1.Kōzan-ji |
Le Kōzan-ji (高山寺?, « Temple de haute montagne »), ou Toganoo-san Kōsan-ji (栂尾山高山寺?), est un temple bouddhiste Omuro à Ume-ga-hata Toganoo-chō, dans l'arrondissement de Ukyō, à Kyoto au Japon. Le temple, fondé par le célèbre moine Myōe est renommé pour ses nombreux trésors nationaux et ses biens culturels importants, en particulier le fameux rouleau peint appelé Chōjū-giga. Le temple célèbre Biyakkōshin, Zenmyōshin et Kasuga Myojin, ainsi que sa divinité tutélaire shintoïste. En 1994, il est inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO au titre de « monuments historiques de l'ancienne Kyoto ».
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2.Kōryū-ji |
Le Kōryū-ji (広隆寺?) est un temple shingon situé à Uzumasa, arrondissement d'Ukyō de la ville de Kyoto au Japon, aussi connu sous les noms Uzumasa-dera (太秦寺?)[1] et Kadono-dera (葛野寺?), anciennement appelé Hatanokimi-dera (秦公寺?), Hachioka-dera (蜂岡寺?) et Hōkō-ji (蜂岡寺?).
Kōryū-ji a été construit en 603 par Hata no Kawakatsu après avoir reçu une statue bouddhiste de la part du prince Shōtoku, ce qui en ferait le plus ancien temple de Kyoto. Des incendies en 818 et 1150 ont entièrement détruit le complexe du temple qui a été reconstruit plusieurs fois depuis[2].
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3.Shunkō-in |
Le Shunkō-in (春光院) est un temple bouddhiste Zen situé à Kyoto (Japon) qui appartient à l'école Myōshin-ji (« temple de l'esprit excellent »), qui est la plus importante des 14 écoles japonaises Rinzai du Bouddhisme Zen. Le temple est fondé en 1590 par Horio Yoshiharu, seigneur féodal, (daimyo), du domaine de Matsue dans l'actuelle préfecture de Shimane. Ce temple abrite d'importants objets historiques qui reflètent l'atmosphère religieuse et artistique multiforme au Japon à partir du XVIe siècle.
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4.Jingo-ji |
Le Jingo-ji (神護寺?) est un temple bouddhiste de Kyoto situé sur le mont Takao, au nord-ouest du centre de la ville. Le temple est de confession bouddhiste shingon. Son honzon est une statue de Yakushi Nyorai, le Bouddha de la guérison ou « Bouddha médecin ».
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5.Seiryō-ji |
Le Seiryō-ji (清凉寺?) est un temple bouddhiste situé à Saga dans l'arrondissement d'Ukyō-ku de Kyoto au Japon, aussi connu sous le nom Saga Shaka-dō. Le temple est consacré à la pratique du Yūzū nembutsu shū. Le temple appartient d'abord à la secte Kegon puis devient un temple de l'école bouddhique de la Terre pure. Le honzon est une image de Gautama Buddha (Shaka-nyorai). La statue en bois est désignée Trésor national du Japon. Seiryō-ji possède également des statues (Trésor national) de la trinité (Amida) Amitābha, ainsi que d'autres Trésors nationaux et des Biens culturels importants[1],[2].
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6.Daikaku-ji |
Le Daikaku-ji (大覚寺, Daikaku-ji?) est un temple bouddhique Shingon situé dans l'arrondissement Ukyō-ku dans la banlieue ouest de Kyoto au Japon. Les principales images sont celles des cinq rois du savoir, centrées sur Fudō. C'est d'abord une villa de l'empereur Saga (785-842) d'où plus tard l'empereur retiré Go-Uda dirige son gouvernement cloîtré. Une école d'ikebana, le Saga-goryū, est installée dans le temple. Le lac artificiel du temple, l'étang d'Osawa, est un des plus anciens étangs de jardin japonais de l'époque de Heian encore existants[1].
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7.Taizō-in |
Le Taizō-in (退蔵院?) est le plus ancien sous-temple (tatchū (塔頭?) du temple bouddhiste Zen Rinzai Myōshin-ji, situé au nord-ouest de Kyoto au Japon. Il est fondé par le prêtre Zen Muinsoin en 1404. Les bâtiments originaux du temple sont incendiés durant la guerre d'Ōnin (1467-1477) puis reconstruits ultérieurement.
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8.Tsukinowa-dera |
Tsukinowa-dera ou Gatsurin-ji (月輪寺?) est un temple bouddhiste situé près du mont Atago dans l'arrondissement d'Ukyō-ku à Kyoto au Japon. Le temple, fondé en 781, est associé aux pratiques Shugendō de Kūya et Hōnen. Ses trésors comprennent huit statues de l'époque de Heian. Les images d(Amida Nyorai et Kūya chantant le nembutsu font partie des biens culturels importants du Japon[1],[2].
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9.Tenryū-ji |
Le Tenryū-ji (天龍寺?) est un temple bouddhiste zen relevant de l'école Rinzai. Fondé en 1345 par le shogun Takauji Ashikaga (足利 尊氏, 1305-1358) et le moine Musō Soseki (夢窓疎石, 1275-1351), c'est le temple principal de la branche Rinzai Tenryū-ji et le premier des gozan (五山?, cinq grands temples) de Kyōto).
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10.Tōrin-in |
Le Tōrin-in (東林院, Tōrin-in?, « cloître des bois de l'est ») est un sous-temple du complexe de temple Myōshin-ji à Kyoto au Japon. En tant que tel, il est affilié à l'école Myōshin-ji du Bouddhisme Zen japonais Rinzai.
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11.Nison-in |
Le Nison-in (二尊院?) est un complexe de temple bouddhiste Tendai situé dans l'arrondissement Ukyō-ku, quartier occidental de Kyoto au Japon. Le nom officiel du temple est Ogura-yama Nison-kyō-in Keidai-ji (小倉山 二尊教院 華台寺, Ogura-yama Nison-kyō-in Keidai-ji?)[1]. Le temple est une destination populaire pendant la saison d'observation érable japonais (la saison momiji)[2].
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12.Ninna-ji |
Le Ninna-ji est un temple bouddhiste japonais de la secte shingon, fondé en 888 par l'empereur Uda et faisant partie des monuments historiques de l'ancienne Kyōto inscrits au patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 1994.
À la fin de son règne, l'empereur Uda devint prêtre et se retira au temple de Ninna-ji qui était également appelé « ancien palais impérial d'Omuro ». De 888 à 1869, il était de coutume que les empereurs régnants y envoient un de leurs fils pour occuper la fonction de grand prêtre.
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13.Myōshin-ji |
Le Myōshin-ji (妙心寺?) est un temple situé à Kyōto au Japon. L'école Myōshin-ji du bouddhisme zen Rinzai est la plus grande école de Rinzai. Cette école dispose de plus de 3 000 temples à travers tout le Japon ainsi que de dix-neuf monastères.
Le premier temple fut fondé en 1342 par le maître Kanzan-Egen Zenji (1277-1360). La plupart des temples furent détruits pendant la guerre d'Ōnin en 1467 mais beaucoup ont été reconstruits depuis.
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14.Ryōan-ji |
Ryōan-ji (竜安寺 / 龍安寺[1]?, littéralement « Temple du repos du dragon ») est un temple zen situé dans le nord-ouest de Kyōto, construit au xvie siècle, à l'époque de Muromachi. Il fait partie du Patrimoine mondial de l'UNESCO, étant l'un des monuments historiques de l'ancienne Kyoto. Le temple appartient à l'école Myōshin-ji de la branche rinzai du bouddhisme zen. Le site du temple appartenait à l’origine au clan Fujiwara.
