Recherche geniale au Japon

temple : Kyoto

1.Tō-ji
Le Tō-ji (東寺?, « temple de l'Est ») est un temple bouddhiste japonais de tradition Shingon situé à Kyōto. Son nom officiel est « Kyō-ō-gokoku-ji (教王護国寺?) » mais il est plus connu sous le nom de « Tō-ji ».
Wikipedia  
2.Mibu-dera
Le Mibu-dera (壬生寺?) est un temple bouddhiste situé à Kyoto au Japon. Le temple a été fondé en 991 par le moine Kaiken. Des représentations de mibu-kyōgen sont données au temple plusieurs fois par an.
Wikipedia  
3.Kiyomizu-dera
Le temple Kiyomizu ou Kiyomizu-dera (清水寺?) fait référence à un complexe de temples bouddhistes et shintoïstes mais est principalement utilisé pour un seul : l'Otowa-san Kiyomizu-dera (音羽山清水寺?) à l'est de Kyoto, qui est l'un des endroits les plus célèbres de la ville. Il a été enregistré au patrimoine mondial culturel de l'UNESCO en 1994[1].
Wikipedia  
4.Konkai kōmyō-ji
Le Konkai kōmyō-ji (金戒光明寺?), aussi appelé temple Kurodani, est un temple bouddhiste de Kyoto au Japon. C'est un temple majeur de la secte Jōdo du bouddhisme au Japon. Les tombes de soldats d'Aizu et Kuwana morts à la bataille de Toba-Fushimi se trouvent dans ce temple.
Wikipedia  
5.Sanjūsangen-dō
Le Sanjūsangen-dō (三十三間堂, Pavillon des trente-trois intervalles) est un temple bouddhiste situé à Kyōto, Japon. Son nom d'origine est Renge-ō-in. Grand hall sacré de rite Shingon fondé en 1132. Il fut reconstruit entre 1251 et 1256. L'appellation Sanjūsangendō est tirée des trente-trois (三十三, sanjūsan?) travées (間, ken?, ou gen) entre les piliers qui le composent. Il est très long et étroit. Ses 118,22 m de long en font la plus longue structure en bois du monde.
Wikipedia  
6.Sennyū-ji
Le Sennyū-ji (泉涌寺, Sennyū-ji?), formellement écrit Sen-yū-ji[1] (仙遊寺, Sen'yū-ji?) , est un temple bouddhiste situé dans l'arrondissement de Higashiyama-ku à Kyoto au Japon[2]. Pendant des siècles, le Sennyū-ji est un temple mortuaire pour les aristocrates et la maison impériale. S'y trouvent les tombeaux officiels de l'empereur Shijō[3] et ceux de nombre des empereurs qui lui ont succédé[1].
Wikipedia  
7.Rokkaku-dō
Le Chōhō-ji (頂法寺, Chōhō-ji?), aussi appelé Rokkaku-dō (六角堂, Rokkaku-dō?) en raison de la forme hexagonale de son bâtiment principal, est un temple bouddhiste situé à Kyoto au Japon, qui aurait été établi par le prince Shōtoku. Ce temple fait partie de la route du pèlerinage de Kansai Kannon.
Wikipedia  
8.Tō-ji
Le Tō-ji (東寺?, « temple de l'Est ») est un temple bouddhiste japonais de tradition Shingon situé à Kyōto. Son nom officiel est « Kyō-ō-gokoku-ji (教王護国寺?) » mais il est plus connu sous le nom de « Tō-ji ».
Wikipedia  
9.Mibu-dera
Le Mibu-dera (壬生寺?) est un temple bouddhiste situé à Kyoto au Japon. Le temple a été fondé en 991 par le moine Kaiken. Des représentations de mibu-kyōgen sont données au temple plusieurs fois par an.
Wikipedia  
10.Rokuharamitsu-ji
Le Rokuharamitsu-ji (六波羅蜜寺?) est un temple bouddhiste situé à Kyoto au Japon. Fondé en 951 par Kūya, le hon-dō est incendié durant les guerres de la fin de l'époque de Heian. Le bâtiment qui l'a remplacé en 1363, endommagé au cours de l'ère Meiji, est restauré en 1969[1],[2]. Le temple abrite un certain nombre de statues des époques de Heian et de Kamakura qui ont été classées bien culturel important du Japon, dont une image de son fondateur datant de l'époque de Kamakura, ainsi qu'un Jūichimen Kannon de l'époque de Heian classé Trésor national du Japon[3],[4],[5].
Wikipedia  
11.Adashino Nenbutsu-ji
Le temple bouddhique Adashino Nenbutsu-ji (化野念仏寺) est situé à Sagano (嵯峨野) dans l'arrondissement Ukyō-ku (右京区) de Kyoto au Japon, sur une colline surplombant la ville depuis le nord-ouest. Il se trouve sur un endroit où les gens de la période Heian venaient apporter leurs morts. Il est caractérisé par le rassemblement d'environ huit mille statuettes bouddhiques, symbolisant les esprits des morts, collectées vers 1903 et dispersées tout autour d'Adashino.
Wikipedia  
12.Otagi Nenbutsu-ji
Le Otagi Nenbutsu-ji (japonais : 愛宕念仏寺) est un temple bouddhiste situé dans Arashiyama près de Kyoto au Japon. Otagi Nenbutsu-ji est fondé par l'impératrice Shōtoku au milieu du VIIIe siècle. Bien que détruit par une inondation de la rivière Kamo, il est reconstruit comme branche du Enryaku-ji voisin. Au XIIIe siècle, il est de nouveau détruit au cours d'une guerre civile. Le temple est déplacé à son emplacement actuel après des dommages causés par un typhon.
Wikipedia  
13.Kōzan-ji
Le Kōzan-ji (高山寺?, « Temple de haute montagne »), ou Toganoo-san Kōsan-ji (栂尾山高山寺?), est un temple bouddhiste Omuro à Ume-ga-hata Toganoo-chō, dans l'arrondissement de Ukyō, à Kyoto au Japon. Le temple, fondé par le célèbre moine Myōe est renommé pour ses nombreux trésors nationaux et ses biens culturels importants, en particulier le fameux rouleau peint appelé Chōjū-giga. Le temple célèbre Biyakkōshin, Zenmyōshin et Kasuga Myojin, ainsi que sa divinité tutélaire shintoïste. En 1994, il est inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO au titre de « monuments historiques de l'ancienne Kyoto ».
