.Kawasaki Daishi |
Kawasaki Daishi (川崎大師, Kawasaki Daishi?) est le nom informel du Heiken-ji (平間寺, Heiken-ji?) à Kawasaki au Japon. Fondé en 1128, c'est le siège de la secte Chisan de l'école bouddhiste Shingon. Kawasaki Daishi est un temple populaire pour Hatsumōde (la première visite au sanctuaire shintō ou au temple bouddhiste du Nouvel An japonais). En 2006, 2,72 millions de personnes sont venues ici pour Hatsumōde, la troisième plus grande fréquentation au Japon et la plus importante dans la préfecture de Kanagawa. Keihin Electric Express Railway, la plus ancienne compagnie de chemin de fer de la région du Kantō, a commencé dès janvier 1899 à relier Kawasaki Daishi à Tokyo.
|
Wikipedia détail |
66.Ekō-in |
Le Ekō-in (回向院, Ekōin?), aussi connu sous le nom de Honjo Ekō-in, est un temple bouddhiste de la Terre pure situé à Ryōgoku, Tokyo. Le nom formel du temple est Shoshuzan Muen-ji Ekōin (諸宗山 無縁寺 回向院?), renvoyant au principe fondateur du Pariṇāmanā (en), c'est-à-dire la propagation de la bienveillance du bouddha Amida à toutes les âmes de tous les êtres vivants[1].
|
Wikipedia détail |
67.Honmon-ji |
Le Honmonji (本門寺?) est un temple bouddhiste du Nichiren Shū situé dans le quartier de Ikegami (池上?, littéralement : « l'étang du dessus »), de l'arrondissement de Ōta (大田区, Ōta-ku?, littéralement : « quartier de la grande rizière ») dans la ville de Tōkyō.
|
Wikipedia détail |
68.Shibamata Taishakuten |
Le Shibamata Taishakuten (柴又帝釈天?) est un temple bouddhiste situé à Katsushika, Tokyo au Japon. Fondé en 1629, sa principale image de vénération est celle de Taishakuten[1]. En 1996, le ministère japonais de l'Environnement a inscrit le temple et son transbordeur parmi les 100 sons naturels du Japon[2]. En 2009, le temple et le transbordeur ont été choisis pour figurer sur la liste des 100 paysages du Japon (ère Heisei)[3].
|
Wikipedia détail |
69.Tōsen-ji |
Le Narihira-san Tōsen-ji (業平山東泉寺?) est un temple bouddhiste situé dans l'arrondissement spécial de Katsushika, à Tokyo, près de la maison Yamamoto et du parc de Mizumoto. Ce temple est renommé pour le Jizo lié traité dans l' « affaire de la (statue de) Jizo liée » de Ōoka Tadasuke, célèbre juge d'Edo (Tokyo) durant l'époque d'Edo.
|
Wikipedia détail |
70.Renkō-ji |
Le Renkō-ji (蓮光寺?) est un temple bouddhiste à Tokyo. Il est supposé être l'emplacement présumé des cendres de Netaji Subhash Chandra Bose, dirigeant indépendantiste indien, qui y sont conservées depuis le 18 septembre 1945[1].
Le petit temple bien conservé a été créé en 1594, inspiré par le Dieu de la richesse et du bonheur. Il appartient à la secte du Bouddhisme Nichiren qui croit que le salut de l'homme ne réside que dans le sūtra du Lotus.
|
Wikipedia détail |
71.Zenyōmitsu-ji |
Le Zenyōmitsu-ji (善養密寺) est un temple situé dans l'arrondissement spécial de Setagaya à Tokyo. Le temple appartient à l'école Shingon du Bouddhisme Vajrayana qui attache une importance particulière à l'origine du Bouddhisme et à sa manifestation à travers l'histoire.
Le Zenyōmitsu-ji possède une riche collection d'objets historiques d'Inde, Asie centrale et de Chine. La plus remarquable est une exceptionnelle collection d'art de Gandhara, recueillie en vingt ans par le chef du Temple.
|
Wikipedia détail |
72.Kan'ei-ji |
Le Tōeizan Kan'ei-ji Endon-in (東叡山寛永寺円頓院?, peut aussi s’écrire Kan'eiji, voire Kaneiji) est un temple bouddhiste de la secte Tendai fondé en 1625 par Tenkai lui-même à Tokyo à proximité de l'actuel parc d'Ueno et de la gare d'Uguisudani. Le nom du temple lui vient de l'ère Kan'ei durant laquelle il fut érigé.
|
Wikipedia détail |
73.Sensō-ji |
Le Sensō-ji (金龍山浅草寺, Kinryū-zan Sensō-ji?) est un temple bouddhiste situé à Tokyo, dans le quartier d'Asakusa (arrondissement de Taitō). C'est le plus vieux temple de la capitale japonaise. Il est dédié à la déesse bodhisattva Kannon.
Le temple Sensoji est particulièrement célèbre pour ses lanternes rouges géantes, qui sont exposées à l'extérieur du temple lors de festivals spéciaux[1].
|
Wikipedia détail |
74.Bairin-ji |
Le Bairin-ji (梅林寺?, « temple du bosquet de la prune ») est un temple de l'école Sōtō du bouddhisme zen situé dans le quartier Taitō de Tokyo.
Dans le cimetière du temple se trouve une des deux tombes du poète de haïku Hekigotō Kawahigashi. L'autre tombe se trouve au Hōtō-ji à Kyoto.
|
Wikipedia détail |
75.Tsukiji Hongan-ji |
Le Tsukiji Hongan-ji (築地本願寺?), parfois romanisé de façon archaïque en Hongwan-ji, est un temple bouddhiste de l'école Jodo Shinshu situé dans le quartier de Tsukiji de l'arrondissement Chūō-ku à Tokyo.
|
Wikipedia détail |
76.Kisshō-ji |
Le Kisshō-ji, aussi appelé Kichijō-ji (吉祥寺, est un temple bouddhiste situé dans l'arrondissement spécial Bunkyo de Tokyo, fondé en 1458 durant l'époque de Muromachi.
En 1592, l'école « Sendan-Rin » pour moine bouddhistes est fondée dans l'enceinte du temple. En 1905, l'école Sendan-Rin est renommée « Université Soto-shu »; en 1925 l'Université Soto-shu devient l'Université de Komazawa (en).
|
Wikipedia détail |
77.Gokoku-ji |
Le Gokoku-ji (護国寺?) est un temple du bouddhisme Shingon situé dans le quartier Bunkyō de Tokyo.
|
Wikipedia détail |
78.Gyoran-ji |
Le Gyoran-ji (魚藍寺?) est un temple bouddhiste situé à 4 Mita, dans l'arrondissement spécial de Minato-ku de Tokyo, au Japon.
Il se trouve sur le côté montagneux de Tsuki no Misaki. Le nom officiel est Suigetsu-in Gyoran-ji (水月院魚藍寺).
|
Wikipedia détail |
79.Saikai-ji |
Le Shūkōzan Chōjuin Saikai-ji (周光山長寿院済海寺?), plus communément appelé Saikai-ji (済海寺?), est un temple du bouddhisme de la Terre pure situé au 4-16-23 de Mita à Minato, Tokyo (sur le Tsuki no Misaki), et dont la principale image est Amitābha.
|
Wikipedia détail |
80.Sengaku-ji |
Le Sengaku-ji (泉岳寺) est un temple sōtō zen bouddhique situé dans le quartier de Takanawa, district Minato-ku, près de la gare de Shinagawa à Tokyo (Japon).
À l'origine, ce temple fut construit par Tokugawa Ieyasu à proximité du château d'Edo, dans le quartier de Sotosakurada. En 1612, le shogun tenait en effet à ce qu'un service mémorial fût assuré pour l'âme d'Imagawa Yoshimoto (daimyo de la province de Suruga [1519-1560], dont la nièce, la princesse Tsukiyama, était l'épouse de Tokugawa). Le premier abbé du temple Sengaku fut Monnan Shukan, petit-fils d'Imagawa. La porte Sanmon était l'une des principales de la ville. Durant l'ère Kan'ei, le temple fut détruit par un incendie, puis reconstruit à son emplacement actuel, au cours du XVIIIe siècle, dans ce qui était alors le village de Takanawa. De nombreux moines zen vinrent y étudier, ou pour y être ordonnés.
|
Wikipedia détail |
81.Zenpuku-ji |
Le Zenpuku-ji (善福寺), aussi connu sous le nom Azabu-san (麻布山), est un temple de l'école Jōdo Shinshū situé dans le district d'Azabu de Tokyo au Japon. C'est l'un des plus anciens temples de Tokyo après le Sensō-ji d'Asakusa.
Fondé par Kūkai en 824, le Zenpuku-ji est à l'origine un temple du Bouddhisme Shingon. Shinran, qui le visite au cours de l'époque de Kamakura, lui fait intégrer la secte Jōdo Shinshū.
|
Wikipedia détail |
82.Zōjō-ji |
Le San'en-zan Zōjō-ji (三縁山増上寺?) est un temple bouddhiste situé dans le quartier de Shiba, Minato-ku, à Tokyo au Japon.
Il est l’un des deux bodaiji (菩提寺?, (c'est-à-dire temple bodhi, un temple funéraire) du clan Tokugawa, l’autre étant le Kan'ei-ji.
|
Wikipedia détail |
83.Daishin-ji |
Le Hōtōzan Hōju-in Daishin-ji (宝島山峯樹院大信寺?), abrégé en Daishin-ji, est un temple bouddhiste de la secte Jōdo du Bouddhisme de la Terre Pure situé dans l'arrondissement spécial de Minato-ku à Tokyo au Japon. En 1611, Ryō-kō Shōnin, le fondateur du temple, reçoit du shogunat Tokugawa une terre pour le temple à Minami Hatchōbori. Le Daishin-ji s'appelle d'abord Hōtōzan. En 1635, il est transféré à son actuel emplacement à Mita 4 chōme sur ordre du gouvernement, pour tenir compte de l'expansion continue d'Edo. En 1636, Ishimura Genzaemon, considéré comme le premier artisan de shamisen à Edo, est enterré au temple. Depuis Ishimura Omi, les tombes de onze générations de la famille y ont également été construites et pour cette raison, le temple est parfois surnommé « le temple Shamisen ».
|
Wikipedia détail |
84.Tōzen-ji |
Le Tōzen-ji (東禅寺?) est un temple à Takanawa, près de Tōkyō au Japon. Il appartient à la secte Rinzai-shu, une des écoles du bouddhisme zen qui à son siège au Myoshin-ji à Kyōto[1].
En 1610, Ryonan-zenji le créa à Akasaka et, en 1636, il fut déménagé dans ses locaux actuels. Le temple est situé directement sur la route du Tokaido au-dessus de la mer. Pour cette raison, il est nommé Kaijō zenrin (littéralement « la forêt zen au-dessus de la mer »). Ces mots furent écrits sur le samon ou porte principale. Pendant la période Edo, le Tōzen-ji était considéré comme le temple familial de plusieurs clans dont le clan Date de Sendai, le clan Ikeda de la province d'Ōmi, le clan Inaba du domaine d'Usuki dans la province de Bungo, les Suwo de Shinshu, les Tamura d'Ichinoseki et le clan Mori de Saeki à Bungo[1].
|
Wikipedia détail |
85.Yūten-ji |
Le Yūten-ji (祐天寺?) est un temple du Bouddhisme de la Terre Pure situé dans le quartier Nakameguro de Meguro à Tokyo.
En 1718, troisième année de l'ère Kyōhō, Yūten (祐天, yūten?), le 36e moine bouddhiste de Zōjō-ji meurt. Un de ses disciples, Yumi (祐海, yumi?), construit le Yūten-ji comme son sanctuaire et s'en fait le fondateur.
|
Wikipedia détail |
86.Bandō Sanjūsankasho |
Le Bandō Sanjūsankasho (坂東三十三箇所?) (« les trente-trois temples Bandō ») désigne une succession des trente-trois temples bouddhistes dans l'est du Japon dédiés à la déesse Kannon[1]. Bandō est l'ancien nom de ce qui est à présent la région de Kantō[2], nom utilisé en la circonstance parce que les temples sont tous situés dans les préfectures de Kanagawa, Saitama, Tokyo, Gunma, Ibaraki, Tochigi et Chiba[1]. Comme c'est le cas avec tous ces circuits, chaque site a un rang et les pèlerins croient que la visite de tous les temples dans un ordre déterminé est un acte de grand mérite religieux[2].
|
Wikipedia détail |
87.Shōfuku-ji (Odawara) |
Le Shōfuku-ji (勝福寺?) est un temple bouddhiste de la secte shingon situé dans la partie nord-est de la ville d'Odawara, préfecture de Kanagawa au Japon. Il est plus populairement connu sous le nom Iizumi Kannon (飯泉観音?), d'après son principal objet de culte. Le Shōfuku-ji est le cinquième temple du circuit de pèlerinage Bandō Sanjūsankasho des 33 temples bouddhistes de la région de Kantō à l'est du Japon consacré au Bodhisattva Kannon.
|
Wikipedia détail |
88.Hase-dera (Atsugi) |
Le Hase-dera, ou Chōkoku-ji (長谷寺?) est un temple bouddhiste de la secte Shingon situé à l'extérieur de la ville d'Atsugi, préfecture de Kanagawa au Japon. Il est aussi connu sous le nom de Iiyama Kannon (飯山観音?), d'après son principal objet de vénération.
Ce temple est le 6e de la route du pèlerinage des trente-trois temples Bandō Sanjūsankasho dans la région de Kantō à l'est du japon consacré au Bodhisattva Kannon.
|
Wikipedia détail |
89.Narita-san |
Le Narita-zan (成田山?, litt. « montagne de Narita »), ou Narita-san shinshō-ji (成田山新勝寺?, litt. « nouveau temple de la victoire »), est un temple bouddhiste Shingon situé au centre de Narita, dans la préfecture de Chiba, au Japon. Il est fondé en 940 par Kanchō Daisōjō, un disciple de Kōbō Daishi. C'est un temple de tête de la branche Chisan du nouveau Shingon (Shingi Shingon (ja)), qui comprend un grand complexe de terres et de bâtiments et c'est un des temples les plus connus de la région de Kantō. Il est consacré à Fudō myōō (« roi de la sagesse imperturbable »), connu sous le nom Ācala en sanskrit), généralement représenté portant une épée et une corde et entouré de flammes. Souvent appelé un dieu du feu, il est associé à des rituels de feu[1].
|
Wikipedia détail |
90.Kawasaki Daishi |
Kawasaki Daishi (川崎大師, Kawasaki Daishi?) est le nom informel du Heiken-ji (平間寺, Heiken-ji?) à Kawasaki au Japon. Fondé en 1128, c'est le siège de la secte Chisan de l'école bouddhiste Shingon. Kawasaki Daishi est un temple populaire pour Hatsumōde (la première visite au sanctuaire shintō ou au temple bouddhiste du Nouvel An japonais). En 2006, 2,72 millions de personnes sont venues ici pour Hatsumōde, la troisième plus grande fréquentation au Japon et la plus importante dans la préfecture de Kanagawa. Keihin Electric Express Railway, la plus ancienne compagnie de chemin de fer de la région du Kantō, a commencé dès janvier 1899 à relier Kawasaki Daishi à Tokyo.
|
Wikipedia détail |
91.Ankokuron-ji |
Le Myōhōkekyōzan Ankokuron-ji (妙法華経山安国論寺?) est un temple bouddhiste de la secte Nichiren Shū situé dans la ville de Kamakura au Japon[1]. C'est l'un d'un groupe de trois construits à proximité du site à Matsubagayatsu (« vallée d'aiguilles de pins » (松葉ヶ谷?)[2] où Nichiren, fondateur de la secte bouddhiste qui porte son nom, est censé avoir eu sa cabane.
|
Wikipedia détail |
92.An'yō-in (Kamakura) |
Le Gionzan An’yō-in Chōraku-ji (祇園山安養院長楽寺?) est un temple bouddhiste de l'école Jōdo shū situé à Kamakura, préfecture de Kanagawa au Japon[1]. Renommé pour ses azalées, il a été nommé d'après le nom posthume de son fondateur et grande figure historique, Hōjō Masako[1]. L'objet principal de vénération est Amida Nyorai[2], mais le temple est aussi consacré à Senju Kannon, déesse de la miséricorde. An’yō-in est le troisième des trente-trois temples de la route du pèlerinage Bandō Sanjūsankasho[2].
|
Wikipedia détail |
93.Engaku-ji (bouddhisme) |
Le Zuirokuzan Engaku Kōshō Zenji (瑞鹿山円覚興聖禅寺?), ou Engaku-ji (円覚寺), est un des plus importants complexes de temples zen au Japon[1] ; c'est le deuxième des cinq grands temples de Kamakura, préfecture de Kanagawa au sud de Tokyo.
|
Wikipedia détail |
94.Ōfuna Kannon |
Le Ōfuna Kannon, Ōfuna Kannonji (大船観音寺), ou Muga sozan Ōfuna Kannonji est un temple bouddhiste situé dans la ville de Kamakura, préfecture de Kanagawa au Japon. La grande particularité du temple est une statue en béton armé de 25 m de haut et de 1,900 t, consacrée au bodhisattva Kannon ou Guanyin.
La construction du temple est entamé en 1929 par la secte Sōtō du Bouddhisme Zen. Le contour de la statue est terminé en 1934, mais les travaux sont suspendus au début de la Guerre du Pacifique. La Ofuna Kannon Society poursuit les travaux de construction en 1954 et le temple est achevé en 1960. La structure de la statue est faite de sections de béton coulé et entièrement réalisée à la main, aucun camion de pompe à béton n'a été utilisé. La surface de la statue est peinte en blanc. La statue elle-même contient un petit musée et un sanctuaire et les deux sont ouverts à la visite.
|
Wikipedia détail |
95.Kenchō-ji |
Le Kenchō-ji (建長寺?) est le premier des gozan (五山?, cinq grands temples) de Kamakura, dans la préfecture de Kanagawa, au Japon.
Ce temple bouddhiste zen fut fondé en 1249 par le moine chinois Lan-ch'i Tao-lung (Rankei Doryū en japonais) de l'école Rinzai, à la demande de l'empereur Go-Fukakusa et complété en 1253.
|
Wikipedia détail |
96.Kōtoku-in |
Le Kōtoku-in (高徳院?) est un temple bouddhiste du Jōdo shū situé à Kamakura dans la préfecture de Kanagawa au Japon.