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15.Shōkoku-ji |
Le Shōkoku-ji (相国寺, Shōkoku-ji?) est un temple bouddhiste zen relevant de l'école Rinzai fondé à Kyoto en 1382 par le shogun Yoshimitsu Ashikaga et le moine Musō Soseki. C'est le deuxième des gozan (五山, cinq grands temples) de Kyoto. Le temple est le chef de file de l'une des quatorze branches autonomes de cette école.
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16.Daihōon-ji |
Le Daihōon-ji (大報恩寺 (?)) est un temple bouddhiste situé dans l'arrondissement Kamigyō-ku, à Kyoto, au Japon. Il est affilié au bouddhisme Shingon-shū Chizan-ha. Son batiment principal (本堂 (hondō?)), appelé Senbon Shakadō (千本釈迦堂?), est un trésor national du Japon.
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17.Honzen-ji |
Le Honzenji (本禅寺) est un temple bouddhiste à Kyoto.
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18.Hōjō-ji |
Le Hōjō-ji (法成寺) était un temple bouddhiste de Kyōto qui fut à une époque l'un des principaux temples du bouddhisme japonais.
Le temple fut construit aux environs de 1017 par Fujiwara no Michinaga. La consécration de sa Salle d'Or en 1022 est détaillée dans l'épopée historique appelée Eiga Monogatari (栄花物語). L'empereur Go-Ichijō lui-même dirigeant la cérémonie, tous les efforts furent faits pour qu'elle fût aussi luxueuse et parfaite que possible.
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19.Ōbai-in |
L’Ōbai-in (黄梅院?) est un sous-temple du Daitoku-ji à Kyoto au Japon. Le hon-dō (1586) et le kuri (1589) sont désignés « biens culturels importants »[1],[2]. Les peintures monochrome fusuma de l'époque Azuchi Momoyama Sept ermites dans un bosquet de bambous (16 panneaux), Paysage avec personnages (14 panneaux) et Oies (14 panneaux), par Unkoku Tōgan (1588), sont également désignés « biens culturels importants »[3],[4],[5],[6]. La tête décapitée de la statue de Sen no Rikyū, à la position considérée comme arrogante par Toyotomi Hideyoshi, était autrefois conservée à l'Obai-in[7].
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20.Kōtō-in |
Le Kōtō-in (高桐院?) est un sous-temple du Daitoku-ji fondé par Hosokawa Tadaoki, situé à Kyoto au Japon. Il y a une salle de thé, le Shōkō-ken et les jardins sont réputés pour leur momiji[1]. Une paire de rouleaux suspendus monochromes de la dynastie Song du sud avec paysage est désignée Trésor national du Japon[2]. De nombreuses œuvres sont exposées tous les ans au mois d'octobre[3].
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21.Jukō-in |
Le Jukō-in (聚光院?) est un temple mineur du Daitoku-ji, à Kyoto au Japon. Fondé en 1566 comme temple mortuaire pour Miyoshi Nagayoshi, Sen no Rikyū le destine en 1589 à être le temple mortuaire de sa famille[1]. Le « Hondō » (bâtiment principal) (1583) et le chashitsu (1739) sont des biens culturels importants du Japon et les jardins ont été désignés « paysages pittoresques »[2],[3],[4]. Une peinture de Miyoshi Nagayoshi (1566) est aussi répertoriée comme bien culturel important[5].
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22.Sōken-in |
Le Sōken-in (総見院?) est un sous-temple du Daitoku-ji à Kyoto au Japon. Il est fondé par Toyotomi Hideyoshi en 1582 comme temple funéraire d'Oda Nobunaga. Hideyoshi accorde trois cents koku au temple et organise son célèbre rassemblement de thé au Daitoku-ji dans son parc en 1585. Au cours des premières années de l'ère Meiji son enceinte est démolie et ses trésors déplacés; Le Sōken-in est restauré en 1926[1]. La statue en bois d'Oda Nobunaga assis datant de 1583, laquée, avec yeux incrustés et une inscription sur la base, bien culturel important , est restituée en 1961[1],[2]. Les funérailles de Nobunaga et la fondation du sous-temple par Hideyoshi « avec le meilleur bois disponible, une chose remarquable à voir », sont rapportées par le missionnaire portugais Luís Fróis dans son História de Japam contemporain[3].
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23.Daisen-in |
Daisen-in (en japonais, 大仙院, « l'école du grand ermite ») est un temple bouddhiste zen situé dans le nord de Kyōto. Le temple fait partie d'un ensemble de temples plus vaste dont il est un temple secondaire : le Daitoku-ji, classé trésor national du Japon.
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24.Daitoku-ji |
Le Daitoku-ji (大徳寺?, littéralement « temple de la grande vertu ») est un temple bouddhiste relevant de l'école zen rinzai, situé dans le nord de Kyoto au Japon[1]. Il est constitué d'un complexe de plusieurs temples secondaires et porte également le nom de la montagne Ryuhozan (龍宝山?, littéralement « la montagne du trésor du dragon »).
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25.Tōji-in |
Le Tōji-in (等持院?) est un temple bouddhiste de la secte Tenryū du Bouddhisme Rinzai situé dans l'arrondissement de Kita-ku à Kyoto au Japon, et un des deux temples funéraires (bodaiji) dédiés à Ashikaga Takauji, premier shogun de la dynastie Ashikaga. Son principal objet de vénération est Shakyamuni[1], et son suffixe honorifique sangō est Mannenzan (萬年山?).
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26.Ryōgen-in |
Le Ryōgen-in (龍源院) est un sous-temple du complexe bouddhiste Daitoku-ji situé dans l'arrondissement de Kita-ku de Kyoto au Japon. Sa construction remonte à 1502.
Cinq jardins attribués à Sōami jouxtent la résidence de l'abbé, dont le Totekiko (présenté comme le plus petit jardin sec japonais), l'Isshi-dan, le Koda-tei et le Ryogin-tei (jardin recouvert de mousse, prétendument le plus ancien jardin de Daitoku-ji).
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27.Kinkaku-ji |
Le Kinkaku-ji (金閣寺?, litt. « temple du Pavillon d'or ») est le nom usuel du Rokuon-ji (鹿苑寺?, litt. « temple impérial du jardin des cerfs ») situé à Kyōto au Japon.
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28.Enkō-ji |
Le Enkō-ji (円光寺?) est un temple bouddhiste Zen situé près de la Villa impériale Shugakuin à Sakyō-ku, Ichijo-ji, Kotani-cho, au nord-est de Kyoto au Japon. Il est renommé pour son changement de couleur des feuilles et son suikinkutsu.
Liste de temples bouddhistes à Kyoto
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29.Kurama-dera |
Le Kurama-dera (鞍馬寺?) est un temple bouddhiste situé à l'extrême nord de Kyoto au Japon qui abrite quelques trésors nationaux. Il est membre de la secte Tendai et subordonné au Shōren-in depuis le XIIe siècle jusqu'en 1949 quand il fonde sa propre entité religieuse. L'objet de culte est ésotérique et unique au temple. Il passe pour avoir été fondé par un disciple de Jianzhen.
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30.Konpuku-ji |
Le Konpuku-ji (金福寺?) est un temple bouddhiste zen situé dans le quartier Sakyō-ku à Kyoto au Japon.
En 864, en accord avec le dernier souhait d'Ennin, le prêtre bouddhiste An'e construit ce temple et y installe une statue de Kannon faite par Ennin lui-même[1]. Au début, le Konpuku-ji appartient à la secte Tendai mais finalement il tombe en ruine. Durant l'ère Genroku (1688-1704), le temple est restauré par Tesshu du Enkō-ji voisin dont il devient une branche. Il passe alors à la secte Rinzai.