Wikipedia  
14.Kōryū-ji
Le Kōryū-ji (広隆寺?) est un temple shingon situé à Uzumasa, arrondissement d'Ukyō de la ville de Kyoto au Japon, aussi connu sous les noms Uzumasa-dera (太秦寺?)[1] et Kadono-dera (葛野寺?), anciennement appelé Hatanokimi-dera (秦公寺?), Hachioka-dera (蜂岡寺?) et Hōkō-ji (蜂岡寺?). Kōryū-ji a été construit en 603 par Hata no Kawakatsu après avoir reçu une statue bouddhiste de la part du prince Shōtoku, ce qui en ferait le plus ancien temple de Kyoto. Des incendies en 818 et 1150 ont entièrement détruit le complexe du temple qui a été reconstruit plusieurs fois depuis[2].
Wikipedia  
15.Shunkō-in
Le Shunkō-in (春光院) est un temple bouddhiste Zen situé à Kyoto (Japon) qui appartient à l'école Myōshin-ji (« temple de l'esprit excellent »), qui est la plus importante des 14 écoles japonaises Rinzai du Bouddhisme Zen. Le temple est fondé en 1590 par Horio Yoshiharu, seigneur féodal, (daimyo), du domaine de Matsue dans l'actuelle préfecture de Shimane. Ce temple abrite d'importants objets historiques qui reflètent l'atmosphère religieuse et artistique multiforme au Japon à partir du XVIe siècle.
Wikipedia  
16.Jingo-ji
Le Jingo-ji (神護寺?) est un temple bouddhiste de Kyoto situé sur le mont Takao, au nord-ouest du centre de la ville. Le temple est de confession bouddhiste shingon. Son honzon est une statue de Yakushi Nyorai, le Bouddha de la guérison ou « Bouddha médecin ».
Wikipedia  
17.Seiryō-ji
Le Seiryō-ji (清凉寺?) est un temple bouddhiste situé à Saga dans l'arrondissement d'Ukyō-ku de Kyoto au Japon, aussi connu sous le nom Saga Shaka-dō. Le temple est consacré à la pratique du Yūzū nembutsu shū. Le temple appartient d'abord à la secte Kegon puis devient un temple de l'école bouddhique de la Terre pure. Le honzon est une image de Gautama Buddha (Shaka-nyorai). La statue en bois est désignée Trésor national du Japon. Seiryō-ji possède également des statues (Trésor national) de la trinité (Amida) Amitābha, ainsi que d'autres Trésors nationaux et des Biens culturels importants[1],[2].
Wikipedia  
18.Daikaku-ji
Le Daikaku-ji (大覚寺, Daikaku-ji?) est un temple bouddhique Shingon situé dans l'arrondissement Ukyō-ku dans la banlieue ouest de Kyoto au Japon. Les principales images sont celles des cinq rois du savoir, centrées sur Fudō. C'est d'abord une villa de l'empereur Saga (785-842) d'où plus tard l'empereur retiré Go-Uda dirige son gouvernement cloîtré. Une école d'ikebana, le Saga-goryū, est installée dans le temple. Le lac artificiel du temple, l'étang d'Osawa, est un des plus anciens étangs de jardin japonais de l'époque de Heian encore existants[1].
Wikipedia  
19.Taizō-in
Le Taizō-in (退蔵院?) est le plus ancien sous-temple (tatchū (塔頭?) du temple bouddhiste Zen Rinzai Myōshin-ji, situé au nord-ouest de Kyoto au Japon. Il est fondé par le prêtre Zen Muinsoin en 1404. Les bâtiments originaux du temple sont incendiés durant la guerre d'Ōnin (1467-1477) puis reconstruits ultérieurement.
Wikipedia  
20.Tsukinowa-dera
Tsukinowa-dera ou Gatsurin-ji (月輪寺?) est un temple bouddhiste situé près du mont Atago dans l'arrondissement d'Ukyō-ku à Kyoto au Japon. Le temple, fondé en 781, est associé aux pratiques Shugendō de Kūya et Hōnen. Ses trésors comprennent huit statues de l'époque de Heian. Les images d(Amida Nyorai et Kūya chantant le nembutsu font partie des biens culturels importants du Japon[1],[2].
Wikipedia  
21.Tenryū-ji
Le Tenryū-ji (天龍寺?) est un temple bouddhiste zen relevant de l'école Rinzai. Fondé en 1345 par le shogun Takauji Ashikaga (足利 尊氏, 1305-1358) et le moine Musō Soseki (夢窓疎石, 1275-1351), c'est le temple principal de la branche Rinzai Tenryū-ji et le premier des gozan (五山?, cinq grands temples) de Kyōto).
Wikipedia  
22.Tōrin-in
Le Tōrin-in (東林院, Tōrin-in?, « cloître des bois de l'est ») est un sous-temple du complexe de temple Myōshin-ji à Kyoto au Japon. En tant que tel, il est affilié à l'école Myōshin-ji du Bouddhisme Zen japonais Rinzai.
Wikipedia  
23.Nison-in
Le Nison-in (二尊院?) est un complexe de temple bouddhiste Tendai situé dans l'arrondissement Ukyō-ku, quartier occidental de Kyoto au Japon. Le nom officiel du temple est Ogura-yama Nison-kyō-in Keidai-ji (小倉山 二尊教院 華台寺, Ogura-yama Nison-kyō-in Keidai-ji?)[1]. Le temple est une destination populaire pendant la saison d'observation érable japonais (la saison momiji)[2].
Wikipedia  
24.Ninna-ji
Le Ninna-ji est un temple bouddhiste japonais de la secte shingon, fondé en 888 par l'empereur Uda et faisant partie des monuments historiques de l'ancienne Kyōto inscrits au patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 1994. À la fin de son règne, l'empereur Uda devint prêtre et se retira au temple de Ninna-ji qui était également appelé « ancien palais impérial d'Omuro ». De 888 à 1869, il était de coutume que les empereurs régnants y envoient un de leurs fils pour occuper la fonction de grand prêtre.