Le temple est connu pour son « Grand Bouddha » (大仏, daibutsu?), une monumentale statue en bronze d'Amitābha Bouddha qui est l'une des plus célèbres icônes du Japon. En 2016, ils ont attiré environ deux millions de visiteurs, dont 10 % d'étrangers[1].
|
Wikipedia détail |
97.Kōmyō-ji (Kamakura) |
Le Tenshōzan Renge-in Kōmyō-ji (天照山蓮華院光明寺?) est un temple bouddhiste de la secte Jōdo situé à Zaimokuza, près de Kamakura au Japon. Seul temple urbain important situé près de la mer, Kōmyō-ji est le premier des Kantō Jūhachi Danrin (関東十八檀林?), groupe de dix-huit temples Jōdo établis durant l'époque d'Edo par Tokugawa Ieyasu, et consacré à la formation des prêtres et à la recherche scientifique[1]. C'est également le temple principal de la secte pour la région de Kantō[2]. En dépit du fait qu'il est un temple de la secte Jōdo, Kōmyō-ji présente plusieurs des caractéristiques typiques d'un temple zen, par exemple un sanmon (porte principale), un étang et un karesansui (jardin de pierres).
|
Wikipedia détail |
98.Gokuraku-ji (Kamakura) |
Le Gokuraku-ji (極楽寺?) est un temple bouddhiste japonais de la secte Shingon (眞言 ou 真言?) situé à Kamakura (鎌倉市, Kamakura-shi?), dans la préfecture de Kanagawa.
|
Wikipedia détail |
99.Jufuku-ji |
Le Jufuku-ji (寿福寺?) est un temple bouddhiste zen relevant de l'école Rinzai. Fondé en 1200 par le régent Hōjō Masako et le moine Eisai, c'est le plus vieux temple de la branche Rinzai Kencho-ji. Le temple est aussi l'un des gozan (五山, cinq grands temples) de Kamakura.
|
Wikipedia détail |
100.Jōchi-ji |
Le Jōchi-ji (浄智寺) est un temple bouddhiste zen relevant de l'école Rinzai. Il a été fondé en 1281 ou 1283 par Hōjō Munemasa et Hōjō Morotoki. C'est l'un des gozan (五山, cinq grands temples) de Kamakura.
|
Wikipedia détail |
101.Jōmyō-ji |
Le Tōkasan Jōmyō Zenji (稲荷山浄妙寺?) est un temple bouddhiste zen relevant de l'école rinzai de la branche Kenchô-ji fondé en 1188 par Ashikaga Yoshikane. D'abord temple Shingon, il devint peu après le cinquième des gozan (五山?, cinq grands temples) de Kamakura, préfecture de Kanagawa au Japon. C'est le seul de ces cinq temples à n'être pas fondé par le clan Hōjō. Au contraire, le Jōmyō-ji comme le proche Zuisen-ji, a de fortes attaches avec le clan Ashikaga et est un des temples funéraires (bodaiji) de la famille[1]. Pour cette raison, le kamon familial est omniprésent sur son site. Les trois premiers caractères de son nom complet signifient « montagne Inari », probablement à partir de la colline du même nom où il se trouve, à son tour, nommée d'après un ancien mythe Inari (voir ci-dessous). Le Jōmyō-ji donne son nom à la région environnante, les caractères desquels sont cependant délibérément changés de (浄妙寺?) à (浄明寺?)[2].
|
Wikipedia détail |
102.Zuisen-ji |
Le Kinbyōzan Zuisen-ji (錦屏山瑞泉寺?) est un temple bouddhiste de la secte Rinzai situé dans la vallée Momijigayatsu (紅葉ヶ谷, « vallée des feuilles d'automne »?) de Nikaidō (en) près de Kamakura au Japon[1]. Durant l'époque de Muromachi, c'est le temple familial des maîtres Ashikaga de Kamakura (les Kantō kubō) : quatre des cinq kubō y sont enterrés dans un cimetière fermé au public[1],[2] et le premier kubō Ashikaga Motouji est aussi connu sous le nom Zuisen-ji-den (瑞泉寺殿?)[3]. Conçu par Musō Soseki (aussi connu sous le nom Musō Kokushi), célèbre personnalité religieuse zen, poète et réalisateur de jardin zen, le temple, célèbre pour son jardin et son jardin de pierres zen, se trouve au sommet d'une colline isolée[4]. La beauté et la quantité de ses plantes lui ont acquis depuis l'Antiquité le surnom de « Temple des fleurs » (花の寺?)[1]. Le principal objet de vénération est Jizō Bosatsu[5],[6]. Le Zuisen-ji est un « site historique » et contient de nombreux objets classés bien culturel important et lieux de mémoire[7].
|
Wikipedia détail |
103.Sugimoto-dera |
Le Taizōzan Kannon'in Sugimoto-dera (大蔵山観音院杉本寺?) est un temple bouddhiste situé à Kamakura, préfecture de Kanagawa au Japon, un des plus anciens temples de Kamakura et avec le Hōkai-ji, le seul de la confession Tendai[1]. Le temple est le premier sur le circuit du pèlerinage Bandō Sanjūsankasho[1]. Deux des trois statues de la déesse Kannon qui y sont vénérées sont désignées bien culturel important[1]. Le Sugimoto-dera est surnommé Geba Kannon (« descente Kannon »), parce que les cavaliers ne manquaient jamais de descendre de leurs chevaux quand ils passaient devant[2]. (Selon une autre version de la légende, les non-croyants tombaient toujours de leur cheval en passant devant le temple)[3]. Le temple est un temple branche (寺末, matsuji?) du Hōkai-ji[4].
|
Wikipedia détail |
104.Chōju-ji (Kamakura) |
Le Hōkizan Chōju Zenji (宝亀山長寿禅寺?) est un temple bouddhiste Rinzai de l'école Kenchō-ji situé à Yamanouchi (autrement appelé Kita-Kamakura), près de Kamakura, préfecture de Kanagawa au Japon. Il se trouve entre deux sites de Kita-Kamakura, l'entrée du col de Kamegayatsu et le Kenchō-ji, plus ancien monastère zen du Japon. Le Chōju-ji est un des deux bodaiji (菩提寺?), c'est-à-dire temple funéraire, consacré à Ashikaga Takauji, fondateur de la dynastie des shoguns qui portent son nom. (L'autre est le Tōji-in de Kyoto). Le Chōju-ji a récemment ouvert pour la première fois ses portes au public.
|
Wikipedia détail |
105.Chōshō-ji |
Le Ishiizan Chōshō-ji (石井山長勝寺?) est un temple bouddhiste de la secte Nichiren Shū situé dans la ville de Kamakura au Japon[1]. C'est l'un d'un groupe de trois construits à proximité du site à Matsubagayatsu (« vallée d'aiguilles de pins » (松葉ヶ谷?)[2] où Nichiren, fondateur de la secte bouddhiste qui porte son nom, est censé avoir eu sa cabane. La première partie de son nom dérive du nom du fondateur (Ishii), la seconde est une lecture alternative des caractères pour Nagakatsu, prénom du fondateur[3].
|
Wikipedia détail |
106.Tōkei-ji |
Le Tōkei-ji (東慶寺) est un temple bouddhiste situé dans le quartier Yama-no-uchi (山ノ内) de Kamakura préfecture de Kanagawa au Japon, non loin de la gare de Kita-Kamakura.
Il appartient depuis l'ère Meiji à la branche Engaku-ji du Rinzai-shū. Jusqu'alors le Tōkei-ji est plus particulièrement connu comme monastère pour bhikkhuni (religieuses). En tant que Kakekomi-dera (駆け込み 寺), temple où les femmes pouvaient trouver refuge) ou Enkiri-dera (縁切り 寺), temple où les femmes pouvaient volontairement attendre l'issue d'un divorce - processus qui pouvait prendre deux ou trois ans, le monastère jouissait de la protection du Bakufu. À l'époque d'Edo, le domaine du temple bénéficie de l'extraterritorialité et n'est pas soumis à la juridiction du gouvernement local. Les hommes ne sont autorisés à pénétrer dans les locaux que pour l'occasion du O-Bon.
|
Wikipedia détail |
107.Hase-dera (Kamakura) |
Le Hase-dera (長谷寺?) est un temple bouddhiste de la secte Jōdo, situé sur les hauteurs de Kamakura. Il a été fondé en 736 par Fusasaki Fujiwara.
Selon la légende, le moine Tokudo Shonin a découvert en 721 un grand camphrier dans la forêt près du village de Hase. Il réalisa que le tronc était si grand qu'il permettait de sculpter deux statues de Kannon à huit têtes (déesse de la miséricorde). L'une d'entre elles a été intégrée au temple Hase-dera à Sakurai dans la préfecture de Nara. L'autre a été jetée à la mer, une prière faisant vœu que la statue réapparaisse pour sauver le peuple. Quinze années plus tard, en 736, la statue s'échoua sur la plage de Nagai, près de Kamakura. La statue fut conduite à Kamakura, où un temple fut construit pour l'honorer.
|
Wikipedia détail |
108.Hōkai-ji |
Le Kinryūzan Shakuman-in Endon Hōkai-ji (金龍山釈満院円頓宝戒寺?) est un temple bouddhiste situé à Kamakura, préfecture de Kanagawa au Japon. Souvent appelé Hagidera (萩寺?), ou « temple du buisson de trèfles », parce que ces fleurs sont nombreuses dans son jardin, son existence est directement liée à une célèbre tragédie qui se déroule le 4 juillet 1333 qui voit anéantie la quasi-totalité du clan Hôjô, souverain du Japon depuis 135 ans[1]. Le temple est fondé en fait expressément pour consacrer les âmes des membres (870 hommes, femmes et enfants) du clan qui, en conformité avec le code d'honneur des samouraïs, se suicident ce jour-là dans leur temple familial (bodaiji) du Tōshō-ji pour éviter la défaite[2],[3]. Avec l'ancien Sugimoto-dera, le Hōkai-ji est l'unique temple Tendai à Kamakura[4]. Anciennement temple branche (寺末, matsuji?) du grand Kan'ei-ji (un des deux temples de la famille Tokugawa), il devient une branche du Enryaku-ji après sa destruction[3].
|
Wikipedia détail |
109.Hōkoku-ji |
Le Hōkoku-ji (報国寺?) est un vieux temple de l'école Kenchō-ji du courant Rinzai du Bouddhisme Zen situé dans la ville de Kamakura au Japon. Célèbre pour son jardin de bambous, il est également connu comme « temple de bambou ».
Une statue de Gautama Buddha, appelé Shaka Nyorai en japonais, dans un bâtiment sacré est le principal objet de vénération du temple[1]. L'originale d'une statue de Sho Kan'non est exposée au musée des trésors nationaux de Kamakura[2]. Le temple est parfois appelé Takuma-dera d'après le nom du créateur d'une statue de Kashyap (en) détruite par un incendie en 1891 dans un bâtiment adjacent[2].
|
Wikipedia détail |
110.Myōhō–ji |
Le Ryōgonzan Renge-in Myōhō-ji (楞厳山蓮華院妙法寺?) est un temple bouddhiste de la secte Nichiren situé à Kamakura (Kanagawa), au Japon[1]. Il fait partie de l'une des trois fondations construites à proximité du site de Matsubagayatsu, ou vallée d'aiguilles de pins (松葉ヶ谷?)[2] où Nichiren, fondateur de la secte bouddhiste qui porte son nom, est censé avoir eu sa cabane.
|
Wikipedia détail |
111.Myōhon-ji |
Le Myōhon-ji (妙本寺?) est un des plus anciens temples du bouddhisme de Nichiren situé à Kamakura, dans la préfecture de Kanagawa. Son nom officiel est Chōkō-zan Myōhon-ji (長興山妙本寺?). « Choko » vient du nom posthume du père de Nichiren et « Myohon » de celui de sa mère.
|
Wikipedia détail |
112.Meigetsu-in |
Le Fugenzan Meigetsu-in (福源山明月院?) est un temple Rinzai du Bouddhisme Zen de l'école Kenchō-ji situé à Yamanouchi, préfecture de Kanagawa au Japon. Réputé pour ses hortensias, il est aussi connu comme le « temple des hydrangeas » (ajisai-dera). L'objet principal de culte est la déesse Shō Kannon (聖観音).
|
Wikipedia détail |
113.Tōshō-ji |
Le Tōshō-ji (東勝寺?) était le temple familial (bodaiji) du clan Hōjō à Kamakura durant l'époque de Kamakura[1]. Fondé par Taikō Gyōyū, il est construit en 1237 par Hōjō Yasutoki en mémoire de sa mère qui y est enterrée[2]. Selon le Taiheiki, de sa fondation jusqu'à la fin du shogunat Kamakura, chaque shikken (régent) y est enterré[2].
|
Wikipedia détail |
114.Ryūkō-ji (Fujisawa) |
Le Ryūkō-ji (龍口寺?) est un temple bouddhiste du Nichiren Shū[1] situé dans la ville de Fujisawa, préfecture de Kanagawa au Japon. Il est fondé en 1337 par Nippō, un disciple de Nichiren[2]. Il se trouve sur le site de l'ancien lieu d'exécution Tatsukuchi (ou Tatsunokuchi) et son nom utilise les deux mêmes kanji signifiant « gueule de dragon » (龍口 (?)). Le temple est le lieu où Nichiren, fondateur de la secte Bouddhiste à laquelle il a donné son nom, aurait été exécuté.
|
Wikipedia détail |
115.Sōji-ji |
Sōji-ji (總持寺?) est l'un des deux temples principaux de l'école Sōtō du bouddhisme zen au Japon[1]. Il se trouve dans le quartier de Tsurumi-ku de la ville de Yokohama (préfecture de Kanagawa). L'autre temple important de cette école est Eihei-ji.
|
Wikipedia détail |
131.Pèlerinage de Kansai Kannon |
Le pèlerinage Kansai Kannon (西国三十三所, Saigoku Sanjūsan-sho?) est un pèlerinage de trente-trois temples bouddhistes dans la région du Kansai au Japon, semblable au pèlerinage de Shikoku. Outre les trente-trois temples officiels, il existe trois temples supplémentaires appelés bangai (番外?). L'image principale dans chaque temple est Kannon, connue des Occidentaux comme la déesse de la miséricorde. Il y a cependant une certaine variation entre les images et les pouvoirs qu'elle possède.
|
Wikipedia détail |
132.Cent Kannon de Tōkai |
Les cent Kannon de Tōkai (東海百観音, Tōkai Hyaku Kannon?) constituent un ensemble de temples bouddhistes de la région de Tōkai au centre du Honshū au Japon.
Les cent Kannon de Tōkai sont la somme des trente-trois Kannon de Mino dans la préfecture de Gifu[1], des trente-trois Kannon d'Owari dans l'ouest de la préfecture d'Aichi, des trente-trois Kannon de Mikawa dans l'est de la préfecture d'Aichi et du Toyokawa Inari[2]. Certains pratiquants entreprennent le pèlerinage pour visiter ces temples dans un ordre spécifique.
|
Wikipedia détail |
133.Trente-trois Kannon de Mino |
Les trente-trois Kannon de Mino (美濃三十三観音, Mino Sanjūsan Kannon?) sont une succession de temples bouddhistes au sud de la préfecture de Gifu au Japon[1]. Le nom provient de celui de la province de Mino, l'ancien nom de la région. La liste est créée à l'origine au milieu de l'époque d'Edo[1].
|
Wikipedia détail |
134.Eihō-ji |
Eihō-ji (永保寺?) est un temple bouddhiste zen de l'école Rinzai situé au nord de Tajimi, préfecture de Gifu au Japon.
Eihō-ji est fondé en 1313 par la branche Nanzen-ji du bouddhisme zen Rinzai. Les jardins du temple hébergent un certain nombre de stagiaires de zazen et le temple organise régulièrement des séances de zazen ouvertes au grand public. Outre les bâtiments répertoriés comme trésors nationaux du Japon, le site comprend un étang, un pont, une chute d'eau et un jardin zen traditionnel.
|
Wikipedia détail |
135.Ōsu Kannon |
Le Ōsu Kannon (大須観音?) est un temple du courant Shingon situé dans le quartier d'Ōsu à Nagoya au Japon. Il fait partie de la route des trente-trois Kannon d'Owari dont il est d'ailleurs la première étape.
|
Wikipedia détail |
136.Kōshō-ji (Nagoya) |
Le Kōshō-ji (興正寺) est un temple Shingon situé à Yagoto, Nagoya, au centre du Japon. Il fait partie de la route du pèlerinage des trente-trois Kannon d'Owari dont il est d'ailleurs la dernière étape.
Le temple est fondé par le clan Tokugawa au XVIIe siècle. Le temple et le terrain de son cimetière attenant sont situés dans la forêt sur la colline de Yagoto. Le complexe se compose d'un certain nombre de bâtiments en bois, dont une pagode à quatre étages achevée en 1808.
|
Wikipedia détail |
137.Toyokawa Inari |
Le Toyokawa Inari (豊川稲荷?) est le nom populaire d'un temple bouddhiste de la secte Sōtō situé dans la ville de Toyokawa dans l'ouest de la préfecture d'Aichi au Japon. Le nom véritable du temple est 妙厳寺 (Myogon-ji?), et son nom complet Enbukuzan Toyokawa-kaku, Myogon-ji (円福山 豊川閣 妙厳寺?). En dépit du torii à l'entrée, et de l'identification populaire de sa principale image de vénération (un Juichimen Kannon) avec Inari Ōkami, le kami de la fertilité, du riz, de l'agriculture, de l'industrie et de la réussite matérielle, l'institution est un temple bouddhiste et n'a aucun lien explicite avec la religion shintoïste.
|
Wikipedia détail |
138.Kasadera Kannon |
Le Kasadera Kannon, aussi connu sous le nom Ryūfuku-ji (笠覆寺) est un temple bouddhiste situé dans l'arrondissement de Minami, à Nagoya au Japon.
C'est le troisième du pèlerinage des trente-trois Kannon d'Owari.
Le temple est fondé par la secte Shingon. Le Kasadera Kannon dispose d'une porte à niō, d'un certain nombre de petits temples subsidiaires et d'une pagode à un étage. Le temple organise le festival de printemps le 3 février de chaque année et un marché aux puces le 18 de chaque mois.
|
Wikipedia détail |
139.Enryaku-ji |
L'Enryaku-ji (延暦寺?) est un monastère bouddhiste situé sur le mont Hiei surplombant Kyoto, qui a été fondé entre la fin du VIIIe siècle et le début du IXe siècle par Saichō (762-822), aussi connu sous le nom de Dengyō Daishi, qui a introduit au Japon le bouddhisme Tendai, d'origine chinoise. Il est également appelé, avec le Kōfuku-ji (興福寺?), Nanto-Hokurei (南都北嶺?), terme désignant les deux temples les plus puissants pendant l'ère Heian : le Kōfuku-ji à Nara (南都, Nanto?) et l'Enryaku-ji sur le mont Hiei, au nord (北嶺, Hokurei?). C'est l'un des temples les plus importants de l'histoire du Japon qui a servi (et sert encore) de quartier général au bouddhisme Tendai. Cette école bouddhiste, très influente auprès de l'aristocratie de l'époque, a engendré un nombre important de courants plus récents comme celui de la Terre pure, le zen et le bouddhisme de Nichiren.
|
Wikipedia détail |
140.Gokokushi-ji |
Le Gokokushi-ji (護国之寺?) est un temple bouddhiste de l'école Shingon situé à Gifu, préfecture de Gifu au Japon. C'est le 17e des trente-trois Kannon de Mino[1].