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31.Sanzen-in |
Le Sanzen-in (三千院?), aussi appelé Ōjō Gokuraku-in, est un temple bouddhiste de l'école Tendai monzeki situé à Ōhara, Kyoto au Japon. La triade d'Amida Nyorai flanquée de serviteurs datant de l'époque de Heian est un trésor national[1],[2].
Page d'accueil de Sanzen-in homepage
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32.Ginkaku-ji |
Le Ginkaku-ji (銀閣寺?, le « temple du Pavillon d'argent ») est un temple bouddhiste situé dans l'arrondissement Sakyō-ku à Kyōto au Japon, et datant de la fin du XVe siècle.
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33.Shisen-dō |
Shisen-dō est un temple bouddhiste de l'école Sōtō du zen. Il se trouve dans le quartier de Sakyō-ku de la ville japonaise de Kyoto. Ce temple a été fondé en 1641 par Ishikawa Józan (1583-1672).
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34.Shōgo-in |
Le Shōgo-in (聖護院?) est un temple bouddhique japonais de Kyoto, affilié à l’école tendai et centre de la branche Honzan du Shugendō. Fondé au IXe siècle mais prenant son emplacement et sa fonction définitive en 1090, il s’agit d’un temple impérial (monzeki).
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35.Shinshōgokuraku-ji |
Le Shinshōgokuraku-ji (真正極楽寺?) ou Shinnyo-dō (真如堂?) est un temple bouddhiste de l'école Tendai situé à Kyoto. Il est fondé en 984 par le kaisan Shonin.
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36.Eikan-dō Zenrin-ji |
Le Eikan-dō Zenrin-ji (永観堂禅林寺?) est le premier temple de la branche Seizan de la secte japonaise bouddhiste Jōdo-shū (Terre pure), situé dans l'arrondissement de Sakyō-ku à Kyoto. Fondé par Shinshō, élève de Kūkai, il est renommé pour son changement de couleur des feuilles en automne et sa prééminence passée comme centre d'enseignement.
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37.Nanzen-ji |
Le Nanzen-ji (南禅寺) est un temple du bouddhisme zen situé à Kyōto au Japon. Il a été fondé en 1291 par l'empereur japonais Kameyama. Le Nanzen-ji est l'un des cinq grands temples zen de Kyōto. C'est aussi le quartier général de la branche Nanzen-ji, une des quatorze branches que compte l'école Rinzai [1].
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38.Manshu-in |
Le Manshu-in (曼殊院?), aussi appelé le Manshuin Monzeki, est un temple tendai situé près de la villa impériale Shugakuin à Sakyō-ku, Ichijo-ji, Takenouchi-cho, au nord-est de Kyoto au Japon.
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39.Nishi-Hongan-ji |
Le Nishi-Hongan-ji (西本願寺, Nishi-Hongan-ji?) ou « temple du vœu originel de l'ouest », est l'un des temples de l'école Jōdo shinshū à Kyōto.
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40.Higashi Hongan-ji |
L'Higashi Hongan-ji (東本願寺, Higashi Hongan-ji?), ou « temple oriental du vœu originel », est l'un des deux temples dominants de la secte Jōdo shinshū au Japon (dans l'arrondissement de Shimogyō-ku, à Kyoto) et à l'étranger, l'autre étant le Nishi-Hongan-ji (ou « temple occidental du vœu originel »). C'est aussi le nom du temple premier à Kyoto, ensemble de bâtiments construits en 1895 après qu'un incendie a brûlé le temple précédent[1]. Ce serait la plus grande construction en bois au monde.
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41.Bukkō-ji |
Le Bukkō-ji (佛光寺, Bukkō-ji?), aussi connu comme le « temple de la Lumière du Bouddha » - et d'abord appelé Kosho-ji - est un temple Jōdo Shinshū situé dans l'arrondissement Yamashina-ku à Kyoto, plus tard déplacé au cœur de Kyoto. Le temple est fondé et officiellement inauguré par Ryōgen en 1324. Le nom « Kosho-ji » est donné à Ryōgen pour le temple par Kakunyo, premier prêtre en chef du Hongan-ji. Alors que le Bukkō-ji est techniquement une branche Jōdo Shinshū indépendante, il a des liens étroits avec la lignée Hongan-ji depuis l'époque de Rennyo.
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42.Ikenobō |
L'école Ikenobō (池坊?) est la plus ancienne et la plus importante école de l'art floral japonais, l'ikebana.
Elle a été fondée au XVe siècle par le moine bouddhiste Senno. L'école est basée au temple Rokkaku-dō à Kyoto[1]. Le nom proviendrait d'un étang (ike) où le prince Shōtoku (聖徳太子) se serait baigné.
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43.Shinsen-en |
Le Shinsen-en est un jardin japonais situé à Kyoto.
Datant du début de la période Heian, il s'agit du plus ancien jardin de Kyoto. Son nom, « jardin de la source divine », est lié au principal des miracles dont la tradition, en fait l'emplacement : en 824, après une longue sécheresse, le moine Kūkai aurait, par ses prières, fait tomber la pluie et apparaître le dieu dragon Zennyo. Cette anecdote, ainsi que plusieurs autres, relatées dans le Taiheiki et le Konjaku monogatari shū, témoignent du caractère magique que l'histoire du Japon attache à ce lieu [1],[2].
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44.Honnō-ji |
Le Honnō-ji (本能寺?) est un temple bouddhiste de la secte Nichiren situé à Kyoto au Japon. Son honzon est le mandara-honzon (曼荼羅本尊) du daimoku.
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45.Saihō-ji |
Le Saihō-ji (西芳寺?, « le temple des fragrances de l'ouest ») est un temple bouddhiste zen situé dans la banlieue ouest de Kyoto. Le temple est surtout connu sous le nom de Kokedera (苔寺?, « temple des mousses »), à cause des 120 espèces de mousses qu'il abrite. Le temple, appartenant au courant Rinzai du bouddhisme, est dédié au bouddha Amitabha. Le temple est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en tant qu'héritage culturel faisant partie des temples de Kyoto.
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46.Hōrin-ji (Kyoto) |
Le Hōrin-ji (法輪寺?) est un temple bouddhiste shingon situé à Arashiyama, dans la préfecture de Kyoto au Japon. Le préfixe honoraire « sangō » est Chifuku-san (智福山?). Le temple aurait été construit par Gyōki en 713 AD et s'appelait à l'origine « Kadonoi-dera » (葛井寺?). Il est consacré à Akasagarbha.
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47.Yoshimine-dera |
Fondé en 1029 par le prêtre bouddhiste Gensan[1], le Yoshimine-dera (善峯寺?) est un temple bouddhiste de l'école tendai situé dans l'arrondissement occidental de Nishikyō-ku à Kyoto[2]. Il est construit sur les collines de l'ouest (Nishiyama) donnant sur la ville.
La principale image de dévotion est une statue de Kannon aux milles bras[3]. Ses caractéristiques notables comprennent le pin appelé « dragon glissant » (Yōryu no matsu, monument naturel), contraint pour croître horizontalement et qui autrefois atteignait plus de 50 mètres de long[4],[5] et un tahōtō, pagode à un étage désignée bien culturel important[3].
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48.Unryū-in |
Le Unryū-in (雲竜院?) est un sous-temple du Sennyū-ji de Kyoto. Fondé en 1372, il est reconstruit après les destructions dues à la guerre d'Ōnin[1]. Le hon-dō de 1646 (13,8 m x 12,9 m, de style irimoya-zukuri, avec toit à bardeaux, est un bien culturel important[2]. Le hōjō c'est-à-dire le quartier d'habitation de l'abbé date également de l'époque d'Edo[2]. Une copie du Sūtra du Lotus de l'époque de Kamakura est désignée « Bien culturel important »[3].