Wikipedia  
25.Myōshin-ji
Le Myōshin-ji (妙心寺?) est un temple situé à Kyōto au Japon. L'école Myōshin-ji du bouddhisme zen Rinzai est la plus grande école de Rinzai. Cette école dispose de plus de 3 000 temples à travers tout le Japon ainsi que de dix-neuf monastères. Le premier temple fut fondé en 1342 par le maître Kanzan-Egen Zenji (1277-1360). La plupart des temples furent détruits pendant la guerre d'Ōnin en 1467 mais beaucoup ont été reconstruits depuis.
Wikipedia  
26.Ryōan-ji
Ryōan-ji (竜安寺 / 龍安寺[1]?, littéralement « Temple du repos du dragon ») est un temple zen situé dans le nord-ouest de Kyōto, construit au xvie siècle, à l'époque de Muromachi. Il fait partie du Patrimoine mondial de l'UNESCO, étant l'un des monuments historiques de l'ancienne Kyoto. Le temple appartient à l'école Myōshin-ji de la branche rinzai du bouddhisme zen. Le site du temple appartenait à l’origine au clan Fujiwara.
Wikipedia  
27.Shōkoku-ji
Le Shōkoku-ji (相国寺, Shōkoku-ji?) est un temple bouddhiste zen relevant de l'école Rinzai fondé à Kyoto en 1382 par le shogun Yoshimitsu Ashikaga et le moine Musō Soseki. C'est le deuxième des gozan (五山, cinq grands temples) de Kyoto. Le temple est le chef de file de l'une des quatorze branches autonomes de cette école.
Wikipedia  
28.Daihōon-ji
Le Daihōon-ji (大報恩寺 (?)) est un temple bouddhiste situé dans l'arrondissement Kamigyō-ku, à Kyoto, au Japon. Il est affilié au bouddhisme Shingon-shū Chizan-ha. Son batiment principal (本堂 (hondō?)), appelé Senbon Shakadō (千本釈迦堂?), est un trésor national du Japon.
Wikipedia  
29.Honzen-ji
Le Honzenji (本禅寺) est un temple bouddhiste à Kyoto.
Wikipedia  
30.Hōjō-ji
Le Hōjō-ji (法成寺) était un temple bouddhiste de Kyōto qui fut à une époque l'un des principaux temples du bouddhisme japonais. Le temple fut construit aux environs de 1017 par Fujiwara no Michinaga. La consécration de sa Salle d'Or en 1022 est détaillée dans l'épopée historique appelée Eiga Monogatari (栄花物語). L'empereur Go-Ichijō lui-même dirigeant la cérémonie, tous les efforts furent faits pour qu'elle fût aussi luxueuse et parfaite que possible.
Wikipedia  
31.Ōbai-in
L’Ōbai-in (黄梅院?) est un sous-temple du Daitoku-ji à Kyoto au Japon. Le hon-dō (1586) et le kuri (1589) sont désignés « biens culturels importants »[1],[2]. Les peintures monochrome fusuma de l'époque Azuchi Momoyama Sept ermites dans un bosquet de bambous (16 panneaux), Paysage avec personnages (14 panneaux) et Oies (14 panneaux), par Unkoku Tōgan (1588), sont également désignés « biens culturels importants »[3],[4],[5],[6]. La tête décapitée de la statue de Sen no Rikyū, à la position considérée comme arrogante par Toyotomi Hideyoshi, était autrefois conservée à l'Obai-in[7].
Wikipedia  
32.Kōtō-in
Le Kōtō-in (高桐院?) est un sous-temple du Daitoku-ji fondé par Hosokawa Tadaoki, situé à Kyoto au Japon. Il y a une salle de thé, le Shōkō-ken et les jardins sont réputés pour leur momiji[1]. Une paire de rouleaux suspendus monochromes de la dynastie Song du sud avec paysage est désignée Trésor national du Japon[2]. De nombreuses œuvres sont exposées tous les ans au mois d'octobre[3].
Wikipedia  
33.Jukō-in
Le Jukō-in (聚光院?) est un temple mineur du Daitoku-ji, à Kyoto au Japon. Fondé en 1566 comme temple mortuaire pour Miyoshi Nagayoshi, Sen no Rikyū le destine en 1589 à être le temple mortuaire de sa famille[1]. Le « Hondō » (bâtiment principal) (1583) et le chashitsu (1739) sont des biens culturels importants du Japon et les jardins ont été désignés « paysages pittoresques »[2],[3],[4]. Une peinture de Miyoshi Nagayoshi (1566) est aussi répertoriée comme bien culturel important[5].
Wikipedia  
34.Sōken-in
Le Sōken-in (総見院?) est un sous-temple du Daitoku-ji à Kyoto au Japon. Il est fondé par Toyotomi Hideyoshi en 1582 comme temple funéraire d'Oda Nobunaga. Hideyoshi accorde trois cents koku au temple et organise son célèbre rassemblement de thé au Daitoku-ji dans son parc en 1585. Au cours des premières années de l'ère Meiji son enceinte est démolie et ses trésors déplacés; Le Sōken-in est restauré en 1926[1]. La statue en bois d'Oda Nobunaga assis datant de 1583, laquée, avec yeux incrustés et une inscription sur la base, bien culturel important , est restituée en 1961[1],[2]. Les funérailles de Nobunaga et la fondation du sous-temple par Hideyoshi « avec le meilleur bois disponible, une chose remarquable à voir », sont rapportées par le missionnaire portugais Luís Fróis dans son História de Japam contemporain[3].
Wikipedia  
35.Daisen-in
Daisen-in (en japonais, 大仙院, « l'école du grand ermite ») est un temple bouddhiste zen situé dans le nord de Kyōto. Le temple fait partie d'un ensemble de temples plus vaste dont il est un temple secondaire : le Daitoku-ji, classé trésor national du Japon.