Le temple est fondé en 746, sur ordre de l'empereur Shōmu. Le temple original a été détruit en 1590 par un grand incendie, mais est reconstruit au cours des ères Genbun et Hōreki de l'époque d'Edo. Le temple reconstruit existe encore aujourd'hui.
|
Wikipedia détail |
141.Jōzai-ji (Gifu) |
Jōzai-ji (常在寺?) est un temple bouddhiste de la secte Nichiren situé dans la ville de Gifu, préfecture de Gifu au Japon. Son nom officiel est Shūrinzan Jōzai-ji (鷲林山常在寺). À partir de Saitō Dōsan, Jōzai-ji sert de temple familial à la famille Saitō pendant trois générations, dont son fils, Saitō Yoshitatsu, et son petit-fils, Saitō Tokugen. Le temple est classé bien culturel important, car il abrite des images de Dōsan et Yoshitatsu.
|
Wikipedia détail |
142.Shōhō-ji (Gifu) |
Le Shōhō-ji (正法寺?) est un temple de l'école Ōbaku du bouddhisme, situé à Gifu, préfecture de Gifu au Japon[1]. C'est un temple branche du Mampuku-ji à Uji, préfecture de Kyoto. Le temple comporte de nombreux aspects de l'école Ōbaku, mais son style de construction et les sacrements sont du style du Bouddhisme chinois. Il est par ailleurs beaucoup plus grand que le temple japonais moyen. Le nom officiel du temple est Kinpōzan Shōhō-ji (金鳳山正法寺)[2].
|
Wikipedia détail |
143.Zuiryū-ji (Gifu) |
Le Zuiryū-ji (瑞龍寺?) est un temple bouddhiste de l'école Rinzai fondé en 1468 dans la province de Mino (actuelle Gifu, préfecture de Gifu) au Japon. C'est un temple de la branche du Myōshin-ji à Kyoto.
Il y a six temples après la porte principale : trois sont situés sur la gauche du chemin principal et trois sont sur la droite. Les tombes de Saitō Myōchin et Toki Shigeyori sont situées dans l'enceinte.
|
Wikipedia détail |
144.Zenkō-ji (Gifu) |
Le Zenkō-ji (善光寺?) est un temple bouddhiste de l'école Shingon de la province de Mino (de nos jours Gifu, préfecture de Gifu au Japon. C'est une branche du Daigo-ji à Kyoto. Il est également appelé le Gifu Zenkō-ji (岐阜善光寺) et le Inaba Zenkō-ji (伊奈波善光寺). La date de construction du temple est inconnue, mais se situe entre 1592 et 1600 lorsqu'Oda Nobunaga réside au château de Gifu voisin. Il reçoit le nom Zenkō-ji Anjō-in (善光寺安乗院) au début de l'époque d'Edo parce que les deux temples sont alors fusionnés.
|
Wikipedia détail |
145.Sōfuku-ji (Gifu) |
Le Sōfuku-ji (崇福寺?) est un temple bouddhiste situé à Gifu, préfecture de Gifu au Japon. Le temple est fortement associé à Saitō Dōsan et Oda Nobunaga[1]. Le Sōfuku-ji de Gifu est célèbre dans tout le Japon à la fois pour le nombre de moines qu'il produit et pour son « plafond de sang[2] ». Peu après sa fondation, il est aussi appelé Kōsai-ji (弘済寺), mais ce nom est tombé en désuétude[3]. C'est le quatorzième des trente-trois Kannon de Mino.
|
Wikipedia détail |
146.Dairyū-ji (Gifu) |
Le Dairyū-ji (大龍寺?) est un temple bouddhiste de l'école Rinzai situé à Gifu, préfecture de Gifu au Japon. C'est le 14e des trente-trois Kannon de Mino[1]. Il se trouve près de la zone Takatomi-chō de Yamagata (Gifu) aussi est-il parfois mentionné comme le Takatomi Dairyū-ji (高富大龍寺). En outre, il organise un festival annuel au cours duquel des daruma sont brûlés, ce qui lui vaut un autre surnom, Daruma Kannon (だるま観音)[2].
|
Wikipedia détail |
147.Hokke-ji (Gifu) |
Le Hokke-ji (法華寺?) est un temple bouddhiste de l'école Shingon situé à Gifu, préfecture de Gifu au Japon. Bien que son nom officiel est Hokke-ji, il est plus connu par son nom officieux,Mitahora Kōbō (三田洞弘法).
Installé sur les contreforts du mont Dodo, plus haute montagne de la ville de Gifu, c'est le 15e des trente-trois Kannon de Mino[1].
|
Wikipedia détail |
148.Mie-ji |
Le Mie-ji (美江寺?) est un temple bouddhiste de l'école Tendai fondé en 717, situé à Gifu, préfecture de Gifu au Japon. Il est aussi appelé Mie-ji Kannon (美江寺観音). C'est le 18e des trente-trois Kannon de Mino. Le temple abrite le Kanshitsu Kannon, qui est un bien culturel important.
|
Wikipedia détail |
188.Kōzan-ji |
Le Kōzan-ji (高山寺?, « Temple de haute montagne »), ou Toganoo-san Kōsan-ji (栂尾山高山寺?), est un temple bouddhiste Omuro à Ume-ga-hata Toganoo-chō, dans l'arrondissement de Ukyō, à Kyoto au Japon. Le temple, fondé par le célèbre moine Myōe est renommé pour ses nombreux trésors nationaux et ses biens culturels importants, en particulier le fameux rouleau peint appelé Chōjū-giga. Le temple célèbre Biyakkōshin, Zenmyōshin et Kasuga Myojin, ainsi que sa divinité tutélaire shintoïste. En 1994, il est inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO au titre de « monuments historiques de l'ancienne Kyoto ».
|
Wikipedia détail |
189.Kōryū-ji |
Le Kōryū-ji (広隆寺?) est un temple shingon situé à Uzumasa, arrondissement d'Ukyō de la ville de Kyoto au Japon, aussi connu sous les noms Uzumasa-dera (太秦寺?)[1] et Kadono-dera (葛野寺?), anciennement appelé Hatanokimi-dera (秦公寺?), Hachioka-dera (蜂岡寺?) et Hōkō-ji (蜂岡寺?).
Kōryū-ji a été construit en 603 par Hata no Kawakatsu après avoir reçu une statue bouddhiste de la part du prince Shōtoku, ce qui en ferait le plus ancien temple de Kyoto. Des incendies en 818 et 1150 ont entièrement détruit le complexe du temple qui a été reconstruit plusieurs fois depuis[2].
|
Wikipedia détail |
190.Shunkō-in |
Le Shunkō-in (春光院) est un temple bouddhiste Zen situé à Kyoto (Japon) qui appartient à l'école Myōshin-ji (« temple de l'esprit excellent »), qui est la plus importante des 14 écoles japonaises Rinzai du Bouddhisme Zen. Le temple est fondé en 1590 par Horio Yoshiharu, seigneur féodal, (daimyo), du domaine de Matsue dans l'actuelle préfecture de Shimane. Ce temple abrite d'importants objets historiques qui reflètent l'atmosphère religieuse et artistique multiforme au Japon à partir du XVIe siècle.
|
Wikipedia détail |
191.Jingo-ji |
Le Jingo-ji (神護寺?) est un temple bouddhiste de Kyoto situé sur le mont Takao, au nord-ouest du centre de la ville. Le temple est de confession bouddhiste shingon. Son honzon est une statue de Yakushi Nyorai, le Bouddha de la guérison ou « Bouddha médecin ».
|
Wikipedia détail |
192.Seiryō-ji |
Le Seiryō-ji (清凉寺?) est un temple bouddhiste situé à Saga dans l'arrondissement d'Ukyō-ku de Kyoto au Japon, aussi connu sous le nom Saga Shaka-dō. Le temple est consacré à la pratique du Yūzū nembutsu shū. Le temple appartient d'abord à la secte Kegon puis devient un temple de l'école bouddhique de la Terre pure. Le honzon est une image de Gautama Buddha (Shaka-nyorai). La statue en bois est désignée Trésor national du Japon. Seiryō-ji possède également des statues (Trésor national) de la trinité (Amida) Amitābha, ainsi que d'autres Trésors nationaux et des Biens culturels importants[1],[2].
|
Wikipedia détail |
193.Daikaku-ji |
Le Daikaku-ji (大覚寺, Daikaku-ji?) est un temple bouddhique Shingon situé dans l'arrondissement Ukyō-ku dans la banlieue ouest de Kyoto au Japon. Les principales images sont celles des cinq rois du savoir, centrées sur Fudō. C'est d'abord une villa de l'empereur Saga (785-842) d'où plus tard l'empereur retiré Go-Uda dirige son gouvernement cloîtré. Une école d'ikebana, le Saga-goryū, est installée dans le temple. Le lac artificiel du temple, l'étang d'Osawa, est un des plus anciens étangs de jardin japonais de l'époque de Heian encore existants[1].
|
Wikipedia détail |
194.Taizō-in |
Le Taizō-in (退蔵院?) est le plus ancien sous-temple (tatchū (塔頭?) du temple bouddhiste Zen Rinzai Myōshin-ji, situé au nord-ouest de Kyoto au Japon. Il est fondé par le prêtre Zen Muinsoin en 1404. Les bâtiments originaux du temple sont incendiés durant la guerre d'Ōnin (1467-1477) puis reconstruits ultérieurement.
|
Wikipedia détail |
195.Danrin-ji |
Le Danrin-ji (檀林寺?) est le premier temple zen du Japon, fondé à Saga, Kyōto, sur ordre de Tachibana no Kachiko durant l'ère Jōwa de l'époque de Heian. Le temple est détruit par un incendie en 928 puis restauré et à l'époque de Muromachi désigné comme un des cinq grands couvents bouddhistes de Kyōto. Avec le temps le temple tombe en ruines et sur son emplacement commence la construction du Tenryū-ji en 1339.
|
Wikipedia détail |
196.Tsukinowa-dera |
Tsukinowa-dera ou Gatsurin-ji (月輪寺?) est un temple bouddhiste situé près du mont Atago dans l'arrondissement d'Ukyō-ku à Kyoto au Japon. Le temple, fondé en 781, est associé aux pratiques Shugendō de Kūya et Hōnen. Ses trésors comprennent huit statues de l'époque de Heian. Les images d(Amida Nyorai et Kūya chantant le nembutsu font partie des biens culturels importants du Japon[1],[2].
|
Wikipedia détail |
197.Tenryū-ji |
Le Tenryū-ji (天龍寺?) est un temple bouddhiste zen relevant de l'école Rinzai. Fondé en 1345 par le shogun Takauji Ashikaga (足利 尊氏, 1305-1358) et le moine Musō Soseki (夢窓疎石, 1275-1351), c'est le temple principal de la branche Rinzai Tenryū-ji et le premier des gozan (五山?, cinq grands temples) de Kyōto).
|
Wikipedia détail |
198.Tōrin-in |
Le Tōrin-in (東林院, Tōrin-in?, « cloître des bois de l'est ») est un sous-temple du complexe de temple Myōshin-ji à Kyoto au Japon. En tant que tel, il est affilié à l'école Myōshin-ji du Bouddhisme Zen japonais Rinzai.
|
Wikipedia détail |
199.Nison-in |
Le Nison-in (二尊院?) est un complexe de temple bouddhiste Tendai situé dans l'arrondissement Ukyō-ku, quartier occidental de Kyoto au Japon. Le nom officiel du temple est Ogura-yama Nison-kyō-in Keidai-ji (小倉山 二尊教院 華台寺, Ogura-yama Nison-kyō-in Keidai-ji?)[1]. Le temple est une destination populaire pendant la saison d'observation érable japonais (la saison momiji)[2].
|
Wikipedia détail |
200.Ninna-ji |
Le Ninna-ji est un temple bouddhiste japonais de la secte shingon, fondé en 888 par l'empereur Uda et faisant partie des monuments historiques de l'ancienne Kyōto inscrits au patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 1994.
À la fin de son règne, l'empereur Uda devint prêtre et se retira au temple de Ninna-ji qui était également appelé « ancien palais impérial d'Omuro ». De 888 à 1869, il était de coutume que les empereurs régnants y envoient un de leurs fils pour occuper la fonction de grand prêtre.
|
Wikipedia détail |
201.Myōshin-ji |
Le Myōshin-ji (妙心寺?) est un temple situé à Kyōto au Japon. L'école Myōshin-ji du bouddhisme zen Rinzai est la plus grande école de Rinzai. Cette école dispose de plus de 3 000 temples à travers tout le Japon ainsi que de dix-neuf monastères.
Le premier temple fut fondé en 1342 par le maître Kanzan-Egen Zenji (1277-1360). La plupart des temples furent détruits pendant la guerre d'Ōnin en 1467 mais beaucoup ont été reconstruits depuis.
|
Wikipedia détail |
202.Ryōan-ji |
Ryōan-ji (竜安寺 / 龍安寺[1]?, littéralement « Temple du repos du dragon ») est un temple zen situé dans le nord-ouest de Kyōto, construit au xvie siècle, à l'époque de Muromachi. Il fait partie du Patrimoine mondial de l'UNESCO, étant l'un des monuments historiques de l'ancienne Kyoto. Le temple appartient à l'école Myōshin-ji de la branche rinzai du bouddhisme zen. Le site du temple appartenait à l’origine au clan Fujiwara.
|
Wikipedia détail |
203.Shōkoku-ji |
Le Shōkoku-ji (相国寺, Shōkoku-ji?) est un temple bouddhiste zen relevant de l'école Rinzai fondé à Kyoto en 1382 par le shogun Yoshimitsu Ashikaga et le moine Musō Soseki. C'est le deuxième des gozan (五山, cinq grands temples) de Kyoto. Le temple est le chef de file de l'une des quatorze branches autonomes de cette école.
|
Wikipedia détail |
204.Daihōon-ji |
Le Daihōon-ji (大報恩寺 (?)) est un temple bouddhiste situé dans l'arrondissement Kamigyō-ku, à Kyoto, au Japon. Il est affilié au bouddhisme Shingon-shū Chizan-ha. Son batiment principal (本堂 (hondō?)), appelé Senbon Shakadō (千本釈迦堂?), est un trésor national du Japon.
|
Wikipedia détail |
205.Honzen-ji |
Le Honzenji (本禅寺) est un temple bouddhiste à Kyoto.
|
Wikipedia détail |
206.Hōjō-ji |
Le Hōjō-ji (法成寺) était un temple bouddhiste de Kyōto qui fut à une époque l'un des principaux temples du bouddhisme japonais.
Le temple fut construit aux environs de 1017 par Fujiwara no Michinaga. La consécration de sa Salle d'Or en 1022 est détaillée dans l'épopée historique appelée Eiga Monogatari (栄花物語). L'empereur Go-Ichijō lui-même dirigeant la cérémonie, tous les efforts furent faits pour qu'elle fût aussi luxueuse et parfaite que possible.
|
Wikipedia détail |
207.Ōbai-in |
L’Ōbai-in (黄梅院?) est un sous-temple du Daitoku-ji à Kyoto au Japon. Le hon-dō (1586) et le kuri (1589) sont désignés « biens culturels importants »[1],[2]. Les peintures monochrome fusuma de l'époque Azuchi Momoyama Sept ermites dans un bosquet de bambous (16 panneaux), Paysage avec personnages (14 panneaux) et Oies (14 panneaux), par Unkoku Tōgan (1588), sont également désignés « biens culturels importants »[3],[4],[5],[6]. La tête décapitée de la statue de Sen no Rikyū, à la position considérée comme arrogante par Toyotomi Hideyoshi, était autrefois conservée à l'Obai-in[7].
|
Wikipedia détail |
208.Kōtō-in |
Le Kōtō-in (高桐院?) est un sous-temple du Daitoku-ji fondé par Hosokawa Tadaoki, situé à Kyoto au Japon. Il y a une salle de thé, le Shōkō-ken et les jardins sont réputés pour leur momiji[1]. Une paire de rouleaux suspendus monochromes de la dynastie Song du sud avec paysage est désignée Trésor national du Japon[2]. De nombreuses œuvres sont exposées tous les ans au mois d'octobre[3].
|
Wikipedia détail |
209.Jukō-in |
Le Jukō-in (聚光院?) est un temple mineur du Daitoku-ji, à Kyoto au Japon. Fondé en 1566 comme temple mortuaire pour Miyoshi Nagayoshi, Sen no Rikyū le destine en 1589 à être le temple mortuaire de sa famille[1]. Le « Hondō » (bâtiment principal) (1583) et le chashitsu (1739) sont des biens culturels importants du Japon et les jardins ont été désignés « paysages pittoresques »[2],[3],[4]. Une peinture de Miyoshi Nagayoshi (1566) est aussi répertoriée comme bien culturel important[5].
|
Wikipedia détail |
210.Sōken-in |
Le Sōken-in (総見院?) est un sous-temple du Daitoku-ji à Kyoto au Japon. Il est fondé par Toyotomi Hideyoshi en 1582 comme temple funéraire d'Oda Nobunaga. Hideyoshi accorde trois cents koku au temple et organise son célèbre rassemblement de thé au Daitoku-ji dans son parc en 1585. Au cours des premières années de l'ère Meiji son enceinte est démolie et ses trésors déplacés; Le Sōken-in est restauré en 1926[1]. La statue en bois d'Oda Nobunaga assis datant de 1583, laquée, avec yeux incrustés et une inscription sur la base, bien culturel important , est restituée en 1961[1],[2]. Les funérailles de Nobunaga et la fondation du sous-temple par Hideyoshi « avec le meilleur bois disponible, une chose remarquable à voir », sont rapportées par le missionnaire portugais Luís Fróis dans son História de Japam contemporain[3].
|
Wikipedia détail |
211.Daisen-in |
Daisen-in (en japonais, 大仙院, « l'école du grand ermite ») est un temple bouddhiste zen situé dans le nord de Kyōto. Le temple fait partie d'un ensemble de temples plus vaste dont il est un temple secondaire : le Daitoku-ji, classé trésor national du Japon.
|
Wikipedia détail |
212.Daitoku-ji |
Le Daitoku-ji (大徳寺?, littéralement « temple de la grande vertu ») est un temple bouddhiste relevant de l'école zen rinzai, situé dans le nord de Kyoto au Japon[1]. Il est constitué d'un complexe de plusieurs temples secondaires et porte également le nom de la montagne Ryuhozan (龍宝山?, littéralement « la montagne du trésor du dragon »).
|
Wikipedia détail |
213.Tōji-in |
Le Tōji-in (等持院?) est un temple bouddhiste de la secte Tenryū du Bouddhisme Rinzai situé dans l'arrondissement de Kita-ku à Kyoto au Japon, et un des deux temples funéraires (bodaiji) dédiés à Ashikaga Takauji, premier shogun de la dynastie Ashikaga. Son principal objet de vénération est Shakyamuni[1], et son suffixe honorifique sangō est Mannenzan (萬年山?).
|
Wikipedia détail |
214.Ryōgen-in |
Le Ryōgen-in (龍源院) est un sous-temple du complexe bouddhiste Daitoku-ji situé dans l'arrondissement de Kita-ku de Kyoto au Japon. Sa construction remonte à 1502.