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49.Kennin-ji |
Le Kennin-ji (建仁寺?), ou Zuiryusan Kennin-ji (禅居庵 建仁寺?), est un temple bouddhiste zen d'obédience de l'école Rinzai situé dans l'arrondissement de Higashiyama-ku à Kyoto, au Japon, dans le district de Gion. On le connaît aussi sous le nom de Marishiten-dō (摩利支天堂?). Il fut fondé en 1202 par Eisai. C'est le temple principal de l'école zen Rinzai et le plus ancien du Japon où la doctrine zen fut enseignée la première fois.
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50.Kōdai-ji |
Le Kōdai-ji (高台寺?), au nom officiel de Jubuzan Kōdai-ji (鷲峰山高台寺, Jubuzan Kōdai-ji?), est un temple de l'école Rinzai du bouddhisme zen, situé dans l'arrondissement de Higashiyama-ku à Kyoto, au Japon, plus grand sous-temple de la branche Kennin-ji. Il est fondé en 1606 par Nene (souvent connu par le titre Kita no mandokoro et qui a pris le nom de Kōdai-in), la veuve de Toyotomi Hideyoshi, afin de prier pour son défunt mari. La principale image du temple est une statue de Shaka.
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51.Yasaka Kōshin-dō |
Le Yasaka Kōshin-dō (八坂庚申堂?), ou de son nom complet Daikoku-san Kongō-ji Kōshin-dō (大黒山金剛寺庚申堂?), est un petit temple situé dans l'arrondissement de Higashiyama-ku de Kyoto au Japon. Le temple se trouve dans le voisinage du Kiyomizu-dera.
Le temple est consacré à Kōshin-san (庚申さん?), surnom de son principal objet de culte Shōmen Kongō (青面金剛?), un guerrier protecteur bleu et aux « singes de la sagesse ». Ils représentent la foi Kōshin.
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52.Shōren-in |
Le Shōren-in (青蓮院?) est un temple bouddhiste situé dans l'arrondissement de Higashiyama-ku à Kyoto au Japon. Aussi connu sous le nom « palais Awata », il date de la fin du XIIIe siècle.
Le Shōren-in est un temple mortuaire pour la maison impériale. S'y trouve le tombeau officiel de l'empereur Hanazono[1].
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53.Seikan-ji |
Le Seikan-ji (清閑寺, Seikan-ji?) est un temple bouddhiste situé dans l'arrondissement de Higashiyama-ku à Kyoto au Japon. Le Seikan-ji est un petit temple mortuaire pour la maison impériale. S'y trouvent les tombeaux officiels de l'empereur Rokujō[1] et de l'empereur Takakura[2].
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54.Chion-in |
Le Chion-in (知恩院, Chion-in?) dans l'arrondissement de Higashiyama-ku à Kyoto, au Japon, est le siège du Jōdo-shū (secte de la Terre pure) fondé par Hōnen (1133-1212), qui a proclamé que les êtres renaissent dans le Paradis de l'Ouest du bouddha Amida (Terre pure) par la récitation du nianfo (nembutsu), le nom d'Amida Bouddha.
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55.Tōfuku-ji |
Le Tōfuku-ji (東福寺?) est un temple bouddhiste de l'arrondissement de Higashiyama-ku au sud-est de Kyoto, au Japon. Il a été fondé par Enni en tant que siège de l'école Rinzai de la tradition du bouddhisme zen japonais. Il fut construit entre 1236 et 1255 sur les ruines du Hosshō-ji, appartenant aux Fujiwara. C'est le quatrième des gozan (五山, cinq grands temples) de Kyōto.
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56.Hokan-ji |
Hokan-ji (法観寺, Hokanji?) est un temple de l'école bouddhique zen Rinzai situé au Japon, dans l'arrondissement de Higashiyama-ku de la ville de Kyoto. Il dépend du temple Kennin-ji et comprend la pagode de Yasaka.
La première pagode est érigée au VIe siècle pendant la période Asuka et a été reconstruite plusieurs fois. Détruit par un incendie en 1436, l'édifice actuel est reconstruit en 1440 par le sixième shogun, Ashikaga Yoshinori.
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57.Hōkō-ji (Kyoto) |
Le Hōkō-ji (方広寺?) est un temple bouddhiste à Kyoto au Japon, datant du XVIe siècle. Toyotomi Hideyoshi décide que la capitale doit avoir un temple Daibutsu qui surpassera celui de Nara. Il passe pour s'être vanté dès le début qu'il terminerait la construction dans la moitié du temps qu'il a fallu à l'empereur Shōmu pour terminer le Grand Bouddha de Nara. Le projet sous le règne de l'empereur Shomū prend dix ans. Hideyoshi termine la première phase de son projet en seulement trois ans[1]. Les architectes de cet édifice sont Nakamura Masakiyo et Heinouchi Yoshimasa[2].
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58.Hōjū-ji |
Le temple Hōjū (法住寺, Hōjū-ji?) est un temple bouddhiste de Kyōto qui fut, à une époque, la résidence de l'empereur retiré Go-Shirakawa.
Le temple fut à l'origine fondé par Fujiwara no Tamemitsu en 988, mais détruit en 1032 et reconstruit 120 ans plus tard.
En 1158, l'empereur Go-Shirakawa abdiqua en faveur de son fils l'empereur Nijō, devint empereur cloîtré et fit du Hōjū-ji sa demeure, baptisée Hōjū-ji dono (法住寺殿?, ou Hōjū-ji-den, litt. « Palais du temple Hōjū »). Cependant, en 1183, Go-Shirakawa fut informé par Minamoto no Yukiie que Minamoto no Yoshinaka voulait le capturer, fonder un nouveau gouvernement dans le Nord, et utiliser sa possession de l'ancien empereur pour justifier son règne.
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59.Manju-ji |
Le Manju-ji (万寿寺?) est un temple bouddhiste de l'école rinzai situé dans l'arrondissement de Higashiyama-ku à Kyoto[1]. En raison de l'influence des Ashikaga, Manju-ji est appelé temple « jissatsu » pendant un certain temps. C'est à présent un temple secondaire du Tōfuku-ji[2]. Il fait partie des Cinq grands temples zen de Kyoto (Gozan) .
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60.Anrakuju-in |
L'Anrakuju-in (安楽寿院?) est un temple bouddhiste dans le quartier de Fushimi-ku, Kyoto au Japon, construit par le Daijō Tennō (ancien empereur) Toba en 1137. Le temple abrite un certain nombre de biens culturels importants et les empereur Toba et Konoe sont enterrés sur le site. La propriété d'Ashikaga d'où le clan Ashikaga tien son nom appartenait autrefois au Anrakuju-in[1].
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61.Sanbō-in |
Le Sanbō-in (三宝院?, Sanbō-in) est un temple bouddhiste situé au sud de Kyoto, connu aujourd'hui essentiellement pour la beauté de son jardin[1].
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62.Daigo-ji |
Le Daigo-ji (醍醐寺, Daigo-ji?) est un temple bouddhiste de l'école Shingon dans le quartier Fushimi-ku, à Kyoto, au Japon. Il fait partie des monuments historiques de l'ancienne Kyoto classés au patrimoine mondial de l'humanité. L'image principale du temple (honzon) représente Yakushi.
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63.Hōtō-ji |
Le Hōtō-ji 宝塔寺) est un temple bouddhiste de l'école Nichiren situé dans l'arrondissement de Fushimi à Kyoto.
Le Hōtō-ji est une émanation du Gokuraku-ji (極楽寺), temple de l'école Shingon fondé par le moine Shōbō (聖宝) et construit par Fujiwara no Mototsune.