Wikipedia  
36.Daitoku-ji
Le Daitoku-ji (大徳寺?, littéralement « temple de la grande vertu ») est un temple bouddhiste relevant de l'école zen rinzai, situé dans le nord de Kyoto au Japon[1]. Il est constitué d'un complexe de plusieurs temples secondaires et porte également le nom de la montagne Ryuhozan (龍宝山?, littéralement « la montagne du trésor du dragon »).
Wikipedia  
37.Tōji-in
Le Tōji-in (等持院?) est un temple bouddhiste de la secte Tenryū du Bouddhisme Rinzai situé dans l'arrondissement de Kita-ku à Kyoto au Japon, et un des deux temples funéraires (bodaiji) dédiés à Ashikaga Takauji, premier shogun de la dynastie Ashikaga. Son principal objet de vénération est Shakyamuni[1], et son suffixe honorifique sangō est Mannenzan (萬年山?).
Wikipedia  
38.Ryōgen-in
Le Ryōgen-in (龍源院) est un sous-temple du complexe bouddhiste Daitoku-ji situé dans l'arrondissement de Kita-ku de Kyoto au Japon. Sa construction remonte à 1502. Cinq jardins attribués à Sōami jouxtent la résidence de l'abbé, dont le Totekiko (présenté comme le plus petit jardin sec japonais), l'Isshi-dan, le Koda-tei et le Ryogin-tei (jardin recouvert de mousse, prétendument le plus ancien jardin de Daitoku-ji).
Wikipedia  
39.Kinkaku-ji
Le Kinkaku-ji (金閣寺?, litt. « temple du Pavillon d'or ») est le nom usuel du Rokuon-ji (鹿苑寺?, litt. « temple impérial du jardin des cerfs ») situé à Kyōto au Japon.
Wikipedia  
40.Enkō-ji
Le Enkō-ji (円光寺?) est un temple bouddhiste Zen situé près de la Villa impériale Shugakuin à Sakyō-ku, Ichijo-ji, Kotani-cho, au nord-est de Kyoto au Japon. Il est renommé pour son changement de couleur des feuilles et son suikinkutsu. Liste de temples bouddhistes à Kyoto
Wikipedia  
41.Kurama-dera
Le Kurama-dera (鞍馬寺?) est un temple bouddhiste situé à l'extrême nord de Kyoto au Japon qui abrite quelques trésors nationaux. Il est membre de la secte Tendai et subordonné au Shōren-in depuis le XIIe siècle jusqu'en 1949 quand il fonde sa propre entité religieuse. L'objet de culte est ésotérique et unique au temple. Il passe pour avoir été fondé par un disciple de Jianzhen.
Wikipedia  
42.Konkai kōmyō-ji
Le Konkai kōmyō-ji (金戒光明寺?), aussi appelé temple Kurodani, est un temple bouddhiste de Kyoto au Japon. C'est un temple majeur de la secte Jōdo du bouddhisme au Japon. Les tombes de soldats d'Aizu et Kuwana morts à la bataille de Toba-Fushimi se trouvent dans ce temple.
Wikipedia  
43.Konpuku-ji
Le Konpuku-ji (金福寺?) est un temple bouddhiste zen situé dans le quartier Sakyō-ku à Kyoto au Japon. En 864, en accord avec le dernier souhait d'Ennin, le prêtre bouddhiste An'e construit ce temple et y installe une statue de Kannon faite par Ennin lui-même[1]. Au début, le Konpuku-ji appartient à la secte Tendai mais finalement il tombe en ruine. Durant l'ère Genroku (1688-1704), le temple est restauré par Tesshu du Enkō-ji voisin dont il devient une branche. Il passe alors à la secte Rinzai.
Wikipedia  
44.Sanzen-in
Le Sanzen-in (三千院?), aussi appelé Ōjō Gokuraku-in, est un temple bouddhiste de l'école Tendai monzeki situé à Ōhara, Kyoto au Japon. La triade d'Amida Nyorai flanquée de serviteurs datant de l'époque de Heian est un trésor national[1],[2]. Page d'accueil de Sanzen-in homepage
Wikipedia  
45.Ginkaku-ji
Le Ginkaku-ji (銀閣寺?, le « temple du Pavillon d'argent ») est un temple bouddhiste situé dans l'arrondissement Sakyō-ku à Kyōto au Japon, et datant de la fin du XVe siècle.
Wikipedia  
46.Shisen-dō
Shisen-dō est un temple bouddhiste de l'école Sōtō du zen. Il se trouve dans le quartier de Sakyō-ku de la ville japonaise de Kyoto. Ce temple a été fondé en 1641 par Ishikawa Józan (1583-1672).
Wikipedia  
47.Shōgo-in
Le Shōgo-in (聖護院?) est un temple bouddhique japonais de Kyoto, affilié à l’école tendai et centre de la branche Honzan du Shugendō. Fondé au IXe siècle mais prenant son emplacement et sa fonction définitive en 1090, il s’agit d’un temple impérial (monzeki).
Wikipedia  
48.Shinshōgokuraku-ji
Le Shinshōgokuraku-ji (真正極楽寺?) ou Shinnyo-dō (真如堂?) est un temple bouddhiste de l'école Tendai situé à Kyoto. Il est fondé en 984 par le kaisan Shonin.
Wikipedia  
49.Eikan-dō Zenrin-ji
Le Eikan-dō Zenrin-ji (永観堂禅林寺?) est le premier temple de la branche Seizan de la secte japonaise bouddhiste Jōdo-shū (Terre pure), situé dans l'arrondissement de Sakyō-ku à Kyoto. Fondé par Shinshō, élève de Kūkai, il est renommé pour son changement de couleur des feuilles en automne et sa prééminence passée comme centre d'enseignement.
Wikipedia  
50.Nanzen-ji
Le Nanzen-ji (南禅寺) est un temple du bouddhisme zen situé à Kyōto au Japon. Il a été fondé en 1291 par l'empereur japonais Kameyama. Le Nanzen-ji est l'un des cinq grands temples zen de Kyōto. C'est aussi le quartier général de la branche Nanzen-ji, une des quatorze branches que compte l'école Rinzai [1].
Wikipedia  
51.Manshu-in
Le Manshu-in (曼殊院?), aussi appelé le Manshuin Monzeki, est un temple tendai situé près de la villa impériale Shugakuin à Sakyō-ku, Ichijo-ji, Takenouchi-cho, au nord-est de Kyoto au Japon.