Cinq jardins attribués à Sōami jouxtent la résidence de l'abbé, dont le Totekiko (présenté comme le plus petit jardin sec japonais), l'Isshi-dan, le Koda-tei et le Ryogin-tei (jardin recouvert de mousse, prétendument le plus ancien jardin de Daitoku-ji).
|
Wikipedia détail |
215.Kinkaku-ji |
Le Kinkaku-ji (金閣寺?, litt. « temple du Pavillon d'or ») est le nom usuel du Rokuon-ji (鹿苑寺?, litt. « temple impérial du jardin des cerfs ») situé à Kyōto au Japon.
|
Wikipedia détail |
216.Enkō-ji |
Le Enkō-ji (円光寺?) est un temple bouddhiste Zen situé près de la Villa impériale Shugakuin à Sakyō-ku, Ichijo-ji, Kotani-cho, au nord-est de Kyoto au Japon. Il est renommé pour son changement de couleur des feuilles et son suikinkutsu.
Liste de temples bouddhistes à Kyoto
|
Wikipedia détail |
217.Kurama-dera |
Le Kurama-dera (鞍馬寺?) est un temple bouddhiste situé à l'extrême nord de Kyoto au Japon qui abrite quelques trésors nationaux. Il est membre de la secte Tendai et subordonné au Shōren-in depuis le XIIe siècle jusqu'en 1949 quand il fonde sa propre entité religieuse. L'objet de culte est ésotérique et unique au temple. Il passe pour avoir été fondé par un disciple de Jianzhen.
|
Wikipedia détail |
218.Konpuku-ji |
Le Konpuku-ji (金福寺?) est un temple bouddhiste zen situé dans le quartier Sakyō-ku à Kyoto au Japon.
En 864, en accord avec le dernier souhait d'Ennin, le prêtre bouddhiste An'e construit ce temple et y installe une statue de Kannon faite par Ennin lui-même[1]. Au début, le Konpuku-ji appartient à la secte Tendai mais finalement il tombe en ruine. Durant l'ère Genroku (1688-1704), le temple est restauré par Tesshu du Enkō-ji voisin dont il devient une branche. Il passe alors à la secte Rinzai.
|
Wikipedia détail |
219.Sanzen-in |
Le Sanzen-in (三千院?), aussi appelé Ōjō Gokuraku-in, est un temple bouddhiste de l'école Tendai monzeki situé à Ōhara, Kyoto au Japon. La triade d'Amida Nyorai flanquée de serviteurs datant de l'époque de Heian est un trésor national[1],[2].
Page d'accueil de Sanzen-in homepage
|
Wikipedia détail |
220.Ginkaku-ji |
Le Ginkaku-ji (銀閣寺?, le « temple du Pavillon d'argent ») est un temple bouddhiste situé dans l'arrondissement Sakyō-ku à Kyōto au Japon, et datant de la fin du XVe siècle.
|
Wikipedia détail |
221.Shisen-dō |
Shisen-dō est un temple bouddhiste de l'école Sōtō du zen. Il se trouve dans le quartier de Sakyō-ku de la ville japonaise de Kyoto. Ce temple a été fondé en 1641 par Ishikawa Józan (1583-1672).
|
Wikipedia détail |
222.Shōgo-in |
Le Shōgo-in (聖護院?) est un temple bouddhique japonais de Kyoto, affilié à l’école tendai et centre de la branche Honzan du Shugendō. Fondé au IXe siècle mais prenant son emplacement et sa fonction définitive en 1090, il s’agit d’un temple impérial (monzeki).
|
Wikipedia détail |
223.Shinshōgokuraku-ji |
Le Shinshōgokuraku-ji (真正極楽寺?) ou Shinnyo-dō (真如堂?) est un temple bouddhiste de l'école Tendai situé à Kyoto. Il est fondé en 984 par le kaisan Shonin.
|
Wikipedia détail |
224.Eikan-dō Zenrin-ji |
Le Eikan-dō Zenrin-ji (永観堂禅林寺?) est le premier temple de la branche Seizan de la secte japonaise bouddhiste Jōdo-shū (Terre pure), situé dans l'arrondissement de Sakyō-ku à Kyoto. Fondé par Shinshō, élève de Kūkai, il est renommé pour son changement de couleur des feuilles en automne et sa prééminence passée comme centre d'enseignement.
|
Wikipedia détail |
225.Nanzen-ji |
Le Nanzen-ji (南禅寺) est un temple du bouddhisme zen situé à Kyōto au Japon. Il a été fondé en 1291 par l'empereur japonais Kameyama. Le Nanzen-ji est l'un des cinq grands temples zen de Kyōto. C'est aussi le quartier général de la branche Nanzen-ji, une des quatorze branches que compte l'école Rinzai [1].
|
Wikipedia détail |
226.Manshu-in |
Le Manshu-in (曼殊院?), aussi appelé le Manshuin Monzeki, est un temple tendai situé près de la villa impériale Shugakuin à Sakyō-ku, Ichijo-ji, Takenouchi-cho, au nord-est de Kyoto au Japon.
|
Wikipedia détail |
227.Hosshō-ji |
Le Hosshō-ji (法勝寺?) est un temple bouddhiste situé au nord-est de Kyoto au Japon, doté par l'empereur Shirakawa en accomplissement d'un vœu sacré[1]. Le complexe du temple est situé à l'est de la rivière Kamo dans le district Shirakawa et sa principale caractéristique architecturale est une pagode octogonale à huit étages[2].
|
Wikipedia détail |
228.Rokushō-ji |
Les Rokushō-ji (六勝寺, Rokushō-ji?) est un nom collectif pour six temples bouddhistes associés situés dans le nord-est de Kyoto au Japon[1].
Ces six temples construits et dotés indépendamment les uns des autres en sont venus à être connus collectivement comme les « six temples victorieux »[2], comprenant des monastères qui bénéficient chacun d'un extraordinaire patronage impérial depuis leur création. Ils sont parfois considérés comme les « temples superlatifs » ou les « temples shō » en raison de la syllabe du milieu du nom de temple[3]
|
Wikipedia détail |
229.Nishi-Hongan-ji |
Le Nishi-Hongan-ji (西本願寺, Nishi-Hongan-ji?) ou « temple du vœu originel de l'ouest », est l'un des temples de l'école Jōdo shinshū à Kyōto.
|
Wikipedia détail |
230.Higashi Hongan-ji |
L'Higashi Hongan-ji (東本願寺, Higashi Hongan-ji?), ou « temple oriental du vœu originel », est l'un des deux temples dominants de la secte Jōdo shinshū au Japon (dans l'arrondissement de Shimogyō-ku, à Kyoto) et à l'étranger, l'autre étant le Nishi-Hongan-ji (ou « temple occidental du vœu originel »). C'est aussi le nom du temple premier à Kyoto, ensemble de bâtiments construits en 1895 après qu'un incendie a brûlé le temple précédent[1]. Ce serait la plus grande construction en bois au monde.
|
Wikipedia détail |
231.Bukkō-ji |
Le Bukkō-ji (佛光寺, Bukkō-ji?), aussi connu comme le « temple de la Lumière du Bouddha » - et d'abord appelé Kosho-ji - est un temple Jōdo Shinshū situé dans l'arrondissement Yamashina-ku à Kyoto, plus tard déplacé au cœur de Kyoto. Le temple est fondé et officiellement inauguré par Ryōgen en 1324. Le nom « Kosho-ji » est donné à Ryōgen pour le temple par Kakunyo, premier prêtre en chef du Hongan-ji. Alors que le Bukkō-ji est techniquement une branche Jōdo Shinshū indépendante, il a des liens étroits avec la lignée Hongan-ji depuis l'époque de Rennyo.
|
Wikipedia détail |
232.Ikenobō |
L'école Ikenobō (池坊?) est la plus ancienne et la plus importante école de l'art floral japonais, l'ikebana.
Elle a été fondée au XVe siècle par le moine bouddhiste Senno. L'école est basée au temple Rokkaku-dō à Kyoto[1]. Le nom proviendrait d'un étang (ike) où le prince Shōtoku (聖徳太子) se serait baigné.
|
Wikipedia détail |
233.Shinsen-en |
Le Shinsen-en est un jardin japonais situé à Kyoto.
Datant du début de la période Heian, il s'agit du plus ancien jardin de Kyoto. Son nom, « jardin de la source divine », est lié au principal des miracles dont la tradition, en fait l'emplacement : en 824, après une longue sécheresse, le moine Kūkai aurait, par ses prières, fait tomber la pluie et apparaître le dieu dragon Zennyo. Cette anecdote, ainsi que plusieurs autres, relatées dans le Taiheiki et le Konjaku monogatari shū, témoignent du caractère magique que l'histoire du Japon attache à ce lieu [1],[2].
|
Wikipedia détail |
234.Honnō-ji |
Le Honnō-ji (本能寺?) est un temple bouddhiste de la secte Nichiren situé à Kyoto au Japon. Son honzon est le mandara-honzon (曼荼羅本尊) du daimoku.
|
Wikipedia détail |
235.Saihō-ji |
Le Saihō-ji (西芳寺?, « le temple des fragrances de l'ouest ») est un temple bouddhiste zen situé dans la banlieue ouest de Kyoto. Le temple est surtout connu sous le nom de Kokedera (苔寺?, « temple des mousses »), à cause des 120 espèces de mousses qu'il abrite. Le temple, appartenant au courant Rinzai du bouddhisme, est dédié au bouddha Amitabha. Le temple est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en tant qu'héritage culturel faisant partie des temples de Kyoto.
|
Wikipedia détail |
236.Hōrin-ji (Kyoto) |
Le Hōrin-ji (法輪寺?) est un temple bouddhiste shingon situé à Arashiyama, dans la préfecture de Kyoto au Japon. Le préfixe honoraire « sangō » est Chifuku-san (智福山?). Le temple aurait été construit par Gyōki en 713 AD et s'appelait à l'origine « Kadonoi-dera » (葛井寺?). Il est consacré à Akasagarbha.
|
Wikipedia détail |
237.Yoshimine-dera |
Fondé en 1029 par le prêtre bouddhiste Gensan[1], le Yoshimine-dera (善峯寺?) est un temple bouddhiste de l'école tendai situé dans l'arrondissement occidental de Nishikyō-ku à Kyoto[2]. Il est construit sur les collines de l'ouest (Nishiyama) donnant sur la ville.
La principale image de dévotion est une statue de Kannon aux milles bras[3]. Ses caractéristiques notables comprennent le pin appelé « dragon glissant » (Yōryu no matsu, monument naturel), contraint pour croître horizontalement et qui autrefois atteignait plus de 50 mètres de long[4],[5] et un tahōtō, pagode à un étage désignée bien culturel important[3].
|
Wikipedia détail |
238.Unryū-in |
Le Unryū-in (雲竜院?) est un sous-temple du Sennyū-ji de Kyoto. Fondé en 1372, il est reconstruit après les destructions dues à la guerre d'Ōnin[1]. Le hon-dō de 1646 (13,8 m x 12,9 m, de style irimoya-zukuri, avec toit à bardeaux, est un bien culturel important[2]. Le hōjō c'est-à-dire le quartier d'habitation de l'abbé date également de l'époque d'Edo[2]. Une copie du Sūtra du Lotus de l'époque de Kamakura est désignée « Bien culturel important »[3].
|
Wikipedia détail |
239.Kennin-ji |
Le Kennin-ji (建仁寺?), ou Zuiryusan Kennin-ji (禅居庵 建仁寺?), est un temple bouddhiste zen d'obédience de l'école Rinzai situé dans l'arrondissement de Higashiyama-ku à Kyoto, au Japon, dans le district de Gion. On le connaît aussi sous le nom de Marishiten-dō (摩利支天堂?). Il fut fondé en 1202 par Eisai. C'est le temple principal de l'école zen Rinzai et le plus ancien du Japon où la doctrine zen fut enseignée la première fois.
|
Wikipedia détail |
240.Kōdai-ji |
Le Kōdai-ji (高台寺?), au nom officiel de Jubuzan Kōdai-ji (鷲峰山高台寺, Jubuzan Kōdai-ji?), est un temple de l'école Rinzai du bouddhisme zen, situé dans l'arrondissement de Higashiyama-ku à Kyoto, au Japon, plus grand sous-temple de la branche Kennin-ji. Il est fondé en 1606 par Nene (souvent connu par le titre Kita no mandokoro et qui a pris le nom de Kōdai-in), la veuve de Toyotomi Hideyoshi, afin de prier pour son défunt mari. La principale image du temple est une statue de Shaka.
|
Wikipedia détail |
241.Yasaka Kōshin-dō |
Le Yasaka Kōshin-dō (八坂庚申堂?), ou de son nom complet Daikoku-san Kongō-ji Kōshin-dō (大黒山金剛寺庚申堂?), est un petit temple situé dans l'arrondissement de Higashiyama-ku de Kyoto au Japon. Le temple se trouve dans le voisinage du Kiyomizu-dera.
Le temple est consacré à Kōshin-san (庚申さん?), surnom de son principal objet de culte Shōmen Kongō (青面金剛?), un guerrier protecteur bleu et aux « singes de la sagesse ». Ils représentent la foi Kōshin.
|
Wikipedia détail |
242.Shōren-in |
Le Shōren-in (青蓮院?) est un temple bouddhiste situé dans l'arrondissement de Higashiyama-ku à Kyoto au Japon. Aussi connu sous le nom « palais Awata », il date de la fin du XIIIe siècle.
Le Shōren-in est un temple mortuaire pour la maison impériale. S'y trouve le tombeau officiel de l'empereur Hanazono[1].
|
Wikipedia détail |
243.Seikan-ji |
Le Seikan-ji (清閑寺, Seikan-ji?) est un temple bouddhiste situé dans l'arrondissement de Higashiyama-ku à Kyoto au Japon. Le Seikan-ji est un petit temple mortuaire pour la maison impériale. S'y trouvent les tombeaux officiels de l'empereur Rokujō[1] et de l'empereur Takakura[2].
|
Wikipedia détail |
244.Chion-in |
Le Chion-in (知恩院, Chion-in?) dans l'arrondissement de Higashiyama-ku à Kyoto, au Japon, est le siège du Jōdo-shū (secte de la Terre pure) fondé par Hōnen (1133-1212), qui a proclamé que les êtres renaissent dans le Paradis de l'Ouest du bouddha Amida (Terre pure) par la récitation du nianfo (nembutsu), le nom d'Amida Bouddha.
|
Wikipedia détail |
245.Tōfuku-ji |
Le Tōfuku-ji (東福寺?) est un temple bouddhiste de l'arrondissement de Higashiyama-ku au sud-est de Kyoto, au Japon. Il a été fondé par Enni en tant que siège de l'école Rinzai de la tradition du bouddhisme zen japonais. Il fut construit entre 1236 et 1255 sur les ruines du Hosshō-ji, appartenant aux Fujiwara. C'est le quatrième des gozan (五山, cinq grands temples) de Kyōto.
|
Wikipedia détail |
246.Hokan-ji |
Hokan-ji (法観寺, Hokanji?) est un temple de l'école bouddhique zen Rinzai situé au Japon, dans l'arrondissement de Higashiyama-ku de la ville de Kyoto. Il dépend du temple Kennin-ji et comprend la pagode de Yasaka.
La première pagode est érigée au VIe siècle pendant la période Asuka et a été reconstruite plusieurs fois. Détruit par un incendie en 1436, l'édifice actuel est reconstruit en 1440 par le sixième shogun, Ashikaga Yoshinori.
|
Wikipedia détail |
247.Hōkō-ji (Kyoto) |
Le Hōkō-ji (方広寺?) est un temple bouddhiste à Kyoto au Japon, datant du XVIe siècle. Toyotomi Hideyoshi décide que la capitale doit avoir un temple Daibutsu qui surpassera celui de Nara. Il passe pour s'être vanté dès le début qu'il terminerait la construction dans la moitié du temps qu'il a fallu à l'empereur Shōmu pour terminer le Grand Bouddha de Nara. Le projet sous le règne de l'empereur Shomū prend dix ans. Hideyoshi termine la première phase de son projet en seulement trois ans[1]. Les architectes de cet édifice sont Nakamura Masakiyo et Heinouchi Yoshimasa[2].
|
Wikipedia détail |
248.Hōjū-ji |
Le temple Hōjū (法住寺, Hōjū-ji?) est un temple bouddhiste de Kyōto qui fut, à une époque, la résidence de l'empereur retiré Go-Shirakawa.
Le temple fut à l'origine fondé par Fujiwara no Tamemitsu en 988, mais détruit en 1032 et reconstruit 120 ans plus tard.
En 1158, l'empereur Go-Shirakawa abdiqua en faveur de son fils l'empereur Nijō, devint empereur cloîtré et fit du Hōjū-ji sa demeure, baptisée Hōjū-ji dono (法住寺殿?, ou Hōjū-ji-den, litt. « Palais du temple Hōjū »). Cependant, en 1183, Go-Shirakawa fut informé par Minamoto no Yukiie que Minamoto no Yoshinaka voulait le capturer, fonder un nouveau gouvernement dans le Nord, et utiliser sa possession de l'ancien empereur pour justifier son règne.
|
Wikipedia détail |
249.Manju-ji |
Le Manju-ji (万寿寺?) est un temple bouddhiste de l'école rinzai situé dans l'arrondissement de Higashiyama-ku à Kyoto[1]. En raison de l'influence des Ashikaga, Manju-ji est appelé temple « jissatsu » pendant un certain temps. C'est à présent un temple secondaire du Tōfuku-ji[2]. Il fait partie des Cinq grands temples zen de Kyoto (Gozan) .
|
Wikipedia détail |
250.Anrakuju-in |
L'Anrakuju-in (安楽寿院?) est un temple bouddhiste dans le quartier de Fushimi-ku, Kyoto au Japon, construit par le Daijō Tennō (ancien empereur) Toba en 1137. Le temple abrite un certain nombre de biens culturels importants et les empereur Toba et Konoe sont enterrés sur le site. La propriété d'Ashikaga d'où le clan Ashikaga tien son nom appartenait autrefois au Anrakuju-in[1].
|
Wikipedia détail |
251.Sanbō-in |
Le Sanbō-in (三宝院?, Sanbō-in) est un temple bouddhiste situé au sud de Kyoto, connu aujourd'hui essentiellement pour la beauté de son jardin[1].
|
Wikipedia détail |
252.Daigo-ji |
Le Daigo-ji (醍醐寺, Daigo-ji?) est un temple bouddhiste de l'école Shingon dans le quartier Fushimi-ku, à Kyoto, au Japon. Il fait partie des monuments historiques de l'ancienne Kyoto classés au patrimoine mondial de l'humanité. L'image principale du temple (honzon) représente Yakushi.
|
Wikipedia détail |
253.Hōtō-ji |
Le Hōtō-ji 宝塔寺) est un temple bouddhiste de l'école Nichiren situé dans l'arrondissement de Fushimi à Kyoto.