La porte à quatre piliers (四脚門, shikyakumon) et la pagode à deux niveaux (tahōtō; particularité : rez-de-chassée carré, étage en arrondi) remontent à l'époque Muromachi[1].
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64.Kajū-ji |
Le Kajū-ji (勧修寺?), parfois aussi épelé « Kwajū-ji »[1] ou « Kanshu-ji », est un temple bouddhiste Shingon situé dans l'arrondissement de Yamashina-ku à Kyoto au Japon[2].
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65.Kankikō-ji |
Le Kankikō-ji (歓喜光寺?) est un temple japonais situé à Kyoto, arrondissement de Yamashina-ku, et affilié au Ji shū, troisième école bouddhique amidiste du Japon. Il a été fondé en 1291 par Shōkai (聖戒?) avec le support du grand chancelier Kujō Tadanori. Shōkai était un proche parent et disciple d'Ippen, fondateur du Ji shū[1],[2].
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66.Gangyō-ji |
Le Gangyō-ji ou Gankei-ji (元慶寺?) est un temple bouddhiste à Kyōto, fondée en 877 par le prêtre Henjō.
Le temple est fondé la première année de l'ère Gangyō (元慶元年, Gangyō gannen?), et prend le nom de cette nouvelle ère[1],[2]. L'empereur Kōkō donnait fonds et dotait ce temple[1].
À l'ère Kanna (寛和?), an 2 (986), l'empereur Kazan abdique en ce temple. Le chūnagon Yoshikane et le sachūben Korenari le suivent et deviennent prêtres. À la suite de cela, le temple est également connu sous le nom de Kazan-ji (花山寺?)[1].
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67.Yamashina Hongan-ji |
Le Yamashina Hongan-ji, aussi connu sous le nom Yamashina Mido (山科本願寺), est un temple bouddhiste situé à Kyoto, utilisé comme forteresse par les Ikkō-ikki, organisation de moines guerriers et fanatiques laïcs qui s'opposent à la domination des samouraïs.
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68.Butokuden |
La construction du Butokuden (武徳殿?) a commencé en 1895 pour s'achever en 1899. C'est le dojo de la prestigieuse Dai Nippon Butoku Kai (大日本武徳会).
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69.Tō-ji |
Le Tō-ji (東寺?, « temple de l'Est ») est un temple bouddhiste japonais de tradition Shingon situé à Kyōto. Son nom officiel est « Kyō-ō-gokoku-ji (教王護国寺?) » mais il est plus connu sous le nom de « Tō-ji ».
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70.Mibu-dera |
Le Mibu-dera (壬生寺?) est un temple bouddhiste situé à Kyoto au Japon. Le temple a été fondé en 991 par le moine Kaiken. Des représentations de mibu-kyōgen sont données au temple plusieurs fois par an.
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71.Kiyomizu-dera |
Le temple Kiyomizu ou Kiyomizu-dera (清水寺?) fait référence à un complexe de temples bouddhistes et shintoïstes mais est principalement utilisé pour un seul : l'Otowa-san Kiyomizu-dera (音羽山清水寺?) à l'est de Kyoto, qui est l'un des endroits les plus célèbres de la ville. Il a été enregistré au patrimoine mondial culturel de l'UNESCO en 1994[1].
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72.Konkai kōmyō-ji |
Le Konkai kōmyō-ji (金戒光明寺?), aussi appelé temple Kurodani, est un temple bouddhiste de Kyoto au Japon. C'est un temple majeur de la secte Jōdo du bouddhisme au Japon.
Les tombes de soldats d'Aizu et Kuwana morts à la bataille de Toba-Fushimi se trouvent dans ce temple.
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73.Sanjūsangen-dō |
Le Sanjūsangen-dō (三十三間堂, Pavillon des trente-trois intervalles) est un temple bouddhiste situé à Kyōto, Japon. Son nom d'origine est Renge-ō-in. Grand hall sacré de rite Shingon fondé en 1132. Il fut reconstruit entre 1251 et 1256.
L'appellation Sanjūsangendō est tirée des trente-trois (三十三, sanjūsan?) travées (間, ken?, ou gen) entre les piliers qui le composent. Il est très long et étroit. Ses 118,22 m de long en font la plus longue structure en bois du monde.
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74.Sennyū-ji |
Le Sennyū-ji (泉涌寺, Sennyū-ji?), formellement écrit Sen-yū-ji[1] (仙遊寺, Sen'yū-ji?) , est un temple bouddhiste situé dans l'arrondissement de Higashiyama-ku à Kyoto au Japon[2]. Pendant des siècles, le Sennyū-ji est un temple mortuaire pour les aristocrates et la maison impériale. S'y trouvent les tombeaux officiels de l'empereur Shijō[3] et ceux de nombre des empereurs qui lui ont succédé[1].
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75.Rokkaku-dō |
Le Chōhō-ji (頂法寺, Chōhō-ji?), aussi appelé Rokkaku-dō (六角堂, Rokkaku-dō?) en raison de la forme hexagonale de son bâtiment principal, est un temple bouddhiste situé à Kyoto au Japon, qui aurait été établi par le prince Shōtoku. Ce temple fait partie de la route du pèlerinage de Kansai Kannon.
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76.Rokuharamitsu-ji |
Le Rokuharamitsu-ji (六波羅蜜寺?) est un temple bouddhiste situé à Kyoto au Japon. Fondé en 951 par Kūya, le hon-dō est incendié durant les guerres de la fin de l'époque de Heian. Le bâtiment qui l'a remplacé en 1363, endommagé au cours de l'ère Meiji, est restauré en 1969[1],[2]. Le temple abrite un certain nombre de statues des époques de Heian et de Kamakura qui ont été classées bien culturel important du Japon, dont une image de son fondateur datant de l'époque de Kamakura, ainsi qu'un Jūichimen Kannon de l'époque de Heian classé Trésor national du Japon[3],[4],[5].
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77.Adashino Nenbutsu-ji |
Le temple bouddhique Adashino Nenbutsu-ji (化野念仏寺) est situé à Sagano (嵯峨野) dans l'arrondissement Ukyō-ku (右京区) de Kyoto au Japon, sur une colline surplombant la ville depuis le nord-ouest. Il se trouve sur un endroit où les gens de la période Heian venaient apporter leurs morts.
Il est caractérisé par le rassemblement d'environ huit mille statuettes bouddhiques, symbolisant les esprits des morts, collectées vers 1903 et dispersées tout autour d'Adashino.
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78.Otagi Nenbutsu-ji |
Le Otagi Nenbutsu-ji (japonais : 愛宕念仏寺) est un temple bouddhiste situé dans Arashiyama près de Kyoto au Japon.
Otagi Nenbutsu-ji est fondé par l'impératrice Shōtoku au milieu du VIIIe siècle. Bien que détruit par une inondation de la rivière Kamo, il est reconstruit comme branche du Enryaku-ji voisin. Au XIIIe siècle, il est de nouveau détruit au cours d'une guerre civile. Le temple est déplacé à son emplacement actuel après des dommages causés par un typhon.
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79.Atago-jinja (Kyoto) |
Atago-jinja (愛宕神社?) est un sanctuaire shinto situé sur le mont Atago, Kameoka, au nord-ouest de Kyoto au Japon. Le kami Atago Gongen qui protège Kyoto des incendies y est vénéré[1]. Les pratiques shugendō et ce lieu de culte sont connus depuis le VIIIe siècle[2].
Le honden de la fin de l'époque de Kamakura est désigné bien culturel important du Japon[3]. Atago-jinja est à la tête d'un réseau de quelque neuf cents sanctuaires Atago dans tout le Japon[2].
