1.Gyoran-ji | ||||||
Le Gyoran-ji (魚藍寺?) est un temple bouddhiste situé à 4 Mita, dans l'arrondissement spécial de Minato-ku de Tokyo, au Japon. Il se trouve sur le côté montagneux de Tsuki no Misaki. Le nom officiel est Suigetsu-in Gyoran-ji (水月院魚藍寺). | ||||||
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2.Saikai-ji | ||||||
Le Shūkōzan Chōjuin Saikai-ji (周光山長寿院済海寺?), plus communément appelé Saikai-ji (済海寺?), est un temple du bouddhisme de la Terre pure situé au 4-16-23 de Mita à Minato, Tokyo (sur le Tsuki no Misaki), et dont la principale image est Amitābha. | ||||||
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3.Sengaku-ji | ||||||
Le Sengaku-ji (泉岳寺) est un temple sōtō zen bouddhique situé dans le quartier de Takanawa, district Minato-ku, près de la gare de Shinagawa à Tokyo (Japon). À l'origine, ce temple fut construit par Tokugawa Ieyasu à proximité du château d'Edo, dans le quartier de Sotosakurada. En 1612, le shogun tenait en effet à ce qu'un service mémorial fût assuré pour l'âme d'Imagawa Yoshimoto (daimyo de la province de Suruga [1519-1560], dont la nièce, la princesse Tsukiyama, était l'épouse de Tokugawa). Le premier abbé du temple Sengaku fut Monnan Shukan, petit-fils d'Imagawa. La porte Sanmon était l'une des principales de la ville. Durant l'ère Kan'ei, le temple fut détruit par un incendie, puis reconstruit à son emplacement actuel, au cours du XVIIIe siècle, dans ce qui était alors le village de Takanawa. De nombreux moines zen vinrent y étudier, ou pour y être ordonnés. | ||||||
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4.Zenpuku-ji | ||||||
Le Zenpuku-ji (善福寺), aussi connu sous le nom Azabu-san (麻布山), est un temple de l'école Jōdo Shinshū situé dans le district d'Azabu de Tokyo au Japon. C'est l'un des plus anciens temples de Tokyo après le Sensō-ji d'Asakusa. Fondé par Kūkai en 824, le Zenpuku-ji est à l'origine un temple du Bouddhisme Shingon. Shinran, qui le visite au cours de l'époque de Kamakura, lui fait intégrer la secte Jōdo Shinshū. | ||||||
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5.Zōjō-ji | ||||||
Le San'en-zan Zōjō-ji (三縁山増上寺?) est un temple bouddhiste situé dans le quartier de Shiba, Minato-ku, à Tokyo au Japon. Il est l’un des deux bodaiji (菩提寺?, (c'est-à-dire temple bodhi, un temple funéraire) du clan Tokugawa, l’autre étant le Kan'ei-ji. | ||||||
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6.Daishin-ji | ||||||
Le Hōtōzan Hōju-in Daishin-ji (宝島山峯樹院大信寺?), abrégé en Daishin-ji, est un temple bouddhiste de la secte Jōdo du Bouddhisme de la Terre Pure situé dans l'arrondissement spécial de Minato-ku à Tokyo au Japon. En 1611, Ryō-kō Shōnin, le fondateur du temple, reçoit du shogunat Tokugawa une terre pour le temple à Minami Hatchōbori. Le Daishin-ji s'appelle d'abord Hōtōzan. En 1635, il est transféré à son actuel emplacement à Mita 4 chōme sur ordre du gouvernement, pour tenir compte de l'expansion continue d'Edo. En 1636, Ishimura Genzaemon, considéré comme le premier artisan de shamisen à Edo, est enterré au temple. Depuis Ishimura Omi, les tombes de onze générations de la famille y ont également été construites et pour cette raison, le temple est parfois surnommé « le temple Shamisen ». | ||||||
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7.Tōzen-ji | ||||||
Le Tōzen-ji (東禅寺?) est un temple à Takanawa, près de Tōkyō au Japon. Il appartient à la secte Rinzai-shu, une des écoles du bouddhisme zen qui à son siège au Myoshin-ji à Kyōto[1]. En 1610, Ryonan-zenji le créa à Akasaka et, en 1636, il fut déménagé dans ses locaux actuels. Le temple est situé directement sur la route du Tokaido au-dessus de la mer. Pour cette raison, il est nommé Kaijō zenrin (littéralement « la forêt zen au-dessus de la mer »). Ces mots furent écrits sur le samon ou porte principale. Pendant la période Edo, le Tōzen-ji était considéré comme le temple familial de plusieurs clans dont le clan Date de Sendai, le clan Ikeda de la province d'Ōmi, le clan Inaba du domaine d'Usuki dans la province de Bungo, les Suwo de Shinshu, les Tamura d'Ichinoseki et le clan Mori de Saeki à Bungo[1]. | ||||||
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