Le Hōtō-ji est une émanation du Gokuraku-ji (極楽寺), temple de l'école Shingon fondé par le moine Shōbō (聖宝) et construit par Fujiwara no Mototsune.
La porte à quatre piliers (四脚門, shikyakumon) et la pagode à deux niveaux (tahōtō; particularité : rez-de-chassée carré, étage en arrondi) remontent à l'époque Muromachi[1].
|
Wikipedia détail |
254.Sai-ji |
Le Sai-ji (西寺, Sai-ji?) ou « temple de l'Ouest » était l'un des deux plus grands temples bouddhistes de Kyōto au Japon.
|
Wikipedia détail |
255.Kajū-ji |
Le Kajū-ji (勧修寺?), parfois aussi épelé « Kwajū-ji »[1] ou « Kanshu-ji », est un temple bouddhiste Shingon situé dans l'arrondissement de Yamashina-ku à Kyoto au Japon[2].
|
Wikipedia détail |
256.Kankikō-ji |
Le Kankikō-ji (歓喜光寺?) est un temple japonais situé à Kyoto, arrondissement de Yamashina-ku, et affilié au Ji shū, troisième école bouddhique amidiste du Japon. Il a été fondé en 1291 par Shōkai (聖戒?) avec le support du grand chancelier Kujō Tadanori. Shōkai était un proche parent et disciple d'Ippen, fondateur du Ji shū[1],[2].
|
Wikipedia détail |
257.Gangyō-ji |
Le Gangyō-ji ou Gankei-ji (元慶寺?) est un temple bouddhiste à Kyōto, fondée en 877 par le prêtre Henjō.
Le temple est fondé la première année de l'ère Gangyō (元慶元年, Gangyō gannen?), et prend le nom de cette nouvelle ère[1],[2]. L'empereur Kōkō donnait fonds et dotait ce temple[1].
À l'ère Kanna (寛和?), an 2 (986), l'empereur Kazan abdique en ce temple. Le chūnagon Yoshikane et le sachūben Korenari le suivent et deviennent prêtres. À la suite de cela, le temple est également connu sous le nom de Kazan-ji (花山寺?)[1].
|
Wikipedia détail |
258.Yamashina Hongan-ji |
Le Yamashina Hongan-ji, aussi connu sous le nom Yamashina Mido (山科本願寺), est un temple bouddhiste situé à Kyoto, utilisé comme forteresse par les Ikkō-ikki, organisation de moines guerriers et fanatiques laïcs qui s'opposent à la domination des samouraïs.
|
Wikipedia détail |
259.Butokuden |
La construction du Butokuden (武徳殿?) a commencé en 1895 pour s'achever en 1899. C'est le dojo de la prestigieuse Dai Nippon Butoku Kai (大日本武徳会).
|
Wikipedia détail |
260.Tō-ji |
Le Tō-ji (東寺?, « temple de l'Est ») est un temple bouddhiste japonais de tradition Shingon situé à Kyōto. Son nom officiel est « Kyō-ō-gokoku-ji (教王護国寺?) » mais il est plus connu sous le nom de « Tō-ji ».
|
Wikipedia détail |
261.Mibu-dera |
Le Mibu-dera (壬生寺?) est un temple bouddhiste situé à Kyoto au Japon. Le temple a été fondé en 991 par le moine Kaiken. Des représentations de mibu-kyōgen sont données au temple plusieurs fois par an.
|
Wikipedia détail |
262.Taiyū-ji |
Le Taiyū-ji (太融寺 (?)) est un temple bouddhiste situé dans l'arrondissement Kita-ku d'Osaka, au Japon.
|
Wikipedia détail |
263.Kiyomizu-dera |
Le temple Kiyomizu ou Kiyomizu-dera (清水寺?) fait référence à un complexe de temples bouddhistes et shintoïstes mais est principalement utilisé pour un seul : l'Otowa-san Kiyomizu-dera (音羽山清水寺?) à l'est de Kyoto, qui est l'un des endroits les plus célèbres de la ville. Il a été enregistré au patrimoine mondial culturel de l'UNESCO en 1994[1].
|
Wikipedia détail |
264.Konkai kōmyō-ji |
Le Konkai kōmyō-ji (金戒光明寺?), aussi appelé temple Kurodani, est un temple bouddhiste de Kyoto au Japon. C'est un temple majeur de la secte Jōdo du bouddhisme au Japon.
Les tombes de soldats d'Aizu et Kuwana morts à la bataille de Toba-Fushimi se trouvent dans ce temple.
|
Wikipedia détail |
265.Sanjūsangen-dō |
Le Sanjūsangen-dō (三十三間堂, Pavillon des trente-trois intervalles) est un temple bouddhiste situé à Kyōto, Japon. Son nom d'origine est Renge-ō-in. Grand hall sacré de rite Shingon fondé en 1132. Il fut reconstruit entre 1251 et 1256.
L'appellation Sanjūsangendō est tirée des trente-trois (三十三, sanjūsan?) travées (間, ken?, ou gen) entre les piliers qui le composent. Il est très long et étroit. Ses 118,22 m de long en font la plus longue structure en bois du monde.
|
Wikipedia détail |
266.Sennyū-ji |
Le Sennyū-ji (泉涌寺, Sennyū-ji?), formellement écrit Sen-yū-ji[1] (仙遊寺, Sen'yū-ji?) , est un temple bouddhiste situé dans l'arrondissement de Higashiyama-ku à Kyoto au Japon[2]. Pendant des siècles, le Sennyū-ji est un temple mortuaire pour les aristocrates et la maison impériale. S'y trouvent les tombeaux officiels de l'empereur Shijō[3] et ceux de nombre des empereurs qui lui ont succédé[1].
|
Wikipedia détail |
267.Rokkaku-dō |
Le Chōhō-ji (頂法寺, Chōhō-ji?), aussi appelé Rokkaku-dō (六角堂, Rokkaku-dō?) en raison de la forme hexagonale de son bâtiment principal, est un temple bouddhiste situé à Kyoto au Japon, qui aurait été établi par le prince Shōtoku. Ce temple fait partie de la route du pèlerinage de Kansai Kannon.
|
Wikipedia détail |
268.Rokuharamitsu-ji |
Le Rokuharamitsu-ji (六波羅蜜寺?) est un temple bouddhiste situé à Kyoto au Japon. Fondé en 951 par Kūya, le hon-dō est incendié durant les guerres de la fin de l'époque de Heian. Le bâtiment qui l'a remplacé en 1363, endommagé au cours de l'ère Meiji, est restauré en 1969[1],[2]. Le temple abrite un certain nombre de statues des époques de Heian et de Kamakura qui ont été classées bien culturel important du Japon, dont une image de son fondateur datant de l'époque de Kamakura, ainsi qu'un Jūichimen Kannon de l'époque de Heian classé Trésor national du Japon[3],[4],[5].
|
Wikipedia détail |
269.Adashino Nenbutsu-ji |
Le temple bouddhique Adashino Nenbutsu-ji (化野念仏寺) est situé à Sagano (嵯峨野) dans l'arrondissement Ukyō-ku (右京区) de Kyoto au Japon, sur une colline surplombant la ville depuis le nord-ouest. Il se trouve sur un endroit où les gens de la période Heian venaient apporter leurs morts.
Il est caractérisé par le rassemblement d'environ huit mille statuettes bouddhiques, symbolisant les esprits des morts, collectées vers 1903 et dispersées tout autour d'Adashino.
|
Wikipedia détail |
270.Otagi Nenbutsu-ji |
Le Otagi Nenbutsu-ji (japonais : 愛宕念仏寺) est un temple bouddhiste situé dans Arashiyama près de Kyoto au Japon.
Otagi Nenbutsu-ji est fondé par l'impératrice Shōtoku au milieu du VIIIe siècle. Bien que détruit par une inondation de la rivière Kamo, il est reconstruit comme branche du Enryaku-ji voisin. Au XIIIe siècle, il est de nouveau détruit au cours d'une guerre civile. Le temple est déplacé à son emplacement actuel après des dommages causés par un typhon.
|
Wikipedia détail |
271.Pèlerinage de Kansai Kannon |
Le pèlerinage Kansai Kannon (西国三十三所, Saigoku Sanjūsan-sho?) est un pèlerinage de trente-trois temples bouddhistes dans la région du Kansai au Japon, semblable au pèlerinage de Shikoku. Outre les trente-trois temples officiels, il existe trois temples supplémentaires appelés bangai (番外?). L'image principale dans chaque temple est Kannon, connue des Occidentaux comme la déesse de la miséricorde. Il y a cependant une certaine variation entre les images et les pouvoirs qu'elle possède.
|
Wikipedia détail |
272.Eifuku-ji |
L'Eifuku-ji (叡福寺?) est un temple bouddhiste à Minamikawachi, dans la préfecture d'Osaka, au Japon. Il est affilié au bouddhisme Shingon.
Le temple héberge en son sein le mausolée du Prince Shōtoku. Y sont également honorés Yōmei et l’impératrice Anahobe no Hashihito.
|
Wikipedia détail |
273.Treize sites bouddhistes d'Osaka |
Les treize sites bouddhistes d'Osaka (おおさか十三仏霊場, Ōsaka jūsan butsu reijō?) sont un groupe de 13 sites sacrés du bouddhisme dans la préfecture d'Osaka, dédiés aux treize bouddhas. La majorité des temples de ce groupe fait partie du mouvement bouddhiste Shingon. Le groupe de pèlerinage a été créé en 1979.
|
Wikipedia détail |
274.Katsuō-ji |
Le Katsuō-ji (勝尾寺?) est un temple bouddhique de la ville de Minoh, au nord d'Osaka au Japon.
|
Wikipedia détail |
275.Kōon-ji |
Le Kōon-ji (孝恩寺?) est un temple bouddhiste Jōdo de la ville de Kaizuka, dans la préfecture d'Osaka.
|
Wikipedia détail |
276.Sairin-ji |
Le Sairin-ji (西琳寺?) est un temple bouddhiste à Habikino, dans la préfecture d'Osaka, au Japon. Il est affilié à Kōyasan Shingon-shū et a été fondé au sixième siècle.
|
Wikipedia détail |
277.Jigen-ji |
Le Jigen-ji (慈眼寺?), aussi connu sous le nom Nozaki Kannon (野崎観音), est un temple situé au pied du mont Iimori à Daitō, préfecture d'Osaka au Japon. Il est renommé pour la statue à onze visages de Kanzeon Bosatsu, ou Kannon, qui y est vénérée.
|
Wikipedia détail |
278.Sefuku-ji |
Le Sefuku-ji (施福寺?) est un temple bouddhiste de la ville d'Izumi, dans la préfecture d'Osaka au Japon. Il est également connu sous le nom de Makinoo-dera (槇尾寺?). Le temple est associé à la secte Tendai. Sa statue principale est une statue de Maitreya. De plus, une statue de Kannon aux mille bras y est particulièrement vénérée. Le Sefuku-ji est le quatrième temple du Pèlerinage de Kansai Kannon.
|
Wikipedia détail |
279.Sōji-ji (Ibaraki) |
Le Sōji-ji (総持寺?) est un temple bouddhiste de la ville d'Ibaraki, dans la préfecture d'Osaka au Japon. Le temple est associé à la secte Shingon. La statue principale du temple est une statue de Senju Kannon aux mille bras. Le Sōji-ji est le 22e temple du Pèlerinage de Kansai Kannon (西国三十三箇所, Saigoku sanjūsankasho ).
|
Wikipedia détail |
280.Tsūhō-ji |
Les ruines duTsūhō-ji (通法寺跡, Tsūhō-ji ato?) sont un site archéologique avec les ruines d'un temple bouddhiste de la période Heian, situé dans le quartier Tsuboi de la ville de Habikino, dans la préfecture d'Osaka, au Japon. Le temple n'existe plus, mais son site a été désigné lieu historique national en 1957[1].
|
Wikipedia détail |
281.Dōmyō-ji |
Le Dōmyō-ji (道明寺?) est un temple bouddhiste situé à Fujiidera, dans la préfecture d'Osaka, au Japon. Il a été fondé au VIe siècle, et est affilié au bouddhisme Shingon.
Il contient, entre autres, une statue de Kannon, sculptée par Sugawara no Michizane (845-903) et classée trésor national[1].
|
Wikipedia détail |
282.Nose Myōkenzan |
Nose Myōkenzan (能勢妙見山?) est un temple bouddhiste dō de la secte Nichiren situé à Nose, dans le district de Toyono, au sein de la préfecture d'Osaka. Situé près du sommet du mont Myoken, il est connu comme un lieu sacré pour le culte de l'étoile polaire.
|
Wikipedia détail |
283.Fujii-dera |
Le Fujii-dera (葛井寺?) est un temple bouddhiste dans la ville de Fujiidera (préfecture d'Osaka), au Japon. Le temple est associé au bouddhisme Shingon et a pour image principale une sculpture de Kannon aux mille bras. C'est le cinquième temple du pèlerinage de Kansai Kannon.
|
Wikipedia détail |
284.Mizuma-dera |
Le Mizuma-dera (水間寺?), avec ses noms de montagne Ryūkokusan (龍谷山?) et Kannon-in (観音院?), est un temple bouddhiste de la secte Tendai situé à Kaizuka (dans la préfecture d'Osaka).
|
Wikipedia détail |
285.Yachū-ji |
Le Yachū-ji (野中寺?) est un temple bouddhiste situé à Habikino, dans la préfecture d'Osaka, au Japon. On dit qu'il a été fondé par le prince Shōtoku et est affilié à Kōyasan Shingon-shū.
Des tuiles inscrites permettent de dater sa construction du milieu du 7e s.[1].
Le temple possède une statuette datant de 666 et représentant Miroku Bosatsu[1]. Cette œuvre a été réalisée pour prier pour la santé de l’impératrice Saimei[2].
|
Wikipedia détail |
286.Ruines du Kaie-ji |
Les ruines du Kaie-ji (海会寺跡, Kaieji ato?) sont un site archéologique avec les ruines d'un temple bouddhiste de la période Hakuhō, situé dans le quartier Shindachionoshiro de la ville de Sennan, dans la préfecture d'Osaka, au Japon. Le temple n'existe plus mais le site a été désigné lieu historique national en 1987[1].
|
Wikipedia détail |
287.Tosaka-dera |
Le Tosaka-dera (鳥坂寺, Tosaka-dera?) est un temple bouddhiste de la période d'Asuka situé dans le quartier Takaida de la ville de Kashiwara dans la préfecture d'Osaka, au Japon. Le temple n'existe plus, mais ses restes ont été désignés lieu historique national en 2012[1]. Le site était autrefois appelé les ruines du temple Takaida (高井田廃寺, Takaida haiji?) jusqu'à ce qu'il soit formellement identifié en 1983.
|
Wikipedia détail |
288.Kongō-ji |
Le Kongō-ji (金剛寺?) est un temple bouddhiste situé à Kawachinagano, dans la Préfecture d'Osaka, au Japon. Il est le temple principal de la secte Shingon Omuro. Il porte également le nom de montagne Amanosan Kongō-ji (天野山 金剛寺?). C'est le septième temple du pèlerinage Shin Saigoku 33 Kannon (新西国三十三箇所?). Il est remarquable car on y trouve un grand nombre d’éléments du patrimoine culturel du Japon[1],[2],[3].
|
Wikipedia détail |
289.Nanshū-ji |
Le Nanshū-ji (南宗寺?) est un temple bouddhiste situé dans l'arrondissement Sakai-ku de la ville de Sakai, dans la préfecture d'Osaka, au Japon. Il appartient à la branche Daitoku-ji du courant Rinzai du zen japonais. Sa divinité principale est Shaka Sanzon. Son jardin, dessiné par Furuta Shigenari en 1619, est classé comme monument national[1]. Ce temple est le bodaiji du clan Miyoshi, ainsi que celui de nombreuses écoles de cérémonie du thé.
|
Wikipedia détail |
290.Ebara-ji |
Ebara-ji (家原寺) est un temple bouddhiste de l'arrondissement Nishi-ku, à Sakai, dans la préfecture d'Osaka, au Japon. Il a été fondé en 704, et il est affilié à Kōyasan Shingon-shū. Son icône centrale est le Bodhisattva, Monju (Mañjuśrī).
|
Wikipedia détail |
291.Kyōkō-ji |
Le Kyōkō-ji (教興寺) est un temple bouddhiste situé à Yao, dans la préfecture d'Osaka, au Japon. Il a été fondé en 588.
La bataille du Kyōkō-ji s'est déroulée à proximité les 19 et 20 mai 1562.
|
Wikipedia détail |
292.Shōen-ji |
Le Shōen-ji (寺?) est un temple bouddhiste situé dans l'arrondissement Abeno-ku d'Osaka, au Japon. Il a été fondé en 939.
|
Wikipedia détail |
293.Jōkō-ji |
Le Jōkō-ji (常光寺?) est un temple bouddhiste situé à Yao, dans la préfecture d'Osaka, au Japon. Il a été fondé à l'époque de Nara par Gyōki.
|
Wikipedia détail |
294.Senkō-ji |
Le Senkō-ji (全興寺 (?)) est un temple bouddhiste situé dans l'arrondissement Hirano-ku à Osaka, au Japon.