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80.Imamiya-jinja |
L'Imamiya-jinja (今宮神社?) est un sanctuaire shinto situé dans l'arrondissement Kita-ku de Kyoto au Japon. Initialement établi pour les fidèles désirant prier pour se prémunir contre une épidémie, l'Imamiya-jinja évolue pour devenir un sanctuaire où les fidèles peuvent prier pour leur santé en général. Le complexe du sanctuaire est noyé dans une forêt de grands arbres au nord-ouest du Daitoku-ji et comprend de nombreux sanctuaires mineurs, en plus du sanctuaire principal, ou honden[1]. Chaque deuxième dimanche du mois d'avril, un des trois plus importants festivals de Kyoto, le Yasurai matsuri, se déroule au sanctuaire. Le mot imamiya (今宮?) signifie « nouvellement construit ».
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81.Umenomiya-taisha |
L'Umenomiya-taisha (梅宮大社?) est un sanctuaire shinto situé dans l'arrondissement d'Ukyō-ku à Kyoto au Japon.
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82.Ōharano-jinja |
Le Ōharano-jinja (大原野神社?) est un sanctuaire shinto situé dans l'arrondissement de Nishikyō-ku de Kyoto au Japon.
Le sanctuaire Ōhorano est dédié à Amenokoyane, le kami tutélaire des Fujiwara, qui aurait aidé à la fondation de l'État[1].
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83.Kamo-jinja |
Les sanctuaires Kamo (賀茂神社?, Kamo-jinja) Kamigamo-jinja (上賀茂神社?, « sanctuaire Kamo supérieur ») et Shimogamo-jinja (下鴨神社?, « sanctuaire Kamo inférieur ») sont une paire de sanctuaires shinto de Kyōto, au Japon. Ils comptent parmi les plus vieux du pays et sont tous deux dédiés à Kamo Wake-ikazuchi, le kami du tonnerre. Ils sont classés monuments historiques de l'ancienne Kyōto et font partie de la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO.
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84.Shimogamo-jinja (Kyoto) |
Shimogamo-jinja (下鴨神社?), est le nom commun d'un important sanctuaire shinto dans le district Shimogamo de Kyoto, arrondissement de Sakyō. son nom formel est Kamo-mioya-jinja (賀茂御祖神社)[1]. C'est un des plus anciens sanctuaires shinto du Japon et un des dix-sept monuments historiques de l'ancienne Kyoto, désigné patrimoine mondial de l'UNESCO. Le terme « Kamo-jinja » en japonais est une référence générale au Shimogamo-jinja et au Kamigamo-jinja, les sanctuaires Kamo traditionnellement liés à Kyoto[2]. Shimogamo est le plus ancien de la paire, censé être âgé de cent ans de plus que Kamigamo, et datant du VIe siècle, des siècles avant que Kyoto ne devienne la capitale du Japon, en 794 (voir Heian-kyō). Les Kamo-jinja ont pour fonction de protéger Kyoto contre les influences malignes[3].
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85.Kamigamo-jinja |
Le Kamigamo-jinja (上賀茂神社?) est un important sanctuaire shinto fondé en 678 et situé sur les rives de la Kamo-gawa au nord de Kyoto[1],[2]. Son nom formel est « sanctuaire Kamo-wakeikazuchi » (賀茂別雷神社, Kamo-wakeikazuchi jinja?)[3].
C'est l'un des plus anciens sanctuaires shinto du Japon et un des dix-sept monuments historiques de l'ancienne Kyoto qui ont été inclus dans les listes du patrimoine mondial par l'UNESCO. En japonais, le terme « Kamo-jinja » est une référence générale à Kamo-jinja et Kamigamo-jinja, les sanctuaires Kamo traditionnellement liés de Kyoto[4]. Le Kamo-jinja a pour fonction de protéger Kyoto contre les influences malignes[5].
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86.Kitano Tenman-gū |
Le Kitano Tenman-gū (北野天満宮?), autrefois le Kitano-jinja (北野神社?), est un sanctuaire shinto (宮, gū) situé dans le quartier Kamigyō-ku de Kyōto au Japon. Fondé en 947, il est voué au culte du dieu Tenjin (assimilé à Sugawara no Michizane)[1].
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87.Kifune-jinja |
Le Kifune-jinja (貴船神社?) est un sanctuaire shinto situé dans l'arrondissement Sakyō-ku de Kyoto au Japon. Bien que situé dans la localité de Kibune, la prononciation du sanctuaire est « Kifune-jinja ».
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88.Kyōto Ryōzen Gokoku-jinja |
Le Kyōto Ryōzen Gokoku-jinja (京都霊山護国神社?) est un sanctuaire shinto situé à Kyoto au Japon. Depuis 1868, il honore les héros du Japon, particulièrement ceux de la période du bakumatsu et de la restauration de Meiji[1], les plus célèbres étant Sakamoto Ryōma et son associé Nakaoka Shintarō, enterrés côte à côte dans le sanctuaire. Il est un précurseur du sanctuaire Yasukuni[2]. Comme celui-ci, il abrite en son sein un monument à la mémoire de Radhabinod Pal.
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89.Goō-jinja |
Le sanctuaire Goō-jinja (護王神社 ごおうじんじゃ) est un sanctuaire shinto situé dans le quartier Kamigyō-ku de Kyoto, au Japon[1].
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90.Shikichi-jinja |
Le Shikichi-jinja (敷地神社?) est un sanctuaire shinto situé dans le quartier de Kita-ku à Kyoto[1].
Il est également très connu sous le nom Wara-tenjin (わら天神?). On peut donc le dénommer sous les deux appellations.
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91.Shiramine-jingū |
Le Shiramine-jingū (白峯神宮?) est un sanctuaire shinto situé à Kamigyō-ku, Kyoto[1].
Le sanctuaire est dédié à la vénération des kamis de l'empereur Junnin[1] et de l'empereur Sutoku. Deux représentations de théâtre nō sont données à la mi-septembre tous les ans en mémoire de l'empereur Sutoku.
Shiramine-jingū est aussi la demeure de la déité Seidai Myojin, connue pour être le dieu du sport et particulièrement du football[2].
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92.Seimei-jinja |
Le Seimei-jinja (晴明神社?) est un sanctuaire shinto à Kyoto, au Japon, consacré au onmyōdō, Abe no Seimei.
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93.Kenkun-jinja |
Le Kenkun-jinja (建勲神社,?) également connu sous le nom Takeisao-jinja, est un sanctuaire shinto de la ville de Kyoto au Japon. Le daimyo Oda Nobunaga, un personnage clé dans l'unification du Japon durant la fin du XVIe siècle y est vénéré[1].
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94.Tadasu no mori |
Le Tadasu no mori (糺の森?), littéralement « forêt de correction », est un bois sacré associé à un important complexe sanctuaire shinto appelé Kamo-jinja en japonais, situé près des berges de la Kamo-gawa juste au nord de l'endroit où la Takano-gawa rejoint la Kamo-gawa au nord-est de Kyoto au Japon. En japonais, le terme « Kamo-jinja » est une référence générale au Shimogamo-jinja et au Kamigamo-jinja, les sanctuaires Kamo traditionnellement liés de Kyoto[1]. Le Kamo-jinja sert à protéger Kyoto des mauvaises influences[2].
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95.Toyokuni-jinja (Kyoto) |
Le Toyokuni-jinja (豊国神社?) est un sanctuaire shinto situé dans l'arrondissement de Higashiyama, à Kyoto, au Japon. Il a été construit en 1599 pour honorer la mémoire du shogun Toyotomi Hideyoshi. C'est le site du premier tamaya (autel shinto destiné au culte des morts) jamais construit, détruit plus tard par le clan Tokugawa[1].