Wikipedia  
52.Nishi-Hongan-ji
Le Nishi-Hongan-ji (西本願寺, Nishi-Hongan-ji?) ou « temple du vœu originel de l'ouest », est l'un des temples de l'école Jōdo shinshū à Kyōto.
Wikipedia  
53.Higashi Hongan-ji
L'Higashi Hongan-ji (東本願寺, Higashi Hongan-ji?), ou « temple oriental du vœu originel », est l'un des deux temples dominants de la secte Jōdo shinshū au Japon (dans l'arrondissement de Shimogyō-ku, à Kyoto) et à l'étranger, l'autre étant le Nishi-Hongan-ji (ou « temple occidental du vœu originel »). C'est aussi le nom du temple premier à Kyoto, ensemble de bâtiments construits en 1895 après qu'un incendie a brûlé le temple précédent[1]. Ce serait la plus grande construction en bois au monde.
Wikipedia  
54.Bukkō-ji
Le Bukkō-ji (佛光寺, Bukkō-ji?), aussi connu comme le « temple de la Lumière du Bouddha » - et d'abord appelé Kosho-ji - est un temple Jōdo Shinshū situé dans l'arrondissement Yamashina-ku à Kyoto, plus tard déplacé au cœur de Kyoto. Le temple est fondé et officiellement inauguré par Ryōgen en 1324. Le nom « Kosho-ji » est donné à Ryōgen pour le temple par Kakunyo, premier prêtre en chef du Hongan-ji. Alors que le Bukkō-ji est techniquement une branche Jōdo Shinshū indépendante, il a des liens étroits avec la lignée Hongan-ji depuis l'époque de Rennyo.
Wikipedia  
55.Ikenobō
L'école Ikenobō (池坊?) est la plus ancienne et la plus importante école de l'art floral japonais, l'ikebana. Elle a été fondée au XVe siècle par le moine bouddhiste Senno. L'école est basée au temple Rokkaku-dō à Kyoto[1]. Le nom proviendrait d'un étang (ike) où le prince Shōtoku (聖徳太子) se serait baigné.
Wikipedia  
56.Shinsen-en
Le Shinsen-en est un jardin japonais situé à Kyoto. Datant du début de la période Heian, il s'agit du plus ancien jardin de Kyoto. Son nom, « jardin de la source divine », est lié au principal des miracles dont la tradition, en fait l'emplacement : en 824, après une longue sécheresse, le moine Kūkai aurait, par ses prières, fait tomber la pluie et apparaître le dieu dragon Zennyo. Cette anecdote, ainsi que plusieurs autres, relatées dans le Taiheiki et le Konjaku monogatari shū, témoignent du caractère magique que l'histoire du Japon attache à ce lieu [1],[2].
Wikipedia  
57.Rokkaku-dō
Le Chōhō-ji (頂法寺, Chōhō-ji?), aussi appelé Rokkaku-dō (六角堂, Rokkaku-dō?) en raison de la forme hexagonale de son bâtiment principal, est un temple bouddhiste situé à Kyoto au Japon, qui aurait été établi par le prince Shōtoku. Ce temple fait partie de la route du pèlerinage de Kansai Kannon.
Wikipedia  
58.Honnō-ji
Le Honnō-ji (本能寺?) est un temple bouddhiste de la secte Nichiren situé à Kyoto au Japon. Son honzon est le mandara-honzon (曼荼羅本尊) du daimoku.
Wikipedia  
59.Mibu-dera
Le Mibu-dera (壬生寺?) est un temple bouddhiste situé à Kyoto au Japon. Le temple a été fondé en 991 par le moine Kaiken. Des représentations de mibu-kyōgen sont données au temple plusieurs fois par an.
Wikipedia  
60.Saihō-ji
Le Saihō-ji (西芳寺?, « le temple des fragrances de l'ouest ») est un temple bouddhiste zen situé dans la banlieue ouest de Kyoto. Le temple est surtout connu sous le nom de Kokedera (苔寺?, « temple des mousses »), à cause des 120 espèces de mousses qu'il abrite. Le temple, appartenant au courant Rinzai du bouddhisme, est dédié au bouddha Amitabha. Le temple est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en tant qu'héritage culturel faisant partie des temples de Kyoto.
Wikipedia  
61.Hōrin-ji (Kyoto)
Le Hōrin-ji (法輪寺?) est un temple bouddhiste shingon situé à Arashiyama, dans la préfecture de Kyoto au Japon. Le préfixe honoraire « sangō » est Chifuku-san (智福山?). Le temple aurait été construit par Gyōki en 713 AD et s'appelait à l'origine « Kadonoi-dera » (葛井寺?). Il est consacré à Akasagarbha.
Wikipedia  
62.Yoshimine-dera
Fondé en 1029 par le prêtre bouddhiste Gensan[1], le Yoshimine-dera (善峯寺?) est un temple bouddhiste de l'école tendai situé dans l'arrondissement occidental de Nishikyō-ku à Kyoto[2]. Il est construit sur les collines de l'ouest (Nishiyama) donnant sur la ville. La principale image de dévotion est une statue de Kannon aux milles bras[3]. Ses caractéristiques notables comprennent le pin appelé « dragon glissant » (Yōryu no matsu, monument naturel), contraint pour croître horizontalement et qui autrefois atteignait plus de 50 mètres de long[4],[5] et un tahōtō, pagode à un étage désignée bien culturel important[3].
Wikipedia  
63.Unryū-in
Le Unryū-in (雲竜院?) est un sous-temple du Sennyū-ji de Kyoto. Fondé en 1372, il est reconstruit après les destructions dues à la guerre d'Ōnin[1]. Le hon-dō de 1646 (13,8 m x 12,9 m, de style irimoya-zukuri, avec toit à bardeaux, est un bien culturel important[2]. Le hōjō c'est-à-dire le quartier d'habitation de l'abbé date également de l'époque d'Edo[2]. Une copie du Sūtra du Lotus de l'époque de Kamakura est désignée « Bien culturel important »[3].