Le temple est connu pour sa représentation de l'enfer et du paradis bouddhistes[1].
|
Wikipedia détail |
295.Dainembutsu-ji |
Le Dainembutsu-ji (大念仏寺?) est un temple bouddhiste situé à Ōsaka, dans l’arrondissement de Hirano-ku, au Japon. Il est le temple principal du Yūzū nembutsu shū : environ 350 autres temples lui sont affiliés.
|
Wikipedia détail |
296.Taihei-ji |
Le Taihei-ji (太平 寺) est un temple bouddhiste de la préfecture d'Osaka, au Japon. Il a été fondé vers 1555 et est affilié au bouddhisme Sōtō.
|
Wikipedia détail |
297.Taiyū-ji |
Le Taiyū-ji (太融寺 (?)) est un temple bouddhiste situé dans l'arrondissement Kita-ku d'Osaka, au Japon.
|
Wikipedia détail |
298.Hōon'in |
Le Hōon'in (報恩院) (?)) est un temple bouddhiste situé dans l'arrondissement Chūō-ku d'Osaka, au Japon.
|
Wikipedia détail |
299.Horaku-ji |
Le Hōraku-ji (法楽寺 (?)) est un temple bouddhiste situé dans l'arrondissement Higashisumiyoshi-ku, à Osaka, au Japon.
|
Wikipedia détail |
300.Taiseishōgun-ji |
Le Taiseishōgun-ji (大聖勝軍寺?) est un temple bouddhiste situé à Yao, dans la préfecture d'Osaka, au Japon. Il a été fondé en 587 et est affilié à Kōyasan Shingon-shū .
|
Wikipedia détail |
301.Isshin-ji |
L' Isshin-ji (一心寺?) est un temple bouddhiste de la Terre Pure situé dans l'arrondissement Tennōji-ku à Osaka au Japon. À partir de l'ère Meiji, treize sculptures-images ont été créées, chacune incorporant les cendres de dizaines de milliers de fidèles.
|
Wikipedia détail |
302.Kokubun-ji (Osaka) |
Le Kokubun-ji (国分寺?) est un temple bouddhiste situé dans l'arrondissement Kita-ku, d'Osaka, au Japon. Il a été fondé en 655 sous le règne de l'impératrice Kōgyoku et est affilié au bouddhisme Shingon. Il est également connu sous le nom de Nagara Kokubun-ji (長柄国分寺?).
|
Wikipedia détail |
303.Shōren-ji |
Le Shōren-ji (青蓮寺 (?)) est un temple bouddhiste situé dans l'arrondissement Tennōji-ku d'Osaka, au Japon. Il a été fondé par le prince Shōtoku et est affilié à Kōyasan Shingon-shū.
|
Wikipedia détail |
304.Hōzen-ji (Osaka) |
Le Hōzen-ji (法善寺?) est un temple bouddhiste dans l'arrondissement Chuo-ku à Osaka, au Japon.
Le temple est situé dans le quartier de Dotonbori, près de la gare de Namba. Il a la réputation au Japon d'aider les femmes qui vont accoucher[1].
Le temple a été fondé en 1637[2]. Sis au milieu d'un quartier de théâtres et autres lieux de spectacles, il était fréquenté par les acteurs et autres artistes[3]. Des spectacles s'y donnaient régulièrement dans des tentes[4].
|
Wikipedia détail |
305.Hongan-ji d'Ishiyama |
Le Hongan-ji d'Ishiyama (石山本願寺?) est au XVIe siècle, durant l'époque Sengoku, le principal temple et la principale forteresse de la secte Hongan-ji et de ses ligues (Ikkō-ikki). Il est établi en 1496 à l'embouchure de la Yodo-gawa, sur la côte de la mer intérieure de Seto. À l'époque, il se trouve juste à l'extérieur des vestiges de l'ancienne capitale de Naniwa, dans la province de Settsu. En fait, de récentes fouilles archéologiques ont déterminé que le temple a été créé sur les ruines de l'ancien palais impérial. La ville (maintenant appelée Osaka) a depuis grandi autour du site, intégrant l'Ishiyama (« montagne de pierre »).
|
Wikipedia détail |
306.Kanshin-ji |
Le Kanshin-ji (観心寺?) est un temple bouddhiste situé à Kawachinagano, préfecture d'Osaka au Japon.
|
Wikipedia détail |
307.Myōkoku-ji |
Le Myōkoku-ji (妙国寺) est un temple situé dans la ville de Sakai, préfecture d'Osaka au Japon et un des temples tête de la secte bouddhiste Nichiren. Il est connu pour avoir été le cadre de l'incident de Sakai de 1868.
|
Wikipedia détail |
308.Kabusan-ji |
Le Kabusan-ji (神峯山寺?) est un temple bouddhiste situé à Takatsuki, dans la préfecture d'Osaka au Japon.
|
Wikipedia détail |
309.Shi Tennō-ji |
Le Shi Tennō-ji (四天王寺?) est un temple bouddhiste situé dans la ville d'Osaka, au Japon.
|
Wikipedia détail |
310.Pèlerinage de Kansai Kannon |
Le pèlerinage Kansai Kannon (西国三十三所, Saigoku Sanjūsan-sho?) est un pèlerinage de trente-trois temples bouddhistes dans la région du Kansai au Japon, semblable au pèlerinage de Shikoku. Outre les trente-trois temples officiels, il existe trois temples supplémentaires appelés bangai (番外?). L'image principale dans chaque temple est Kannon, connue des Occidentaux comme la déesse de la miséricorde. Il y a cependant une certaine variation entre les images et les pouvoirs qu'elle possède.
|
Wikipedia détail |
311.Antai-ji |
Antai-ji (安泰寺?) est un temple bouddhiste de l'école Zen Sōtō . Il se trouve à Shin'onsen (préfecture d'Hyōgo), au Japon. Il occupe 50 hectares dans les montagnes, près du parc national de San'inkaigan. Inaccessible en hiver, il accueille les visiteurs pendant les mois d'été.
|
Wikipedia détail |
312.Ichijō-ji |
Le Hokkesan Ichijō-ji (法華山一乗寺?) est un temple de la secte Tendai situé à Kasai, dans la préfecture de Hyōgo au Japon. Il a été établi en 650 sur l'ordre de l'empereur Kōtoku.
La pagode de Ichijō-ji complétée en 1171 est un trésor national du Japon. Le style architectural du Hokkesan Ichijō-ji s'appelle wayō (和様?, littéralement « style japonais »).
|
Wikipedia détail |
313.Kagaku-ji |
Le Kagaku-ji (花岳寺, kagakuji?) est un temple bouddhiste (寺, ji) de la ville d'Akō, préfecture de Hyōgo.
Le temple a été construit à partir de 1645, sous la direction d'Asano Naganao.
(ja) Le temple sur le site Eonet
|
Wikipedia détail |
314.Kakurin-ji (Kakogawa) |
Le Totasan Kakurin-ji (刀田山鶴林寺?) est un temple de la secte Tendai à Kakogawa, préfecture de Hyōgo au Japon, fondé à la demande du prince Shōtoku en 589.
Le Taishidō de Kakurin-ji est achevé en 1112 et le hall en 1397. Tous deux sont classés trésor national du Japon.
|
Wikipedia détail |
315.Kannō-ji |
Le Kannō-ji (神呪寺?) est un temple bouddhiste situé à mi-hauteur du mont Kabuto à Nishinomiya, préfecture de Hyōgo au Japon. L'autre nom du temple est Kabutoyama-daishi (甲山大師?).
|
Wikipedia détail |
316.Kiyoshikōjin Seichō-ji |
Le Kiyoshikōjin Seichō-ji (清荒神清澄寺?) est un temple bouddhiste Shingon situé à Takarazuka, préfecture de Hyōgo au Japon.
Il s'agit d'un exemple typique de mélange de temples shintoïste et bouddhiste au Japon, et le nom de temple contient deux lettres chinoises des deux religions au Japon, « jin » (神?) du shintoïsme et « ji » (寺?) du bouddhisme. Ce type de mélange des deux religions, appelé shinbutsu shūgō (神仏習合?) est très courant parmi les temples ou les sanctuaires japonais jusqu'à la fin de l'époque d'Edo, mais les deux religions sont formellement et de façon forcée séparées par le gouvernement Meiji durant la seconde partie du XIXe siècle (voir shinbutsu bunri). De ce point de vue, ce temple est un bon exemple qui conserve encore les traditions religieuses japonaises d'avant la modernisation.
|
Wikipedia détail |
317.Gōshō-ji (Takarazuka) |
Le Gōshō-ji (毫摂寺, gōshō-ji?) est un temple bouddhiste à Takarazuka, préfecture de Hyōgo au Japon. L'autre nom du temple est Kohama-gobo (小浜御坊). Kohama est le nom de la zone autour du temple et le long du Arima Kaidō, qui reliait Osaka et Kyoto à Arima Onsen à l'époque d'Edo. Le temple appartient à la secte bouddhiste Jōdo Shinshū.
|
Wikipedia détail |
318.Sagami-ji |
Le Sagami-ji (酒見寺?, Sagami-dera), est un temple bouddhiste de la secte shingon situé à Kasai dans la préfecture de Hyōgo au Japon. Son nom local est Senjōsan (泉生山). L'empereur Shōmu ordonne sa construction durant la dix-septième année de l'ère Tenpyō (745 AD), à la demande du moine bouddhiste Gyōki.
|
Wikipedia détail |
319.Jōdo-ji (Ono) |
Gokurakusan Jōdo-ji (極楽山浄土寺?) est un temple bouddhiste de la secte Shingon situé à Ono, préfecture de Hyōgo au Japon. Il a été fondé par Chōgen de 1190 à 1198.
Le jōdo-dō du Jōdo-ji achevé en 1194 est trésor national du Japon. L'architecture de style daibutsuyō combine des éléments d'architecture japonaise et d'architecture chinoise.
|
Wikipedia détail |
320.Chōkō-ji |
Chōkō-ji (朝光寺 Chōkōji) est un temple bouddhiste situé à Yashiro, préfecture de Hyōgo au Japon.
|
Wikipedia détail |
321.Nakayama-dera |
Le Nakayama-dera (中山寺, Nakayama-dera?) est un temple bouddhiste situé à Takarazuka dans la préfecture de Hyōgo au Japon. C'est le 24e des 33 temples du pèlerinage de Kansai Kannon.
|
Wikipedia détail |
322.Heirin-ji (Hyōgo) |
Le Heirin-ji (平林寺) est un temple bouddhiste situé à Takarazuka, préfecture de Hyōgo au Japon.
|
Wikipedia détail |
323.Statue de la paix de Kannonji |
La Statue de la paix de Kannonji (平和観音寺?) est une statue, un musée et un temple dans la ville d'Awaji au Japon. L'ensemble a été achevé en 1991 ; la statue de 100 m était alors la plus haute du monde. Mais une mauvaise gestion et de nombreux problèmes ont réduit l'ensemble à l'état de ruine, l'édifice en faillite est fermé depuis 2006.
|
Wikipedia détail |
324.Hōun-ji (Kamigōri) |
Le Hōun-ji (法雲寺?) est un temple bouddhiste Rinzai consacré à Siddhartha Gautama à Kamigōri dans la préfecture de Hyōgo (anciennement province de Harima).
Avec le soutien du clan Akamatsu, Sesson Yūbai devient le fondateur d'un certain nombre de temples et de monastères provinciaux, dont le Hōrin-ji à Harima[1].
|
Wikipedia détail |
325.Hōun-ji (Kami) |
Le Hōun-ji (法雲寺?) est un temple bouddhiste Tendai consacré à Siddhartha Gautama et situé dans la préfecture de Hyōgo, (ancienne province de Harima).
Site du Hōun-ji
|
Wikipedia détail |
326.Engyō-ji |
Le Shoshazan Engyō-ji (書寫山圓教寺?) est un temple bouddhiste de la secte Tendai situé à Himeji, dans la préfecture de Hyōgo au Japon. Il a été fondé en 966 par Shoku Shonin.
L'ensemble des bâtiments se trouve au sommet du mont Shosha (ja), accessible par le téléporté du mont Shosha (en). Il est visité par de nombreux pèlerins.
|
Wikipedia détail |
327.Taisan-ji (Kobe) |
Sanshinzan Taisan-ji (三身山太山寺?) est un temple bouddhiste de la secte Tendai situé à Kōbe, préfecture de Hyōgo au Japon, établi sur les instructions de l'impératrice Genshō en 716.
Le bâtiment principal du Taisan-ji achevé en 1293 est un trésor national du Japon.
|
Wikipedia détail |
328.Tenjō-ji |
Le Tenjō-ji (忉利天上寺?) est un temple bouddhiste situé à Kōbe au Japon.
Le Tenjō-ji aurait été fondé en 646 par un grand prêtre Hodo, à la demande de l'empereur Kōtoku. Au VIIIe siècle, un autre grand prêtre Hodo rapporte de Chine une statue de Māyā, la mère de Bouddha et consacre le temple à son culte.
|
Wikipedia détail |
329.Hōrin-ji (Harima) |
Le Hōrin-ji (法輪寺?) est un temple bouddhiste Rinzai consacré à Siddhartha Gautama, situé à Himeji, préfecture de Hyōgo (anciennement province de Harima).
Avec le soutien du clan Akamatsu, Sesson Yūbai devient le fondateur d'un certain nombre de temples et de monastères provinciaux, dont le Hōrin-ji à Harima[1].
|
Wikipedia détail |
330.Taiyū-ji |
Le Taiyū-ji (太融寺 (?)) est un temple bouddhiste situé dans l'arrondissement Kita-ku d'Osaka, au Japon.
|
Wikipedia détail |
331.Pèlerinage de Kansai Kannon |
Le pèlerinage Kansai Kannon (西国三十三所, Saigoku Sanjūsan-sho?) est un pèlerinage de trente-trois temples bouddhistes dans la région du Kansai au Japon, semblable au pèlerinage de Shikoku. Outre les trente-trois temples officiels, il existe trois temples supplémentaires appelés bangai (番外?). L'image principale dans chaque temple est Kannon, connue des Occidentaux comme la déesse de la miséricorde. Il y a cependant une certaine variation entre les images et les pouvoirs qu'elle possède.
|
Wikipedia détail |
332.Nanto Shichidai-ji |
Nanto Shichidai-ji (南都七大寺?, littéralement « les sept grands temples de Nanto »), est le nom historique courant qui fait référence aux sept puissants et influents temples bouddhistes situés à Nara, jadis appelée Nanto (« capitale du Sud »).
Ils sont parfois aussi appelés « les quinze grands temples de Nanto », prenant alors en compte des temples prestigieux comme le Tôshôdai-ji (唐招提寺) ou le Hokke-ji (法華寺).
|
Wikipedia détail |
333.Asuka-dera |
L'Asuka-dera (飛鳥寺?), aussi appelé Hōkō-ji (法興寺?), est un temple bouddhiste situé à Asuka, préfecture de Nara au Japon. L'Asuka-dera passe pour être un des plus anciens temples du Japon, de la période Asuka et construit entre la fin du VIe et le début du VIIe siècle.
|
Wikipedia détail |
334.Abe Monju-in |
L'Abe Monju-in (安倍文殊院?) est un temple bouddhiste dans la zone Abe de Sakurai, préfecture de Nara au Japon. Construit au VIIe siècle, il abrite un groupe de sculptures par Kaikei et un kofun situé sur son site est désigné « site historique spécial ».
|
Wikipedia détail |
335.Enpuku-ji (Nara) |
Le Enpuku-ji (円福寺) est un temple bouddhiste situé dans la ville d'Ikoma, préfecture de Nara au Japon.
|
Wikipedia détail |
336.Ōno-ji |
Le Ōno-ji ou Ōno-dera (大野寺?) est un temple de l'école Shingon du bouddhisme, situé dans la ville d'Uda, préfecture de Nara au Japon.
Selon la légende et le mythe, le temple est fondé par En no Gyōja en 681. L'entrée ouest est donnée au Murō-ji par Kūkai en 824.
|
Wikipedia détail |
337.Ōminesan-ji |
L'Ōminesan-ji (大峯山寺?) est un important temple de la religion shugendō situé dans le district de Yoshino de la préfecture de Nara au Japon. Consacré à Zaō-gongen, Il se trouve au sommet du mont Ōmine. Selon la tradition, il est établi durant la période Asuka par En no Gyōja, le fondateur du shugendō, une forme d'ascétisme de la montagne inspiré des croyances bouddhistes et shinto. Le sanctuaire est considéré comme sacré et les femmes n'y sont pas admises.
|
Wikipedia détail |
338.Oka-dera |
Oka-dera (岡寺?) est un important temple bouddhiste de la région historique d'Asuka dans la préfecture de Nara au Japon. Son nom formel est Ryūgai-ji (龍蓋寺?, « temple du couvercle du dragon ») et il est associé à la secte Shingon-Buzan[1].
Fondé au VIIe siècle par le prêtre Gien (義淵?), Oka-dera est le septième temple du pèlerinage de Kansai Kannon. La statue de Gien est classée trésor national du Japon. Au cœur du temple se trouve la plus grande image en argile du pays, un Nyoirin Kannon du VIIIe siècle[2].
|
Wikipedia détail |
339.Kinpusen-ji |
Le Kinpusen-ji (金峯山寺?) est le principal temple de la shugendō. Il se trouve dans la ville de Yoshino sur le mont Yoshino, dans la préfecture de Nara au Japon.
|
Wikipedia détail |
340.Jinraku-ji |
Le Jinraku-ji (秦楽寺?) est un temple bouddhiste situé dans la ville de Tawaramoto, dans la préfecture de Nara, au Japon. Il est commandé par le prince Shōtoku au Ve siècle et construit par Hata Kawakatsu.
Le grand bâtiment contient un Bodhisattva tandis qu'à l'extérieur se trouvent aussi un sanctuaire shinto avec un torii et un étang en forme de caractère chinois[1].
|
Wikipedia détail |
341.Taima-dera |
Le Taima-dera (當麻寺) est un temple bouddhiste situé à Katsuragi, préfecture de Nara au Japon, fondé en 612 par le prince impérial Maroko, frère du prince Shotoku. Le temple est déplacé à son emplacement actuel en 681 par le petit-fils du prince Maroko et sert de temple principal, ou honzan (本山) de la secte Hosso à présent disparue. Le principal objet de vénération du temple est le Yakushi mais l'attraction la plus populaire est le Taima Mandala, représentation picturale de la Terre pure et lieu de pèlerinage pour les bouddhistes de la Terre pure.
|
Wikipedia détail |
342.Chikurin-ji |
Le Chikurin-ji` (竹林寺?) est un temple bouddhiste situé dans la ville d'Ikoma, préfecture de Nara au Japon.