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96.Nishiki Tenman-gū |
Nishiki Tenman-gū (錦天満宮, Nishiki Tenman-gū?) est un sanctuaire shinto situé dans le quartier Nakagyō-ku de Kyoto, au Japon. Il est situé au sein du marché Nishiki[1].
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97.Nonomiya-jinja |
Le Nonomiya-jinja (野宮神社?), ou « sanctuaire à la campagne[1] », est un sanctuaire shinto situé dans le district Arashiyama dans la partie ouest de Kyoto, préfecture de Kyoto au Japon. Le site spécifique du sanctuaire a quelque peu changé au fil du temps, lorsque son emplacement a été fixé à nouveau par la divination quand une nouvelle prêtresse impériale devait subir une purification avant de prendre ses fonctions au sanctuaire d'Ise[2].
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98.Hirano-jinja |
Le Hirano-jinja (平野神社?) est un sanctuaire shinto situé dans l'arrondissement de Kita-ku à Kyoto au Japon.
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99.Fushimi Inari-taisha |
Le Fushimi Inari-taisha (伏見稲荷大社?) est le sanctuaire principal de la déesse (kami) Inari et est situé dans le district de Fushimi-ku à Kyoto au Japon.
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100.Heian-jingū |
Heian-jingū (平安神宮, Heian-jingū?) est un sanctuaire shinto situé dans le quartier Sakyō-ku de Kyoto au Japon. Le sanctuaire est classé beppyou jinja (le premier rang pour les sanctuaires) par l'association des sanctuaires shinto. Il est un des chokusaisha. Il est classé bien culturel important du Japon.
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101.Matsunoo-taisha |
Le Matsunoo-taisha (松尾大社?, « grand sanctuaire de Matsunoo ») est un sanctuaire shinto situé près du district d'Arashiyama à l'ouest de Kyoto. C'est l'un des plus importants des vingt-deux sanctuaires du shintoïsme.
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102.Yasaka-jinja |
Le Yasaka-jinja (八坂神社?, « sanctuaire Yasaka »), aussi appelé sanctuaire de Gion, est un sanctuaire shinto situé dans le district de Gion à Kyōto au Japon. Il est situé à l'extrémité est de Shijo-dōri (la quatrième avenue) et borde le parc Maruyama.
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103.Yoshida-jinja |
Le Yoshida-jinja (吉田神社) est un sanctuaire shinto situé dans la partie orientale du district de Sakyo-ku à Kyoto au Japon. Situé au pied de la montagne Yoshida, partie des montagnes de Higashiyama, le sanctuaire, fondé en 859 au cours de l'époque de Heian par la famille Fujiwara[1], est entouré par une profonde forêt.
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104.Kamishichiken |
Le Kamishichiken (上七軒) est un hanamachi de Kyoto. Il est situé au nord-ouest de la ville, à l'est du sanctuaire Kitano Tenman-gū. Kamishichiken signifie littéralement « Sept maisons hautes ». Ce nom vient des sept maisons de thé construites à partir des morceaux du sanctuaire Kitano lors de sa reconstruction pendant l'ère Muromachi (1333 - 1573).
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120.Gare de Rokujizō |
La gare de Rokujizō (六地蔵駅, Rokujizō-eki?) se réfère à trois différentes gare ferroviaire du même nom, localisées à Rokujizo Naramachi, Uji, préfecture de Kyoto (Seule la gare de la ligne Uji de la Keihan se trouve à Momoyamacho Inaba, Fushimi-ku, Kyoto). Chacune des gares est exploitée par une compagnie différente.
La signification du nom de la gare est "Six Jizō".
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121.Gare d'Arashiyama |
La gare d'Arashiyama (嵐山駅, Arashiyama-eki?) est une gare ferroviaire terminus située à Kyoto au Japon. La gare est exploitée par la compagnie Hankyu.
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122.Imadegawa (métro de Kyoto) |
Imadegawa (今出川駅, Imadegawa-eki?) est une station du métro de Kyoto sur la ligne Karasuma dans l'arrondissement de Kamigyō à Kyoto.
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123.Gare d'Ōmiya (Kyoto) |
La gare d'Ōmiya (大宮駅, Ōmiya-eki?) est une gare ferroviaire de la ville de Kyoto au Japon. Elle est gérée par la compagnie Hankyu.
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124.Ono (métro de Kyoto) |
Ono (小野駅, Ono-eki?) est une station du métro de Kyoto sur la ligne Tōzai dans l'arrondissement de Yamashina à Kyoto.
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125.Gare de Katsura |
La gare de Katsura (桂駅, Katsura-eki?) est une gare ferroviaire située à Kyoto au Japon. La gare est exploitée par la compagnie Hankyu.
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126.Gare de Katsuragawa (Kyōto) |
La gare de Katsuragawa (桂川駅, Katsuragawa-eki?) est une gare ferroviaire localisée à Minami-ku dans la ville de Kyoto. La gare est exploitée par la JR West.
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127.Gare de Karasuma |
La gare de Karasuma (烏丸駅, Karasuma-eki?) est une gare ferroviaire située à Kyoto au Japon. Elle est exploitée par la compagnie Hankyu.
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128.Karasuma-Oike (métro de Kyoto) |
Karasuma-Oike (烏丸御池駅, Karasuma-Oike-eki?) est une station du métro de Kyoto dans l'arrondissement de Nakagyō à Kyoto. Elle est située au croisement des lignes Karasuma et Tōzai.
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129.Gare de Gion-Shijō |
La gare de Gion-Shijō (祇園四条駅, Gion-Shijō-eki?) est une gare ferroviaire de la ville de Kyoto au Japon. La gare est gérée par la compagnie Keihan.
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130.Kitaōji (métro de Kyoto) |
Kitaōji (北大路駅, Kitaōji-eki?) est une station du métro de Kyoto sur la ligne Karasuma dans l'arrondissement de Kita à Kyoto.
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131.Kitayama (métro de Kyoto) |
Kitayama (北山駅, Kitayama-eki?) est une station du métro de Kyoto sur la ligne Karasuma dans l'arrondissement de Kita à Kyoto.
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132.Gare de Kyoto |
La gare de Kyoto (京都駅, Kyōto-eki?) est la plus grande gare ferroviaire de la ville de Kyoto, et l'une des plus importantes du Japon. Elle est desservie à la fois par le Shinkansen, les réseaux des compagnies JR West et Kintetsu, et le métro de Kyoto.
La gare fait face à la Tour de Kyoto dans l'arrondissement de Shimogyō. Les bâtiments actuels datent de 1997. Son architecture avait été critiquée à sa construction en raison de son modernisme et de son gigantisme. La gare fait aussi fonction de centre commercial, d'hôtel, comporte de nombreux restaurants et propose une vue sur la ville depuis le sommet des onze étages.
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133.Gare de Kyoto-Kawaramachi |
La gare de Kyoto-Kawaramachi (京都河原町駅, Kyōto-Kawaramachi-eki?) est une gare ferroviaire située à Kyoto au Japon. La gare est exploitée par la compagnie Hankyu.
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134.Kyōto Shiyakusho-mae (métro de Kyoto) |
Kyōto Shiyakusho-mae (京都市役所前駅, Kyōto Shiyakusho-mae-eki?) est une station du métro de Kyoto sur la ligne Tōzai dans l'arrondissement de Nakagyō à Kyoto.
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135.Kujō (métro de Kyoto) |
Kujō (九条駅, Kujō-eki?) est une station du métro de Kyoto sur la ligne Karasuma dans l'arrondissement de Minami à Kyoto.
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136.Kuramaguchi (métro de Kyoto) |
Kuramaguchi (鞍馬口駅, Kuramaguchi-eki?) est une station du métro de Kyoto sur la ligne Karasuma dans l'arrondissement de Kamigyō à Kyoto.