Wikipedia  
64.Kiyomizu-dera
Le temple Kiyomizu ou Kiyomizu-dera (清水寺?) fait référence à un complexe de temples bouddhistes et shintoïstes mais est principalement utilisé pour un seul : l'Otowa-san Kiyomizu-dera (音羽山清水寺?) à l'est de Kyoto, qui est l'un des endroits les plus célèbres de la ville. Il a été enregistré au patrimoine mondial culturel de l'UNESCO en 1994[1].
Wikipedia  
65.Kennin-ji
Le Kennin-ji (建仁寺?), ou Zuiryusan Kennin-ji (禅居庵 建仁寺?), est un temple bouddhiste zen d'obédience de l'école Rinzai situé dans l'arrondissement de Higashiyama-ku à Kyoto, au Japon, dans le district de Gion. On le connaît aussi sous le nom de Marishiten-dō (摩利支天堂?). Il fut fondé en 1202 par Eisai. C'est le temple principal de l'école zen Rinzai et le plus ancien du Japon où la doctrine zen fut enseignée la première fois.
Wikipedia  
66.Kōdai-ji
Le Kōdai-ji (高台寺?), au nom officiel de Jubuzan Kōdai-ji (鷲峰山高台寺, Jubuzan Kōdai-ji?), est un temple de l'école Rinzai du bouddhisme zen, situé dans l'arrondissement de Higashiyama-ku à Kyoto, au Japon, plus grand sous-temple de la branche Kennin-ji. Il est fondé en 1606 par Nene (souvent connu par le titre Kita no mandokoro et qui a pris le nom de Kōdai-in), la veuve de Toyotomi Hideyoshi, afin de prier pour son défunt mari. La principale image du temple est une statue de Shaka.
Wikipedia  
67.Yasaka Kōshin-dō
Le Yasaka Kōshin-dō (八坂庚申堂?), ou de son nom complet Daikoku-san Kongō-ji Kōshin-dō (大黒山金剛寺庚申堂?), est un petit temple situé dans l'arrondissement de Higashiyama-ku de Kyoto au Japon. Le temple se trouve dans le voisinage du Kiyomizu-dera. Le temple est consacré à Kōshin-san (庚申さん?), surnom de son principal objet de culte Shōmen Kongō (青面金剛?), un guerrier protecteur bleu et aux « singes de la sagesse ». Ils représentent la foi Kōshin.
Wikipedia  
68.Sanjūsangen-dō
Le Sanjūsangen-dō (三十三間堂, Pavillon des trente-trois intervalles) est un temple bouddhiste situé à Kyōto, Japon. Son nom d'origine est Renge-ō-in. Grand hall sacré de rite Shingon fondé en 1132. Il fut reconstruit entre 1251 et 1256. L'appellation Sanjūsangendō est tirée des trente-trois (三十三, sanjūsan?) travées (間, ken?, ou gen) entre les piliers qui le composent. Il est très long et étroit. Ses 118,22 m de long en font la plus longue structure en bois du monde.
Wikipedia  
69.Shōren-in
Le Shōren-in (青蓮院?) est un temple bouddhiste situé dans l'arrondissement de Higashiyama-ku à Kyoto au Japon. Aussi connu sous le nom « palais Awata », il date de la fin du XIIIe siècle. Le Shōren-in est un temple mortuaire pour la maison impériale. S'y trouve le tombeau officiel de l'empereur Hanazono[1].
Wikipedia  
70.Seikan-ji
Le Seikan-ji (清閑寺, Seikan-ji?) est un temple bouddhiste situé dans l'arrondissement de Higashiyama-ku à Kyoto au Japon. Le Seikan-ji est un petit temple mortuaire pour la maison impériale. S'y trouvent les tombeaux officiels de l'empereur Rokujō[1] et de l'empereur Takakura[2].
Wikipedia  
71.Sennyū-ji
Le Sennyū-ji (泉涌寺, Sennyū-ji?), formellement écrit Sen-yū-ji[1] (仙遊寺, Sen'yū-ji?) , est un temple bouddhiste situé dans l'arrondissement de Higashiyama-ku à Kyoto au Japon[2]. Pendant des siècles, le Sennyū-ji est un temple mortuaire pour les aristocrates et la maison impériale. S'y trouvent les tombeaux officiels de l'empereur Shijō[3] et ceux de nombre des empereurs qui lui ont succédé[1].
Wikipedia  
72.Chion-in
Le Chion-in (知恩院, Chion-in?) dans l'arrondissement de Higashiyama-ku à Kyoto, au Japon, est le siège du Jōdo-shū (secte de la Terre pure) fondé par Hōnen (1133-1212), qui a proclamé que les êtres renaissent dans le Paradis de l'Ouest du bouddha Amida (Terre pure) par la récitation du nianfo (nembutsu), le nom d'Amida Bouddha.
Wikipedia  
73.Tōfuku-ji
Le Tōfuku-ji (東福寺?) est un temple bouddhiste de l'arrondissement de Higashiyama-ku au sud-est de Kyoto, au Japon. Il a été fondé par Enni en tant que siège de l'école Rinzai de la tradition du bouddhisme zen japonais. Il fut construit entre 1236 et 1255 sur les ruines du Hosshō-ji, appartenant aux Fujiwara. C'est le quatrième des gozan (五山, cinq grands temples) de Kyōto.
Wikipedia  
74.Hokan-ji
Hokan-ji (法観寺, Hokanji?) est un temple de l'école bouddhique zen Rinzai situé au Japon, dans l'arrondissement de Higashiyama-ku de la ville de Kyoto. Il dépend du temple Kennin-ji et comprend la pagode de Yasaka. La première pagode est érigée au VIe siècle pendant la période Asuka et a été reconstruite plusieurs fois. Détruit par un incendie en 1436, l'édifice actuel est reconstruit en 1440 par le sixième shogun, Ashikaga Yoshinori.
Wikipedia  
75.Hōkō-ji (Kyoto)
Le Hōkō-ji (方広寺?) est un temple bouddhiste à Kyoto au Japon, datant du XVIe siècle. Toyotomi Hideyoshi décide que la capitale doit avoir un temple Daibutsu qui surpassera celui de Nara. Il passe pour s'être vanté dès le début qu'il terminerait la construction dans la moitié du temps qu'il a fallu à l'empereur Shōmu pour terminer le Grand Bouddha de Nara. Le projet sous le règne de l'empereur Shomū prend dix ans. Hideyoshi termine la première phase de son projet en seulement trois ans[1]. Les architectes de cet édifice sont Nakamura Masakiyo et Heinouchi Yoshimasa[2].