Le temple aurait été fondé au VIIIe siècle par le fameux moine japonais Gyōki (行基) qui y est d'ailleurs enterré. L'urne d'argent qui contient ses restes a été trouvée au temple en 1255. L'urne d'argent est à présent classée Trésor national du Japon.
|
Wikipedia détail |
343.Chūgū-ji |
Le Chūgū-ji (中宮寺?) est un temple bouddhiste de la préfecture de Nara au Japon, fondé comme couvent au VIIe siècle par Shōtoku Taishi. Situé immédiatement au nord-est du Hōryū-ji, sa statue de Miroku et le mandala Tenjukoku sont des trésors nationaux.
|
Wikipedia détail |
344.Chōgosonshi-ji |
Le Chōgosonshi-ji (朝護孫子寺?), appelé populairement Shigisan (信貴山?)[1], est un temple bouddhique japonais situé non loin d'Osaka sur les flancs du mont Shigi (Shigi-san).
|
Wikipedia détail |
345.Hase-dera (Sakurai) |
Hase-dera (長谷寺?) est le temple principal de la secte Buzan du bouddhisme Shingon. Il se trouve dans la ville de Sakurai, dans la préfecture de Nara au Japon.
|
Wikipedia détail |
346.Butsuryū-ji |
Le Butsuryū-ji (仏隆寺 or 佛隆寺?) est un temple bouddhiste Shingon du IXe siècle situé à Uda, préfecture de Nara au Japon. Il se trouve à environ quatre kilomètres au sud-ouest du Murō-ji par le mont Murō[1].
|
Wikipedia détail |
347.Hokki-ji |
Le Hokki-ji ou Hōki-ji (法起寺?) — anciennement connu sous les noms Okamoto-dera (岡本寺?) et Ikejiri-dera (池後寺?) — est un temple bouddhiste situé à Okamoto, Ikaruga, Nara au Japon. Le préfixe honorifique (sangō) du temple est « kōhonzan » (岡本山?), bien qu'il soit rarement utilisé. Le temple a été construit pour honorer Avalokitesvara et une statue à onze visages de la déesse y est le principal objet de culte. Hokki-ji est souvent considéré comme un des sept grands temples fondés par le prince Shōtoku, au cours de la période Asuka. Cependant, le temple n'est achevé que quelques décennies après sa mort.
|
Wikipedia détail |
348.Hōzan-ji |
Hōzan-ji (宝山寺 Hozanji) est un temple bouddhiste situé à Monzenmachi, Ikoma, préfecture de Nara au Japon. Il est également appelé Ikoma-Shoten (生駒聖天) Shoten étant le dieu de la joie.
|
Wikipedia détail |
349.Hōryū-ji |
Le Hōryū-ji (法隆寺?) est un temple bouddhique situé à Ikaruga, bourg de la préfecture de Nara, au Japon.
Les bâtiments les plus anciens (le kondō, la pagode à cinq étages et la porte centrale) datent de la période d'Asuka (milieu du VIe siècle-710) et sont considérés comme les plus anciennes constructions en bois du monde.
|
Wikipedia détail |
350.Hōrin-ji (Nara) |
Hōrin-ji (法輪寺, 法琳寺, 法林寺?), ou Mii-dera (三井寺、御井寺?) est un temple bouddhiste situé à Mii, Ikaruga, dans la préfecture de Nara au Japon. Le préfixe honoraire du temple est sangō Myōken-san (妙見山?). Hōrin-ji se trouve à environ un kilomètre au nord du tō-in de Hōryū-ji.
|
Wikipedia détail |
351.Murō-ji |
Le Murô-ji (室生寺) est un temple bouddhique de la préfecture de Nara au Japon (à environ 25 km de l'ancienne capitale). Il est affilié à la branche Buzan du Shingon-shû. Il est également connu sous le nom de Nyonin Kôya (女人高野, « le mont Kôya pour les femmes ») depuis qu'il leur a été ouvert pour les cérémonies.
|
Wikipedia détail |
352.Kawara-dera |
Le Kawara-dera (川原寺?) est un ancien temple bouddhiste fondé au cours de la période Asuka à Asuka, préfecture de Nara au Japon. Les fouilles ont révélé un complexe de temple à grande échelle comprenant deux kondō, un tō (pagode), de vastes quartiers pour les prêtres et des tuiles qui sont « parmi les plus belles jamais fabriquées au Japon[1] ». La zone est désignée bien culturel important comme « site historique » et fait partie d'un ensemble de sites présentés en 2007 pour l'inscription future sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO : « sites archéologiques des anciennes capitales du Japon et biens associés[2],[3],[4] ». Des objets extraits du site sont exposés au musée d'histoire d'Asuka[5]
|
Wikipedia détail |
353.Yamada-dera |
Le Yamada-dera (山田寺?) est un temple bouddhiste établi à la période Asuka à Sakurai, préfecture de Nara au Japon. La zone est désignée bien culturel important au titre de « site historique spécial » et fait partie d'un regroupement de sites soumis en 2007 pour l'inscription future sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO : sites archéologiques des anciennes capitales du Japon et biens associés (en)[1],[2],[3]. Des fouilles dans les années 1980 ont révélé une section bien préservée des kairō (couloirs couverts) antérieurs aux bâtiments survivants du Hōryū-ji : « Pour l'histoire de l'architecture japonaise, cette découverte est aussi importante que celle des peintures du kofun de Takamatsuzuka du VIIe siècle en mars 1972 l'est pour l'histoire de l'art japonais[4]. »
|
Wikipedia détail |
354.Enshō-ji (Nara) |
Le Enshō-ji (圓照寺 ou 円照寺?) est un complexe de temples bouddhistes situé à Nara, fondé par Bunchi, sœur de l'empereur Go-Mizunoo, en 1656. Avec le Chūgū-ji et le Hokke-ji, il est considéré comme l'un des trois Yamato monseki (大和三門跡), c'est-à-dire « temples impériaux », appartenant à l'école Myōshin-ji du zen Rinzai].
|
Wikipedia détail |
355.Gangō-ji |
Le Gangō-ji (元興寺?) est un ancien temple bouddhiste qui fut l'un des Nanto Shichidai-ji de Nara au Japon. Le temple fait partie depuis 1998 des monuments historiques de l'ancienne Nara inscrits au patrimoine mondial de l'UNESCO.
Le temple avait été fondé par Soga no Umako dans la ville d'Asuka mais il fut déplacé à Nara en 718 après que celle-ci fut devenue la capitale du Japon.
|
Wikipedia détail |
356.Saidai-ji |
Le Saidai-ji (西大寺) est un temple bouddhiste situé à Nara, au Japon. C'est le principal temple du bouddhisme shingon ritsu. Son nom est le contraire de celui du Tôdai-ji ; Saidai-ji signifie : « grand temple de l'Ouest ».
Le temple a été construit pour la première fois en 765 durant l'ère Tenpyō sous le règne de l'impératrice Shotoku[1]. Au début, le temple comptais plusieurs bâtiments qui étaient considérés comme des lieux calmes et prospères[1]. En 846, un incendie détruit la majorité de ces bâtiments[1]. Une première reconstruction a été mise en place au cours de l'époque Kamakura (1185-1333) , ce projet fut dirige par Eison, le fondateur de la secte Shingon Risshu du bouddhisme[1]. Néanmoins, cela n'empêcha pas le temple de se redétruire a cause d'un deuxième incendie, qui se passa pendant la période des Royaumes combattants[1] . Les bâtiments que l'on peut observer a nos jours ont été construits au milieu de l'époque Edo (1603-1868)[1]. Initiée par Eison il y a des siècles, la « grande cérémonie du thé » est toujours un événement populaire au sein du temple Saidai-ji[1].
|
Wikipedia détail |
357.Shin-Yakushi-ji |
Le Shin-Yakushi-ji (新薬師寺?) est un temple bouddhiste de la secte Kegon situé à Nara au Japon. Il a été fondé en 747 par l'impératrice Kōmyō. À l'origine, c'est un temple grand et complet comme le sont les Shichidō garan. Il subit des dommages causés par des incendies et s'est détérioré durant l'époque de Heian. Le temple a fait l'objet de travaux de restauration lors de l'époque de Kamakura. Du VIIIe siècle ne reste que le hon-dō (本堂). Tous les autres bâtiments datent de l'époque de Kamakura.
|
Wikipedia détail |
358.Daian-ji |
Le Daian-ji (大安寺?), fondé durant la période Asuka est un des sept grands temples de Nara au Japon.
|
Wikipedia détail |
359.Tōshōdai-ji |
Le Tōshōdai-ji (唐招提寺) est un temple bouddhiste de la secte Ritsu situé dans la ville de Nara au Japon. Il a été fondé par un moine chinois du nom de Ganjin en l'an 759.
Le temple fait partie depuis 1998 des monuments historiques de l'ancienne Nara inscrits au patrimoine mondial de l'UNESCO.
|
Wikipedia détail |
360.Tōdai-ji |
Le Tōdai-ji (東大寺?, littéralement « grand temple de l’Est »), de son nom complet Kegon-shū daihonzan Tōdai-ji (華厳宗大本山東大寺?), est un temple bouddhique situé à Nara au Japon. Il est le centre des écoles Kegon et Ritsu, mais toutes les branches du bouddhisme japonais y sont étudiées et le site comprend de nombreux temples et sanctuaires annexes. Dans l’enceinte se trouve la plus grande construction en bois au monde toujours existante[1],[2], le Daibutsu-den (大仏殿?, salle du Grand Bouddha), qui abrite une statue colossale en bronze du bouddha Vairocana appelée Daibutsu (大仏?), c'est-à-dire « Grand Bouddha ». Le bâtiment, d’une largeur de huit travées de piliers (soit 57 mètres), est un tiers plus petit que le temple originel qui en comprenait douze.
|
Wikipedia détail |
361.Hannya-ji |
Le Hannya-ji 般若寺, littéralement : « temple Prajna » est un temple bouddhiste situé dans la ville de Nara au Japon. Fondé par le prêtre Ekan en 629 au cours de la période Asuka, il est consacré à Monju Bosatsu-zo. Après un incendie, il est reconstruit au cours de l'époque de Kamakura (XIIe siècle).
|
Wikipedia détail |
362.Byakugō-ji |
Le Byakugō-ji 白亳寺) est un temple bouddhiste situé sur le versant ouest du mont Takamado (高円山) à Nara. Son nom fait référence aux touffes de cheveux blancs entre les sourcils, une des 32 caractéristiques de Bouddha(三十二相, sanjūni sō).
Au VIIIe siècle, le district appartient à un prince impérial.
Le temple possède une statue d'Amida datant de l'époque de Nara ainsi qu'une statue d'Enma, le juge et gardien de l'enfer.
|
Wikipedia détail |
363.Futai-ji |
Le Futai-ji (不退寺?), aussi connu sous le nom Narihira-dera (業平寺?), est un temple bouddhiste situé à Nara au Japon.
Le Futai-ji est fondé en 847 par Ariwara no Narihira, connu comme l'auteur du Ise monogatari. Le temple est construit sur l'emplacement d'une ancienne résidence de l'ancien empereur Heizei, grand-père de Narihira. Le bâtiment principal abrite un Shō-kannon (聖観音?) (une forme d'Avalokiteśvara ou Guanyin), entouré de cinq Vidyaraja, ainsi que d'un petit sanctuaire shinto également à l'intérieur du même bâtiment.
|
Wikipedia détail |
364.Hokke-ji |
Le Hokke-ji (法華寺, Hokke-ji?), est un temple bouddhiste situé à Nara au Japon.
Hokke-ji est construit en 745 par l'impératrice Kōmyō, à l'origine comme couvent sur l'emplacement où se trouvait le manoir de son père, Fujiwara no Fuhito. Selon les registres conservés par le temple, la construction initiale a duré jusqu'à environ 782. Le temple avait autrefois un grand complexe avec plusieurs salles et portes ainsi que deux pagodes.
|
Wikipedia détail |
365.Yakushi-ji |
Le Yakushi-ji (薬師寺) est un temple situé dans la partie sud-ouest de la ville de Nara. C'est le temple principal de la secte Hossô, la plus ancienne secte bouddhiste du Japon. Il est dédié au bouddha de la médecine : Yakushi Nyorai.
Le temple a été inscrit au patrimoine mondial en 1998 avec plusieurs autres temples de Nara (dont le Tōdai-ji, le Kōfuku-ji et le Kasuga-taisha).
|
Wikipedia détail |
366.Ryōsen-ji (Nara) |
Ryōsen-ji (霊山寺?) est un temple bouddhiste situé dans la ville de Nara au Japon. Fondé au VIIIe siècle, le hondō est un trésor national japonais et un certain nombre de bâtiments et de trésors du temple ont été classés biens culturels importants.
|
Wikipedia détail |
367.Enjō-ji |
L'Enjō-ji (円成寺?) est un temple bouddhiste shingon situé au nord-est de Nara au Japon. Quelques-uns de ses bâtiments et images ont été classés trésor national et bien culturel important, et ses jardins de la fin de l'époque de Heian sont répertoriés « site remarquable ».
|
Wikipedia détail |
368.Kōfuku-ji |
Le Kōfuku-ji (興福寺?) est un temple bouddhiste de la cité de Nara (préfecture de Nara, au Japon). C'est le temple familial des Fujiwara (藤原氏, Fujiwara-shi?) et le principal temple du bouddhisme Hossō-shū (法相宗). Il est également appelé, avec l'Enryaku-ji (延暦寺), Nanto-Hokurei (南都北嶺), terme désignant les deux temples les plus puissants pendant l'ère Heian : le Kōfuku-ji au sud (Nanto, ville du sud) et l'Enryaku-ji sur le mont Hiei, au nord (Hokurei, sommet du nord). Le temple fait partie depuis 1998 des monuments historiques de l'ancienne Nara inscrits au patrimoine mondial de l'UNESCO.
|
Wikipedia détail |
369.Tamukeyama Hachimangu |
Le sanctuaire de Tamukeyama Hachiman (手向山八幡宮, Tamukeyama Hachimangū?) est un sanctuaire Shinto proche du temple Tōdai-ji, ainsi que de la ville et préfecture de Nara, du Japon. C'est un temple d'Hachiman, dédié au kami Hachiman construit en 749. Parmi les Kamis consacrés ici, nous comptons L'empereur Ojin, L'empereur Nintoku, L'impératrice Jingū et L'empereur Chūai ainsi que le Kami de la guerre shinto Hachiman.
|
Wikipedia détail |
370.Shōsō-in |
Le Shōsō-in (正倉院?), le bâtiment du trésor du Tōdai-ji (東大寺?) à Nara (33 m de long, 9,4 m de large, 14 m de haut[1].) est divisé en trois parties : hokusō (北倉?, « magasin nord »), chūsō (中倉?, « magasin central ») et nansō (南倉?, « magasin sud »).
|
Wikipedia détail |
404.Pèlerinage de Shikoku |
Le pèlerinage de Shikoku (四国八十八箇所, Shikoku hachijū hakkasho?) est un pèlerinage effectué sur l'île de Shikoku au Japon et qui comprend 88 temples. C'est un pèlerinage circulaire consacré à Kōbō-Daishi, le fondateur du bouddhisme Shingon, mais on y retrouve des pèlerins de toutes les traditions.
En 2015, les 88 temples du pèlerinage de Shikoku sont désignés Japan Heritage.
|
Wikipedia détail |
405.Aizen-in |
Aizen-in (愛染院?) est un temple de l'école Kōya-san du Bouddhisme Shingon situé à Itano, préfecture de Tokushima au Japon. Le temple aurait été fondé par Kōbō Daishi en 815, qui a aussi sculpté la principale image de Fudō Myōō[1].
|
Wikipedia détail |
406.Anraku-ji (Kamiita) |
Anraku-ji (安楽寺?) est un temple bouddhiste de l'école Shingon situé à Kamiita, préfecture de Tokushima au Japon.
Anraku-ji est le sixième des quatre-vingt-huit temples du pèlerinage de Shikoku. On y accède, depuis le temple 5, Jizō-ji, après une marche d'environ 5 km.
Ce temple, comme plusieurs du pèlerinage, est un tsuyado, ce qui signifie qu'il offre le gîte aux pèlerins[1].
|
Wikipedia détail |
407.Onzan-ji |
Onzan-ji (恩山寺?) est le 18e temple du pèlerinage de Shikoku. Il est situé sur la municipalité de Komatsushima, préfecture de Tokushima, au Japon[1].
On y accède, depuis le temple 17, Ido-ji, après une marche d'environ 18 km en ville.
En 2015, le Onzan-ji est désigné Japan Heritage avec les 87 autres temples du pèlerinage de Shikoku.
|
Wikipedia détail |
408.Kakurin-ji (Tokushima) |
Kakurin-ji est le 20e temple du pèlerinage de Shikoku. Il situé sur la municipalité de Katsuura, préfecture de Tokushima, au Japon[1].
On y accède, depuis le temple 19, Tatsue-ji après une marche d'environ 15 km. L'arrivée est faite à la fin d'une montée d'environ 450 m, ce qui justifie son appellation de temple nansho.
|
Wikipedia détail |
409.Kirihata-ji (Awa) |
Le Kirihata-ji (切幡寺?) est un temple de la secte Kōya-san du bouddhisme Shingon situé dans la ville d'Awa, préfecture de Tokushima au Japon.
|
Wikipedia détail |
410.Kumadani-ji |
Le Kumadani-ji (熊谷寺?) est un temple de la secte Kōya-san du Bouddhisme Zen, situé dans la ville de Awa, préfecture de Tokushima au Japon. C'est le 8e des 88 temples de la route du pèlerinage de Shikoku, dont l'image principale est celle de Senjū Kannon. Le Kumadani-ji aurait été fondé par Kōbō Daishi au début du IXe siècle[1],[2]. Le hon-dō a été incendié en 1928 puis reconstruit[3]. Le daishi-dō, le tahōtō, le chūmon et le shōrō sont désignés propriétés culturelles préfectorales[4].
|
Wikipedia détail |
411.Gokuraku-ji (Naruto) |
Gokuraku-ji (極楽寺?) est un temple de l'école Kōya-san du Bouddhisme Shingon situé à Naruto, préfecture de Tokushima au Japon.
Gokuraku-ji est 2e temple sur la route du pèlerinage de Shikoku. On y accède, depuis le temple 1 Ryōzen-ji, par une marche d'environ 1,5 km en ville.
Son image principale est celle d'Amida Nyorai, la divinité de la lumière. La statue aurait été sculptée par Kukai Le temple aurait été fondé par Gyōki[1],[2].
|
Wikipedia détail |
412.Konsen-ji |
Le Konsen-ji (金泉寺?) est un temple de la secte Kōya-san du Bouddhisme Shingon situé dans la ville d'Itano, préfecture de Tokushima au Japon.
C'est le 3e des 88 temples de la route du pèlerinage de Shikoku. On y accède, depuis le temple 2 Gokuraku-ji, après une marche d'environ 3 km en ville.