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137.Keage (métro de Kyoto) |
Keage (蹴上駅, Keage-eki?) est une station du métro de Kyoto sur la ligne Tōzai dans l'arrondissement de Higashiyama à Kyoto.
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138.Gojō (métro de Kyoto) |
Gojō (五条駅, Gojō-eki?) est une station du métro de Kyoto sur la ligne Karasuma dans l'arrondissement de Shimogyō à Kyoto.
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139.Gare de Saiin |
La gare de Saiin (西院駅, Saiin-eki?) est une gare ferroviaire de la ville de Kyoto au Japon. Elle est gérée par la compagnie Hankyu.
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140.Gare de Sanjō (Kyoto) |
La gare de Sanjō (三条駅, Sanjō-eki?) est une gare ferroviaire de la ville de Kyoto au Japon. La gare est gérée par la compagnie Keihan.
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141.Sanjō Keihan (métro de Kyoto) |
Sanjō Keihan (三条京阪駅, Sanjō Keihan-eki?) est une station du métro de Kyoto sur la ligne Tōzai dans l'arrondissement de Higashiyama à Kyoto.
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142.Shijō (métro de Kyoto) |
Shijō (四条駅, Shijō-eki?) est une station du métro de Kyoto sur la ligne Karasuma dans l'arrondissement de Shimogyō à Kyoto.
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143.Jūjō (métro de Kyoto) |
Jūjō (十条駅, Jūjō-eki?) est une station du métro de Kyoto sur la ligne Karasuma dans l'arrondissement de Minami à Kyoto.
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144.Gare de Tōfukuji |
La gare de Tōfukuji (東福寺駅, Tōfukuji-eki?) est une gare ferroviaire située dans l'arrondissement de Higashiyama-ku de la ville de Kyoto. La gare est exploitée par la JR West ainsi que par la Keihan Electric Railway.
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145.Nagitsuji (métro de Kyoto) |
Nagitsuji (椥辻駅, Nagitsuji-eki?) est une station du métro de Kyoto sur la ligne Tōzai dans l'arrondissement de Yamashina à Kyoto.
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146.Gare de Nishiōji |
La gare de Nishiōji (西大路駅, Nishiōji-eki?) est une gare ferroviaire localisée à Minami-ku dans la ville de Kyoto. La gare est exploitée par la JR West.
La gare a été nommée en rapport à la rue Nishiōji, qui traverse la voie ferrée par un passage souterrain.
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147.Nishiōji Oike (métro de Kyoto) |
Nishiōji Oike (西大路御池駅, Nishiōji Oike-eki?) est une station du métro de Kyoto sur la ligne Tōzai dans l'arrondissement de Nakagyō à Kyoto.
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148.Gare de Nijō (Kyoto) |
La gare de Nijō (二条駅, Nijō-eki?) est une gare ferroviaire japonaise située dans l'arrondissement de Nakagyō à Kyoto. Elle est gérée par la compagnie JR West et le métro de Kyoto.
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149.Higashino (métro de Kyoto) |
Higashino (東野駅, Higashino-eki?) est une station du métro de Kyoto sur la ligne Tōzai dans l'arrondissement de Yamashina à Kyoto.
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150.Marutamachi (métro de Kyoto) |
Marutamachi (丸太町駅, Marutamachi-eki?) est une station du métro de Kyoto sur la ligne Karasuma dans l'arrondissement de Nakagyō à Kyoto.
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151.Misasagi (métro de Kyoto) |
Misasagi (御陵駅, Misasagi-eki?) est une station du métro de Kyoto sur la ligne Tōzai dans l'arrondissement de Higashiyama à Kyoto. Elle permet également l'interconnexion avec la ligne Keishin de la compagnie Keihan.
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152.Gare de Yamashina |
La gare de Yamashina (山科駅, Yamashina-eki?) est une gare ferroviaire située dans l'arrondissement Yamashina-ku de la ville de Kyoto. La gare est exploitée par la JR West et le métro de Kyoto.
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153.Uzumasa Tenjingawa (métro de Kyoto) |
Uzumasa Tenjingawa (太秦天神川駅, Uzumasa Tenjingawa-eki?) est une station du métro de Kyoto sur la ligne Tōzai dans l'arrondissement d'Ukyō à Kyoto.
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154.Gare de Saga-Arashiyama |
La gare de Saga-Arashiyama (嵯峨嵐山駅, Saga-Arashiyama-eki?) est une gare ferroviaire située à Kyoto au Japon. La gare est exploitée par la compagnie JR West.
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155.Kokusaikaikan (métro de Kyoto) |
Kokusaikaikan (国際会館駅, Kokusaikaikan-eki?) est une station du métro de Kyoto sur la ligne Karasuma dans l'arrondissement de Sakyō à Kyoto.
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156.Gare de Demachiyanagi |
La gare de Demachiyanagi (出町柳駅, Demachiyanagi-eki?) est une gare ferroviaire de la ville de Kyoto au Japon. La gare est gérée par les compagnies Keihan et Eiden.
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157.Matsugasaki (métro de Kyoto) |
Matsugasaki (松ヶ崎駅, Matsugasaki-eki?) est une station du métro de Kyoto sur la ligne Karasuma dans l'arrondissement de Sakyō à Kyoto.
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158.Ishida (métro de Kyoto) |
Ishida (石田駅, Ishida-eki?) est une station du métro de Kyoto sur la ligne Tōzai dans l'arrondissement de Fushimi à Kyoto.
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159.Gare d'Inari |
La gare d'Inari (稲荷駅, Inari-eki?) est une gare ferroviaire localisée à Fushimi-ku dans la ville de Kyoto. La gare est exploitée par la JR West.
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160.Gare de Kintetsu-Tambabashi |
La gare de Kintetsu-Tambabashi (近鉄丹波橋駅, Kintetsu-Tanbabashi-eki?) est une gare ferroviaire de la ville de Kyoto au Japon. La gare est gérée par la compagnie Kintetsu.
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161.Kuinabashi (métro de Kyoto) |
Kuinabashi (くいな橋駅, Kuinabashi-eki?) est une station du métro de Kyoto sur la ligne Karasuma dans l'arrondissement de Fushimi à Kyoto.
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162.Gare de JR Fujinomori |
La gare de JR Fujinomori (JR藤森駅, JR Fujinomori-eki?) est une gare ferroviaire localisée à Fushimi-ku dans la ville de Kyoto. La gare est exploitée par la JR West.
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163.Daigo (métro de Kyoto) |
Daigo (醍醐駅, Daigo-eki?) est une station du métro de Kyoto sur la ligne Tōzai dans l'arrondissement de Fushimi à Kyoto.
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164.Gare de Takeda (Kyoto) |
La gare de Takeda (竹田駅, Takeda-eki?) est une gare ferroviaire japonaise située dans l'arrondissement de Fushimi à Kyoto. La gare est gérée par la compagnie Kintetsu et le métro de Kyoto.
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165.Gare de Tambabashi |
La gare de Tambabashi (丹波橋駅, Tanbabashi-eki?) est une gare ferroviaire de la ville de Kyoto au Japon. La gare est gérée par la compagnie Keihan.
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166.Gare de Chūshojima |
La gare de Chūshojima (中書島駅, Chūshojima-eki?) est une gare ferroviaire de la ville de Kyoto au Japon. La gare est gérée par la compagnie Keihan.
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167.Gare de Momoyama |
La gare de Momoyama (桃山駅, Momoyama-eki?) est une gare ferroviaire localisée à Fushimi-ku dans la ville de Kyoto. La gare est exploitée par la JR West.
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