Wikipedia  
76.Hōjū-ji
Le temple Hōjū (法住寺, Hōjū-ji?) est un temple bouddhiste de Kyōto qui fut, à une époque, la résidence de l'empereur retiré Go-Shirakawa. Le temple fut à l'origine fondé par Fujiwara no Tamemitsu en 988, mais détruit en 1032 et reconstruit 120 ans plus tard. En 1158, l'empereur Go-Shirakawa abdiqua en faveur de son fils l'empereur Nijō, devint empereur cloîtré et fit du Hōjū-ji sa demeure, baptisée Hōjū-ji dono (法住寺殿?, ou Hōjū-ji-den, litt. « Palais du temple Hōjū »). Cependant, en 1183, Go-Shirakawa fut informé par Minamoto no Yukiie que Minamoto no Yoshinaka voulait le capturer, fonder un nouveau gouvernement dans le Nord, et utiliser sa possession de l'ancien empereur pour justifier son règne.
Wikipedia  
77.Manju-ji
Le Manju-ji (万寿寺?) est un temple bouddhiste de l'école rinzai situé dans l'arrondissement de Higashiyama-ku à Kyoto[1]. En raison de l'influence des Ashikaga, Manju-ji est appelé temple « jissatsu » pendant un certain temps. C'est à présent un temple secondaire du Tōfuku-ji[2]. Il fait partie des Cinq grands temples zen de Kyoto (Gozan) .
Wikipedia  
78.Rokuharamitsu-ji
Le Rokuharamitsu-ji (六波羅蜜寺?) est un temple bouddhiste situé à Kyoto au Japon. Fondé en 951 par Kūya, le hon-dō est incendié durant les guerres de la fin de l'époque de Heian. Le bâtiment qui l'a remplacé en 1363, endommagé au cours de l'ère Meiji, est restauré en 1969[1],[2]. Le temple abrite un certain nombre de statues des époques de Heian et de Kamakura qui ont été classées bien culturel important du Japon, dont une image de son fondateur datant de l'époque de Kamakura, ainsi qu'un Jūichimen Kannon de l'époque de Heian classé Trésor national du Japon[3],[4],[5].
Wikipedia  
79.Anrakuju-in
L'Anrakuju-in (安楽寿院?) est un temple bouddhiste dans le quartier de Fushimi-ku, Kyoto au Japon, construit par le Daijō Tennō (ancien empereur) Toba en 1137. Le temple abrite un certain nombre de biens culturels importants et les empereur Toba et Konoe sont enterrés sur le site. La propriété d'Ashikaga d'où le clan Ashikaga tien son nom appartenait autrefois au Anrakuju-in[1].
Wikipedia  
80.Sanbō-in
Le Sanbō-in (三宝院?, Sanbō-in) est un temple bouddhiste situé au sud de Kyoto, connu aujourd'hui essentiellement pour la beauté de son jardin[1].
Wikipedia  
81.Daigo-ji
Le Daigo-ji (醍醐寺, Daigo-ji?) est un temple bouddhiste de l'école Shingon dans le quartier Fushimi-ku, à Kyoto, au Japon. Il fait partie des monuments historiques de l'ancienne Kyoto classés au patrimoine mondial de l'humanité. L'image principale du temple (honzon) représente Yakushi.
Wikipedia  
82.Hōtō-ji
Le Hōtō-ji 宝塔寺) est un temple bouddhiste de l'école Nichiren situé dans l'arrondissement de Fushimi à Kyoto. Le Hōtō-ji est une émanation du Gokuraku-ji (極楽寺), temple de l'école Shingon fondé par le moine Shōbō (聖宝) et construit par Fujiwara no Mototsune. La porte à quatre piliers (四脚門, shikyakumon) et la pagode à deux niveaux (tahōtō; particularité : rez-de-chassée carré, étage en arrondi) remontent à l'époque Muromachi[1].
Wikipedia  
83.Tō-ji
Le Tō-ji (東寺?, « temple de l'Est ») est un temple bouddhiste japonais de tradition Shingon situé à Kyōto. Son nom officiel est « Kyō-ō-gokoku-ji (教王護国寺?) » mais il est plus connu sous le nom de « Tō-ji ».
Wikipedia  
84.Kajū-ji
Le Kajū-ji (勧修寺?), parfois aussi épelé « Kwajū-ji »[1] ou « Kanshu-ji », est un temple bouddhiste Shingon situé dans l'arrondissement de Yamashina-ku à Kyoto au Japon[2].
Wikipedia  
85.Kankikō-ji
Le Kankikō-ji (歓喜光寺?) est un temple japonais situé à Kyoto, arrondissement de Yamashina-ku, et affilié au Ji shū, troisième école bouddhique amidiste du Japon. Il a été fondé en 1291 par Shōkai (聖戒?) avec le support du grand chancelier Kujō Tadanori. Shōkai était un proche parent et disciple d'Ippen, fondateur du Ji shū[1],[2].
Wikipedia  
86.Gangyō-ji
Le Gangyō-ji ou Gankei-ji (元慶寺?) est un temple bouddhiste à Kyōto, fondée en 877 par le prêtre Henjō. Le temple est fondé la première année de l'ère Gangyō (元慶元年, Gangyō gannen?), et prend le nom de cette nouvelle ère[1],[2]. L'empereur Kōkō donnait fonds et dotait ce temple[1]. À l'ère Kanna (寛和?), an 2 (986), l'empereur Kazan abdique en ce temple. Le chūnagon Yoshikane et le sachūben Korenari le suivent et deviennent prêtres. À la suite de cela, le temple est également connu sous le nom de Kazan-ji (花山寺?)[1].