Son image principale est celle de Shaka Nyorai. Konsen-ji aurait été fondé par Gyōki. Kukai aurait par la suite reconstruit l'édifice et donné son nom au temple. Il a été reconstruit au cours de l'époque d'Edo après avoir été incendié par les Chōsokabe[1],[2].
|
Wikipedia détail |
413.Jizō-ji |
Jizō-ji (大日寺?) est un temple de l'école Omuro du Bouddhisme Shingon situé à Itano, préfecture de Tokushima au Japon.
Jizō-ji est le 5e temple sur la route du pèlerinage de Shikoku. On y accède, depuis le temple 4 Dainichi-ji, après une marche d'environ 2 km.
L'image principale est celle d'Enmei Jizō Bosatsu. Le temple aurait été fondé par Kōbō Daishi qui en a gravé l'image[1],[2]. Le hondō (1711–16), le daishidō (1711–16), le fudōdō (1751–1830), le kyōgura (1810) et le Gohyakurakandō (1922) ont tous été inscrits dans le registres du patrimoine culturel du Japon[3],[4],[5],[6],[7].
|
Wikipedia détail |
414.Jūraku-ji |
Le Jūraku-ji (十楽寺?) est un temple de la secte Kōya-san du Bouddhisme Shingon, situé dans la ville d'Awa, préfecture de Tokushima au Japon.
C'est le 7e temple sur la route du pèlerinage de Shikoku. On y accède, depuis le temple 6 Anraku-ji, après une marche d'environ 1,5 km.
L'image principale en est celle d'Amida Nyorai. Le temple aurait été fondé par Kōbō Daishi qui en a sculpté l'image[1],[2],[3]. Le hall principal actuel date de l'ère Meiji (1868-1912), mais possède des statues de l'ère Kamakura (1185-1333). À la gauche du hall, on voit une statue de Jizō Bosatsu qui, selon les croyances, guérirait les problèmes oculaires[4].
|
Wikipedia détail |
415.Shōsan-ji |
Le temple Shōsan-ji (焼山寺) est le 12e temple du pèlerinage de Shikoku, sur l'île de Shikoku, au Japon.
On y accède, depuis le temple 11 Fujii-dera après une longue journée de marche en montagne. Shōsan-ji est situé à une altitude de 706 m, c’est le deuxième plus haut temple du pèlerinage[1].
En 2015, le Shōsan-ji est désigné Japan Heritage avec les 87 autres temples du pèlerinage de Shikoku.
|
Wikipedia détail |
416.Taisan-ji (Kamiita) |
Taisan-ji (大山寺?) est un temple bouddhiste de la secte Shingon situé à Kamiita, préfecture de Tokushima au Japon. Il aurait reçu la visite de Kōbō Daishi, sa principale image de vénération est celle de Senjū Kannon[1]. Le shōrō et le kairō de 1830-1368, le hon-dō (milieu de l'époque d'Edo) et le daishidō (1863) sont tous inscrits au registre du patrimoine culturel. Le temple a été restauré en 1985[2],[3],[4],[5]. Un réceptacle de bronze contenant des documents datant de 1126 a été désigné bien culturel important du Japon[6],[7].
|
Wikipedia détail |
417.Dainichi-ji |
Dainichi-ji (大日寺?) est un temple de l'école Kōya-san du bouddhisme Shingon. Il est situé à Itano, dans la préfecture de Tokushima au Japon.
C'est le 4e temple du pèlerinage de Shikoku. On y accède, depuis le temple 3 Konsen-ji, après une marche en ville d'environ 5 km en ville. Il est situé sur une colline à une altitude de 73 m.
|
Wikipedia détail |
418.Tairyū-ji |
Tairyū-ji est le 21e temple du pèlerinage de Shikoku au Japon.
|
Wikipedia détail |
419.Tatsue-ji |
Tatsue-ji (立江寺?) est le 19e temple du pèlerinage de Shikoku.
Il est situé sur la municipalité de Komatsushima, préfecture de Tokushima, au Japon[1].
On y accède, depuis le temple 18, Onzan-ji, après une marche d'environ 4,5 km en ville.
En 815, Kūkai est venu à cet endroit pour y sculpter une statue de Jizō. Le temple est un des temple sekisho, une forme de point de contrôle spirituel, où le pèlerin sera autorisé à continuer ou devra recommencer le pèlerinage. C'est cependant le seul temple sekisho qui n'est pas atteint après une montée essoufflante.
|
Wikipedia détail |
420.Dōgaku-ji |
Le Dōgaku-ji (童学寺?) est un temple de l'école Zentsū-ji du Bouddhisme Shingon, situé dans le bourg d'Ishii, préfecture de Tokushima, au Japon. La statue en bois de Yakushi Nyorai assis datant de l'époque de Heian est classée bien culturel important du Japon[1],[2]. Le temple est le deuxième des vingt Bangai du pèlerinage Shikoku[3],[4].
|
Wikipedia détail |
421.Tōrin-in (Naruto) |
Le Tōrin-in (東林院?), aussi connu sous le nom Takamine-daishi (種蒔大師?), est un temple bouddhiste situé dans la ville de Naruto, préfecture de Tokushima au Japon.
C'est le oku-no-in du Ryōzen-ji, premier des 88 temples de la route du pèlerinage de Shikoku.
|
Wikipedia détail |
422.Byōdō-ji (Anan) |
Byōdō-ji est le 22e temple du pèlerinage de Shikoku.
Il situé sur la municipalité de Anan, préfecture de Tokushima, au Japon[1].
On y accède, depuis le temple 21, Tairyū-ji après une marche d'environ 10 km en montagne.
Selon la légende, Kukai aurait creusé un puits dont jaillit une eau blanche laiteuse (hakusui) dotée de propriétés curatives pour plusieurs maladies[2].
|
Wikipedia détail |
423.Fujii-dera (Yoshinogawa) |
Le Fujii-dera est le 11e temple du pèlerinage de Shikoku. Il est situé dans la municipalité de Yoshinogawa, dans la préfecture de Tokushima, au Japon[1].
On y accède depuis le Hōrin-ji (temple no 10) après une marche d'environ 10 km en ville et la traversée de la rivière Yoshino.
Le sanctuaire fut fondé en 815 par le moine Kūkai. Le bâtiment actuel date de 1860.
|
Wikipedia détail |
424.Hōrin-ji (Awa) |
Le Hōrin-ji (法輪寺?) est un temple de la secte Kōya-san du Bouddhisme Shingon, situé dans la ville d'Awa, préfecture de Tokushima au Japon. C'est le 9e temple de la route du pèlerinage de Shikoku, l'image principale est celle de Parinirvana Shaka Nyorai. Le temple aurait été fondé par Kōbō Daishi, qui en a sculpté l'image[1],[2],[3]
|
Wikipedia détail |
425.Yakuō-ji (Minami, Tokushima) |
Yakuō-ji est le 23e temple du pèlerinage de Shikoku. Il situé sur la municipalité de Minami, préfecture de Tokushima, au Japon[1]. C'est le dernier temple de la préfecture de Tokushima.
On y accède, depuis le temple 22, Byōdō-ji après une marche d'environ 20 km.
Le temple a été fondé par le moine Gyōki. En 815, Kukai l'a visité pour y prier[2].
|
Wikipedia détail |
426.Ryōzen-ji (Naruto) |
Le Ryōzen-ji (霊山寺?) (litt. « temple du pic du vautour ») est un temple bouddhiste de la branche Kōya-san du bouddhisme Shingon, situé dans la ville de Naruto, préfecture de Tokushima au Japon. C'est le premier des quatre-vingt-huit temples sur la route du pèlerinage de Shikoku, l'image principale de vénération en est celle de Shaka Nyorai. Le Ryōzen-ji aurait été fondé par Gyōki durant l'ère Tenpyō (VIIIe siècle), ses bâtiments sont des remplacements plus récents après des dommages causés par des incendies[1],[2],[3]. Situé à proximité du point de passage pour les pèlerins de la région du Kansai, Yūben Shinnen identifie le temple comme étant le premier du pèlerinage dans son Shikoku henro michishirube de 1687 et les guides suivants ont emboîté le pas[4]. Il est de coutume de revenir à Ryozen-ji comme une visite orei mairi ou acte de remerciement après avoir terminé le pèlerinage, bien que cela semble être un phénomène relativement récent[5],[6].
|
Wikipedia détail |
427.Awa Kokubun-ji |
Kokubun-ji est le 15e temple du pèlerinage de Shikoku au Japon.
|
Wikipedia détail |
428.Ido-ji |
Ido-ji (井戸寺?) est le 17e temple du pèlerinage de Shikoku. Il est situé sur la municipalité de Tokushima, préfecture de Tokushima, au Japon[1].
Il fut fondé par l'empereur Tenmu.
On y accède, depuis le temple 16, Kannon-ji, après une marche d'environ 3 km en ville.
En 2015, le Ido-ji est désigné Japan Heritage avec les 87 autres temples du pèlerinage de Shikoku.
|
Wikipedia détail |
429.Kan'on-ji |
Kan'on-ji (観音寺?, temple de Kan'on) est le 16e temple du pèlerinage de Shikoku. Il est situé sur la municipalité de Tokushima, préfecture de Tokushima, au Japon[1],[2].
|
Wikipedia détail |
430.Jōraku-ji |
Joraku-ji le 14e temple du pèlerinage de Shikoku au Japon.
|
Wikipedia détail |
431.Dainichi-ji (Tokushima) |
Le temple Dainichi-ji est le 13e temple du pèlerinage de Shikoku, ville de Tokushima, préfecture de Tokushima, sur l'île de Shikoku, au Japon[1].
On y accède, depuis le temple 12 Shosan-ji après une journée de marche en montagne. Dainichi-ji est situé au pied de la montagne.
En 2015, le Dainichi-ji est désigné Japan Heritage avec les 87 autres temples du pèlerinage de Shikoku.
|
Wikipedia détail |
459.Pèlerinage de Shikoku |
Le pèlerinage de Shikoku (四国八十八箇所, Shikoku hachijū hakkasho?) est un pèlerinage effectué sur l'île de Shikoku au Japon et qui comprend 88 temples. C'est un pèlerinage circulaire consacré à Kōbō-Daishi, le fondateur du bouddhisme Shingon, mais on y retrouve des pèlerins de toutes les traditions.
En 2015, les 88 temples du pèlerinage de Shikoku sont désignés Japan Heritage.
|
Wikipedia détail |
460.Iwamoto-ji |
Iwamoto-ji (岩本寺?) est le 37e temple du pèlerinage de Shikoku. Il situé sur la municipalité de Shimanto, préfecture de Kōchi, au Japon[1].
On y accède, depuis le temple 36 Shōryū-ji, après une marche d'environ 57 km. Les derniers kilomètres sont en montagne. Le temple est situé à une altitude de 211 m.
|
Wikipedia détail |
461.Enkō-ji (Sukumo) |
Le Enkō-ji (延光寺?) est un temple du bouddhisme Shingon situé à Sukumo, dans la préfecture de Kōchi au Japon. C'est le 39e des 88 temples de la route du pèlerinage de Shikoku.
|
Wikipedia détail |
462.Kiyotaki-ji |
Kiyotaki-ji (清滝寺?, Temple de Kiyotaki) est le 35e temple du pèlerinage de Shikoku.
Il situé sur la municipalité de Tosa, préfecture de Kōchi, au Japon[1].
On y accède, depuis le temple 34 Tanema-ji, après une marche d'environ 10 km. Il est situé sur une colline, à une altitude de 131 m. la colline est plantée d'agrumes. Les pèlerins à pied doivent gravir de longues marches qui passent par une porte principale décorée de dragons finement sculptés.
|
Wikipedia détail |
463.Kōnomine-ji |
Kōnomine-ji (神峯寺?) est le 27e temple du pèlerinage de Shikoku. Il situé sur la municipalité de Yasuda, préfecture de Kōchi, au Japon[1].
On y accède, depuis le temple 26 Kongōchō-ji, après une marche d'environ 28 km. Il est situé sur une colline à une altitude de 424 m. L'arrivée est essouflante.
|
Wikipedia détail |
464.Kongōchō-ji |
Kongōchō-ji (金剛頂寺?) est le 26e temple du pèlerinage de Shikoku. Il est situé sur la municipalité de Muroto, préfecture de Kōchi, au Japon[1].
On y accède depuis le temple 25, Shinshō-ji, après une marche d'environ 4 km au bord de la mer. Le temple est situé sur une colline, l'arrivée se fait par une montée essoufflante de 160 m.
|
Wikipedia détail |
465.Kongōfuku-ji |
Le Kongōfuku-ji (金剛福寺?) est le 38e temple du pèlerinage de Shikoku. Il se trouve dans la municipalité de Tosa-shimizu, préfecture de Kōchi, au Japon[1].
On y accède après une marche d'environ 83 km depuis le temple 37 Iwamoto-ji. Il est situé près du cap Ashizuri, le point le plus au sud de l'île de Shikoku.
|
Wikipedia détail |
466.Shōryū-ji |
Shōryū-ji (青竜寺?) est le 36e temple du pèlerinage de Shikoku. Il situé sur la municipalité de Tosa, préfecture de Kōchi, au Japon[1].
On y accède, depuis le temple 35 Kiyotaki-ji, après une marche d'environ 14 km. Il est situé sur la péninsule de Yokonami, qui s'avance dans l'océan Pacifique, parallèle à la rive de la ville de Tosa, créant une crique profonde appelée Uranouchi Bay. Jusqu'à récemment, les pèlerins prenaient un ferry pour traverser l'embouchure de la crique. Aujourd'hui, un pont facilite la courte traversée.
|
Wikipedia détail |
467.Shinshō-ji |
Shinshō-ji (津照寺?) est le 25e temple du pèlerinage de Shikoku. Il est situé au cap Muroto sur la municipalité de Muroto, préfecture de Kōchi, au Japon[1].
On y accède depuis le temple 24, Hotsumisaki-ji, après une marche d'environ 6,5 km au bord de la mer.
Kūkai a fondé ce temple en 807. Il y a sculpté la statue de Enmei Jizō Bosatsu[2].
|
Wikipedia détail |
468.Sekkei-ji |
Sekkei-ji (雪蹊寺?) est le 33e temple du pèlerinage de Shikoku.
Il situé sur la municipalité de Kōchi, préfecture de Kōchi, au Japon[1].
On y accède, depuis le temple 32 Zenjibu-ji, après une marche d'environ 8 km.
Selon la tradition, Kukai a fondé ce temple au début du IXe siècle sous le rite Shingon pendant l'ère Enryaku (782-806). Durant l'ère Tenshō (1573-1592), le temple a été attribué à la secte Rinzai qui appartient au rite zen du bouddhisme. Le seigneur de guerre (Daimyo) Chōsokabe Motochika en a fait à cette période son temple familial.
|
Wikipedia détail |
469.Zenjibu-ji |
Zenjibu-ji (禅師峰寺?) est le 32e temple du pèlerinage de Shikoku. Il situé sur la municipalité de Nankoku, préfecture de Kōchi, au Japon[1].
Le nom zenjibu-ji signifie « temple du sommet des maîtres ch'an », il appartient donc au rite zen du bouddhisme.
On y accède depuis le temple no 31, Chikurin-ji, après une marche d'environ 6 km. Il est situé sur une colline à une altitude de 89 m. La terrasse offre une vue sur la baie de Tosa.
|
Wikipedia détail |
470.Zenraku-ji |
Zenraku-ji (善楽寺?) est le 30e temple du pèlerinage de Shikoku. Il est situé sur la municipalité de Kōchi, (préfecture de Kōchi), au Japon[1],[2],[3]..
Zenraku-ji est un temple bouddhiste Shingon. On y accède, depuis le temple 29 Tosa Kokubun-ji, après une marche d'environ 7 km en ville.
Le premier temple Zenraku-ji fut construit au 9e siècle. En 1868, lors de la séparation du bouddhisme et du shintoisme à l'ère Meiji, la statue de Amida Nyorai a été déplacée au temple Anraku-ji (Kōchi) situé plus au nord, qui était alors le 30e temple.
|
Wikipedia détail |
471.Temple Daizen-ji |
Le temple Daizen-ji se situe sur une colline dans la ville de Susaki, préfecture de Kôchi et appartient à la branche religieuse Kōyasan Shingon-shū (こうやさんしんごんしゅう)[1]. |
Wikipedia détail |
472.Dainichi-ji (Kōnan) |
Dainichi-ji (大日寺?) est le 28e temple du pèlerinage de Shikoku. Il situé sur la municipalité de Kōnan, préfecture de Kōchi, au Japon[1].
Comme la majorité des temples du pèlerinage, il appartient au rite Shingon du bouddhisme.
On y accède, depuis le temple 27 Kōnomine-ji, après une marche d'environ 38 km. Il est situé sur une colline à une altitude de 73 m.
|
Wikipedia détail |
473.Tanema-ji |
Tanema-ji (種間寺?) est le 34e temple du pèlerinage de Shikoku.
Il situé sur la municipalité de Kōchi, préfecture de Kōchi, au Japon[1].
On y accède, depuis le temple 33 Sekkei-ji, après une marche d'environ 6,5 km.
Tanema-ji signifie "temple des semences". La légende dit que Kukai y aurait semé cinq sortes de graines: du riz, du blé. des fèves et deux sortes de millet; qu'il avait rapporté de Chine.
|
Wikipedia détail |
474.Chikurin-ji (Kōchi) |
Le Chikurin-ji (竹林寺?) est un temple bouddhiste de la secte Shingon situé à Kōchi, préfecture de Kōchi au Japon[1].
C'est le 31e des 88 temples sur la route du pèlerinage de Shikoku. On y accède, depuis le temple 30 Zenraku-ji, après une marche d'environ 6 km en ville. Le temple est situé sur le Mont Godai, une colline d'une altitude de 121 m.
|
Wikipedia détail |
475.Tosa Kokubun-ji |
Tosa Kokubun-ji (土佐 国分寺?) est le 29e temple du pèlerinage de Shikoku. Il est situé sur la municipalité de Nankoku, préfecture de Kōchi, au Japon[1].
Tosa Kokubun-ji appartient au réseau de monastères Kokubun-ji établis dans chaque province du Japon sur ordre de l'empereur Shōmu au début du IXe siècle. Tosa est le nom de la province, maintenant nommée préfecture de Kōchi. C'est le deuxième temple Kokubun-ji après le temple 15 dans la préfecture de Tokushima.
|
Wikipedia détail |
476.Hotsumisaki-ji |
Hotsumisaki-ji (最御崎寺?) est le 24e temple du pèlerinage de Shikoku. Il est situé au cap Muroto sur la municipalité de Muroto, préfecture de Kōchi, au Japon. C'est le premier temple de la préfecture de Kōchi[1].
On y accède depuis le temple 23, Yakuō-ji, après une marche d'environ 76 km au bord de la mer. Une ascension de 300 m de dénivelé termine cette marche.
|
Wikipedia détail |