Wikipedia  
87.Yamashina Hongan-ji
Le Yamashina Hongan-ji, aussi connu sous le nom Yamashina Mido (山科本願寺), est un temple bouddhiste situé à Kyoto, utilisé comme forteresse par les Ikkō-ikki, organisation de moines guerriers et fanatiques laïcs qui s'opposent à la domination des samouraïs.
Wikipedia  
88.Daitoku-ji
Le Daitoku-ji (大徳寺?, littéralement « temple de la grande vertu ») est un temple bouddhiste relevant de l'école zen rinzai, situé dans le nord de Kyoto au Japon[1]. Il est constitué d'un complexe de plusieurs temples secondaires et porte également le nom de la montagne Ryuhozan (龍宝山?, littéralement « la montagne du trésor du dragon »).
Wikipedia  
89.Ōbai-in
L’Ōbai-in (黄梅院?) est un sous-temple du Daitoku-ji à Kyoto au Japon. Le hon-dō (1586) et le kuri (1589) sont désignés « biens culturels importants »[1],[2]. Les peintures monochrome fusuma de l'époque Azuchi Momoyama Sept ermites dans un bosquet de bambous (16 panneaux), Paysage avec personnages (14 panneaux) et Oies (14 panneaux), par Unkoku Tōgan (1588), sont également désignés « biens culturels importants »[3],[4],[5],[6]. La tête décapitée de la statue de Sen no Rikyū, à la position considérée comme arrogante par Toyotomi Hideyoshi, était autrefois conservée à l'Obai-in[7].
Wikipedia  
90.Jukō-in
Le Jukō-in (聚光院?) est un temple mineur du Daitoku-ji, à Kyoto au Japon. Fondé en 1566 comme temple mortuaire pour Miyoshi Nagayoshi, Sen no Rikyū le destine en 1589 à être le temple mortuaire de sa famille[1]. Le « Hondō » (bâtiment principal) (1583) et le chashitsu (1739) sont des biens culturels importants du Japon et les jardins ont été désignés « paysages pittoresques »[2],[3],[4]. Une peinture de Miyoshi Nagayoshi (1566) est aussi répertoriée comme bien culturel important[5].
Wikipedia  
91.Sōken-in
Le Sōken-in (総見院?) est un sous-temple du Daitoku-ji à Kyoto au Japon. Il est fondé par Toyotomi Hideyoshi en 1582 comme temple funéraire d'Oda Nobunaga. Hideyoshi accorde trois cents koku au temple et organise son célèbre rassemblement de thé au Daitoku-ji dans son parc en 1585. Au cours des premières années de l'ère Meiji son enceinte est démolie et ses trésors déplacés; Le Sōken-in est restauré en 1926[1]. La statue en bois d'Oda Nobunaga assis datant de 1583, laquée, avec yeux incrustés et une inscription sur la base, bien culturel important , est restituée en 1961[1],[2]. Les funérailles de Nobunaga et la fondation du sous-temple par Hideyoshi « avec le meilleur bois disponible, une chose remarquable à voir », sont rapportées par le missionnaire portugais Luís Fróis dans son História de Japam contemporain[3].
Wikipedia  
92.Daisen-in
Daisen-in (en japonais, 大仙院, « l'école du grand ermite ») est un temple bouddhiste zen situé dans le nord de Kyōto. Le temple fait partie d'un ensemble de temples plus vaste dont il est un temple secondaire : le Daitoku-ji, classé trésor national du Japon.
Wikipedia  
93.Ryōgen-in
Le Ryōgen-in (龍源院) est un sous-temple du complexe bouddhiste Daitoku-ji situé dans l'arrondissement de Kita-ku de Kyoto au Japon. Sa construction remonte à 1502. Cinq jardins attribués à Sōami jouxtent la résidence de l'abbé, dont le Totekiko (présenté comme le plus petit jardin sec japonais), l'Isshi-dan, le Koda-tei et le Ryogin-tei (jardin recouvert de mousse, prétendument le plus ancien jardin de Daitoku-ji).
Wikipedia  
94.Kinkaku-ji
Le Kinkaku-ji (金閣寺?, litt. « temple du Pavillon d'or ») est le nom usuel du Rokuon-ji (鹿苑寺?, litt. « temple impérial du jardin des cerfs ») situé à Kyōto au Japon.
Wikipedia  
95.Shōgo-in
Le Shōgo-in (聖護院?) est un temple bouddhique japonais de Kyoto, affilié à l’école tendai et centre de la branche Honzan du Shugendō. Fondé au IXe siècle mais prenant son emplacement et sa fonction définitive en 1090, il s’agit d’un temple impérial (monzeki).
Wikipedia  
96.Butokuden
La construction du Butokuden (武徳殿?) a commencé en 1895 pour s'achever en 1899. C'est le dojo de la prestigieuse Dai Nippon Butoku Kai (大日本武徳会).
Wikipedia  
97.Nishi-Hongan-ji
Le Nishi-Hongan-ji (西本願寺, Nishi-Hongan-ji?) ou « temple du vœu originel de l'ouest », est l'un des temples de l'école Jōdo shinshū à Kyōto.
Wikipedia  
98.Higashi Hongan-ji
L'Higashi Hongan-ji (東本願寺, Higashi Hongan-ji?), ou « temple oriental du vœu originel », est l'un des deux temples dominants de la secte Jōdo shinshū au Japon (dans l'arrondissement de Shimogyō-ku, à Kyoto) et à l'étranger, l'autre étant le Nishi-Hongan-ji (ou « temple occidental du vœu originel »). C'est aussi le nom du temple premier à Kyoto, ensemble de bâtiments construits en 1895 après qu'un incendie a brûlé le temple précédent[1]. Ce serait la plus grande construction en bois au monde.
Wikipedia  
99.Sanbō-in
Le Sanbō-in (三宝院?, Sanbō-in) est un temple bouddhiste situé au sud de Kyoto, connu aujourd'hui essentiellement pour la beauté de son jardin[1].
Wikipedia  
100.Tō-ji
Le Tō-ji (東寺?, « temple de l'Est ») est un temple bouddhiste japonais de tradition Shingon situé à Kyōto. Son nom officiel est « Kyō-ō-gokoku-ji (教王護国寺?) » mais il est plus connu sous le nom de « Tō-ji ».
Wikipedia  


TOPへ戻る